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A l’en croire, il faut aller vers l’adoption de mesures beaucoup plus coercitives, pour avoir des chances de freiner le mal. «Je pense à l’accès aux marchés. Est-ce qu’il est aujourd’hui opportun que tous les marchés ouvrent le matin, tous les jours, de 6 h à 19 h ou 20 h ? Je pense que partir faire les courses au marché peut se faire un jour sur deux ou sur trois. Que les marchés n’ouvrent pas tous les jours. Ce sont des mesures qui sont possibles».
Le député d’arguer que la grosse difficulté se trouve dans l’éducation nationale, avec les cas positifs de Covid-19 qui sont souvent répertoriés dans les établissements scolaires.
Par ailleurs, Seydou Diouf déplore les manifestations politiques de grande envergure. «Nous les acteurs politiques, nous devons être les premiers à donner l’exemple, en évitant ces types de rassemblement. Depuis l’avènement de la pandémie, je ne fais pas réunions de parti, pas d’activités ou audiences politiques, parce qu’il faut à la fois se protéger et protéger ses concitoyens».
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