
Le sous-officier de police Ibrahima Loum a été sauvagement attaqué à coups de brique par une meute d’agresseurs.
Les faits se sont déroulés, dans la nuit du samedi 6 au dimanche 7 novembre dernier, vers 23h.
À cette heure, relate Les Échos, Ibrahima Loum était parti profiter de la fraîcheur nocturne au quartier cité Sonatel de Malika.
Les agresseurs l’ont surpris devant son domicile avant de s’en prendre à lui.
Ils tentent de le dépouiller de ses biens.
Ils l’attaquent en groupe, lui donnent des coups et s’emploient vaille que vaille à le détrousser ignorant qu’ils ont affaire à un sous-officier.
Celui-ci se débat comme un forcené et refuse catégoriquement de se faire détrousser.
Face à la témérité du flic, les malfaiteurs redoutent l’intervention-surprise du voisinage.
Ils ramassent une brique et lui en donnent un coup.
L’adjudant reçoit le projectile en pleine tête, s’écroule brusquement au sol et se retrouve dans un piteux état.
Paniqués, ils se dispersent dans les ruelles mal éclairées de la localité.
Le policier serait dans un état de santé critique, même si son pronostic vital n’est pas engagé.
Les faits se sont déroulés, dans la nuit du samedi 6 au dimanche 7 novembre dernier, vers 23h.
À cette heure, relate Les Échos, Ibrahima Loum était parti profiter de la fraîcheur nocturne au quartier cité Sonatel de Malika.
Les agresseurs l’ont surpris devant son domicile avant de s’en prendre à lui.
Ils tentent de le dépouiller de ses biens.
Ils l’attaquent en groupe, lui donnent des coups et s’emploient vaille que vaille à le détrousser ignorant qu’ils ont affaire à un sous-officier.
Celui-ci se débat comme un forcené et refuse catégoriquement de se faire détrousser.
Face à la témérité du flic, les malfaiteurs redoutent l’intervention-surprise du voisinage.
Ils ramassent une brique et lui en donnent un coup.
L’adjudant reçoit le projectile en pleine tête, s’écroule brusquement au sol et se retrouve dans un piteux état.
Paniqués, ils se dispersent dans les ruelles mal éclairées de la localité.
Le policier serait dans un état de santé critique, même si son pronostic vital n’est pas engagé.
6 Commentaires
J'ai toujours mon glock avec moi, bala nga mey ray ma ray leu.
Euskeuy !
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En Novembre, 2021 (10:37 AM)Reply_author
En Novembre, 2021 (11:16 AM)Aux usa ces agresseurs de policiers s'en tireraient avec la perpétuité avec au moins avec 20 ans de sureté. Ici au sénégal ils ne purgent même pas 10 ans effectif au frais du contribuable.
Reply_author
En Novembre, 2021 (14:21 PM)Participer à la Discussion