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Mamadou Niang peut s’estimer heureux. Grâce au désistement de son père, C. Niang, il a écopé de seulement six mois de prison avec sursis. Son avocat, Me Sidy Seck, doit être soulagé. Après le procureur, qui a requis l’application de la loi, il avait plaidé la bienveillance, assurant que son client avait compris la leçon.
Mamadou Niang était jugé devant le tribunal de grande instance de Louga. Il était poursuivi pour Coups et blessures volontaires (Cbv) ayant entraîné une Incapacité temporaire de travail (ITT) de 21 jours. Il avait plaidé non coupable, d’après le compte-rendu d’audience de L’Observateur. «Mon père voulait me frapper avec un bâton, j’ai paré le coup et son bras s’est fracturé. Je ne voulais pas le blesser, mais il fallait que je me défende», a juré le mis en cause à la barre dans des propos repris par le journal.
Selon le quotidien du Groupe futurs médias, le juge a considéré l’explication légère avant de passer la parole au plaignant. «Mon différend avec lui est lié à une histoire de terrain», indique C. Niang. Il rembobine : «C'est moi qui ai pris l'initiative de donner à chacun de mes enfants, un terrain. Quand j'en ai parlé avec lui, il m'a clairement rétorqué qu'il prendra les trois terrains jumelés. Je m'y suis opposé, car je voulais que tous mes fils soient traités équitablement. À ma grande surprise, Mamadou a commencé à clôturer les trois terrains en question. Les sages du village sont intervenus pour qu'il revienne à de meilleurs sentiments, mais il s'est entêté. Une nuit, je l'ai surpris en train de verser du saafara [potion mystique] sur les coins du terrain. Lorsque je lui ai demandé d'arrêter, il m'a administré un violent coup de bâton au bras. Je suis tombé à terre et mon bras s'est cassé.»
Se tournant vers lui après le récit détaillé de son pater, le juge demande à l’accusé s’il maintenait toujours ses dénégations ou s’il reconnaissait les faits. Mamadou Niang campe sur sa position : il jure n’avoir rien fait. Il sera reconnu coupable, mais s’en tire avec du sursis. Grâce au désistement de son père.
Mamadou Niang était jugé devant le tribunal de grande instance de Louga. Il était poursuivi pour Coups et blessures volontaires (Cbv) ayant entraîné une Incapacité temporaire de travail (ITT) de 21 jours. Il avait plaidé non coupable, d’après le compte-rendu d’audience de L’Observateur. «Mon père voulait me frapper avec un bâton, j’ai paré le coup et son bras s’est fracturé. Je ne voulais pas le blesser, mais il fallait que je me défende», a juré le mis en cause à la barre dans des propos repris par le journal.
Selon le quotidien du Groupe futurs médias, le juge a considéré l’explication légère avant de passer la parole au plaignant. «Mon différend avec lui est lié à une histoire de terrain», indique C. Niang. Il rembobine : «C'est moi qui ai pris l'initiative de donner à chacun de mes enfants, un terrain. Quand j'en ai parlé avec lui, il m'a clairement rétorqué qu'il prendra les trois terrains jumelés. Je m'y suis opposé, car je voulais que tous mes fils soient traités équitablement. À ma grande surprise, Mamadou a commencé à clôturer les trois terrains en question. Les sages du village sont intervenus pour qu'il revienne à de meilleurs sentiments, mais il s'est entêté. Une nuit, je l'ai surpris en train de verser du saafara [potion mystique] sur les coins du terrain. Lorsque je lui ai demandé d'arrêter, il m'a administré un violent coup de bâton au bras. Je suis tombé à terre et mon bras s'est cassé.»
Se tournant vers lui après le récit détaillé de son pater, le juge demande à l’accusé s’il maintenait toujours ses dénégations ou s’il reconnaissait les faits. Mamadou Niang campe sur sa position : il jure n’avoir rien fait. Il sera reconnu coupable, mais s’en tire avec du sursis. Grâce au désistement de son père.
5 Commentaires
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En Janvier, 2025 (11:07 AM)Les travaux de BRT avaient nécessité l'élargissement de la Route des Niayes et la démolition de certains bâtiments longeant cette route, totalement ou en partie.
Les travaux sont, je le pense, terminés. Il y a des espaces contigus aux bâtiments démolis en partie réservés à des aménagements publics, notamment dans l'Unité 4, face à la Gare de Dingala.
Visiblement, les riverains veulent s'accaparer de ces espaces publics pour en faire leurs propriétés, astucieusement, en y faisant des aménagements non concertés pour une appropriation à moyen ou long termes.
Aussi, il est bon que vos services prennent les devants en y aménageant des espaces publics appartenant à la mairie de Golf Sud, entretenus par la municipalité ou par le Conseil de quartier de l'Unité 4.
Si la mairie n'intervient pas, rapidement, ce sera l'appropriation des riverains de ce patrimoine commun.
Nous attendons votre intervention diligente pour que le nécessaire soit fait pour offrir aux populations de l'Unité 4 un cadre de vie où l'on peut prendre de l'air, dans la convivialité.
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En Janvier, 2025 (11:45 AM)Les sages du village doivent lui attribuer un terrain.
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En Janvier, 2025 (13:05 PM)Paresseux impoli sans ambition il faut faire son devoir envers les enfants mais surtout faut pas compter sur eux pour les vieux jours
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En Janvier, 2025 (13:06 PM)Portopsrts
En Janvier, 2025 (13:19 PM)Participer à la Discussion