Le peintre A. D. est dans de beaux draps. Cet homme de 45 ans a été déféré au parquet du tribunal de Pikine/Guédiawaye. Il est poursuivi pour détournement de mineure et viol. Une jeune fille de 14 ans nommée A. C. l’accuse d’avoir abusé d’elle durant les vacances scolaires de l’année dernière. «Il a profité de l’absence de son épouse et m’a violée dans sa chambre», affirme l’adolescente dans des propos relayés par L’Observateur, qui relaye cette affaire dans son édition de ce jeudi 23 janvier.
A. D. et A. C. habitent dans le même quartier, Abdou Ndiaye de Diamaguène/Sicap Mbao. La jeune fille l’appelle «tonton». D’après le récit de L’Observateur, le jour des faits présumés, le mis en cause aurait demandé à la plaignante d’aller lui acheter du détergent à la boutiquier du coin. L’adolescente se présente devant la porte de sa chambre pour récupérer l’argent. Ce dernier l’entraîne subitement dans la pièce. Et malgré la résistance opposée par A. C., A. D. réussit à la déshabiller et à la plaquer au sol avant de la violer, d’après le journal du Groupe futurs médias.
Après sa mésaventure, la jeune fille peine à cacher son mal-être. Sa sœur vient aux nouvelles. A. C. craque et se confesse. Elle est conduite à l’hôpital où le gynécologue atteste qu’elle a été abusée.
«Une lettre-plainte est alors déposée contre le présumé auteur des faits au poste de police de Sicap Mbao, renseigne L’Observateur. Informé de la plainte, A. D. débarrasse le plancher et entre en cavale. Il garde cependant le contact avec les membres de la famille de la gamine et leur propose un arrangement à l’amiable, histoire d’étouffer l’affaire. Ceux-ci feignent d’accepter.»
Lundi dernier, vers 21 heures, A. D. réapparait dans le quartier avec sans doute l’espoir de sceller l’arrangement qui le préserverait de poursuites judiciaires. Le piège se renferme. «Alertés, les agents de terrain du poste de police de la commune identifient le fugitif présumé violeur dans la rue et lui mettent le grappin dessus», informe la même source. Après avoir tenté de nié les faits, le mis en cause finit par craquer. Il éclate en sanglots, reconnaissant avoir abusé de la jeune fille. Il risque gros.
A. D. et A. C. habitent dans le même quartier, Abdou Ndiaye de Diamaguène/Sicap Mbao. La jeune fille l’appelle «tonton». D’après le récit de L’Observateur, le jour des faits présumés, le mis en cause aurait demandé à la plaignante d’aller lui acheter du détergent à la boutiquier du coin. L’adolescente se présente devant la porte de sa chambre pour récupérer l’argent. Ce dernier l’entraîne subitement dans la pièce. Et malgré la résistance opposée par A. C., A. D. réussit à la déshabiller et à la plaquer au sol avant de la violer, d’après le journal du Groupe futurs médias.
Après sa mésaventure, la jeune fille peine à cacher son mal-être. Sa sœur vient aux nouvelles. A. C. craque et se confesse. Elle est conduite à l’hôpital où le gynécologue atteste qu’elle a été abusée.
«Une lettre-plainte est alors déposée contre le présumé auteur des faits au poste de police de Sicap Mbao, renseigne L’Observateur. Informé de la plainte, A. D. débarrasse le plancher et entre en cavale. Il garde cependant le contact avec les membres de la famille de la gamine et leur propose un arrangement à l’amiable, histoire d’étouffer l’affaire. Ceux-ci feignent d’accepter.»
Lundi dernier, vers 21 heures, A. D. réapparait dans le quartier avec sans doute l’espoir de sceller l’arrangement qui le préserverait de poursuites judiciaires. Le piège se renferme. «Alertés, les agents de terrain du poste de police de la commune identifient le fugitif présumé violeur dans la rue et lui mettent le grappin dessus», informe la même source. Après avoir tenté de nié les faits, le mis en cause finit par craquer. Il éclate en sanglots, reconnaissant avoir abusé de la jeune fille. Il risque gros.
6 Commentaires
Atlas
il y a 1 semaine (12:26 PM)Reply_author
il y a 1 semaine (13:24 PM)Reply_author
il y a 1 semaine (13:27 PM)Wakhdeug
il y a 1 semaine (12:46 PM)Je me suis toujours posé la question à savoir, qu'est-ce qui peut pousser un homme à forcer une femme, fut-elle mineure.
Castration chimique, plus 10 ans de prison incompressible.
Euskeuy !
Boy L
il y a 1 semaine (13:50 PM)Reply_author
il y a 1 semaine (15:28 PM)Boy L
il y a 1 semaine (13:50 PM)Boy L
il y a 1 semaine (13:50 PM)Participer à la Discussion