Invité de la chaîne Youtube « Le Média », Robert Bourgi a fait d’autres révélations sur les anciens présidents français François Mitterrand et Jacques Chirac. L’avocat et ex-conseiller politique a notamment déclaré que ces deux dirigeants faisaient recours aux marabouts africains.
« Pour Mitterrand, j’ai su par les chefs d’Etat africains qu’il avait recours au travail des marabouts…En (ce qui concerne Chirac), un marabout lui avait été envoyé à Paris en 1988, quelques temps, avant le premier tour (de la Présidentielle). Nous l’avons installé dans un hôtel près du ministère de l’intérieur » raconte Robert Bourgi. Ce marabout après ses cérémonies, a confié au candidat Chirac, qu’il n’allait pas gagner la Présidentielle.
Ce dernier était pour le moins surpris puisqu’il semblait se fier aux sondages qui disaient tout le contraire. Les prédictions du marabout se sont révélées vraies. Chirac a échoué et Mitterrand a été réélu.
« Mon fils, vous allez gagner »
« Le même scénario s’est produit en 1995 », raconte l’avocat franco-libanais. Oumar Bongo a envoyé un autre marabout à Chirac pour lire l’avenir et déterminer s’il sortirait victorieux de la Présidentielle qui avait lieu cette année-là en France.
Le pieux ermite aurait dit à Chirac : « Mon fils, vous allez gagner ». Le Français était une fois encore surpris par ces prédictions puisqu’il « était à 14% dans les sondages » révèle Robert Bourgi.
Jacques Chirac a effectivement remporté le scrutin. De toute évidence, les marabouts (souvent maliens) envoyés à Paris par Blaise Compaoré ou Omar Bongo étaient efficaces.
8 Commentaires
Deug
il y a 6 heures (16:57 PM)Nassarane
il y a 5 heures (17:02 PM)Reply_author
il y a 5 heures (17:15 PM)Reply_author
il y a 4 heures (18:53 PM)Reply_author
il y a 2 heures (20:09 PM)tes contenus ont toujours le gout de chiottes...
cherche des trucs intéressants, des coopératives agricoles efficaces au Benin...le développement de plantes appliquées à la santé, etc...
La police sud-africaine encercle une mine dans laquelle sont coincés des milliers de travailleurs clandestins. « On ne leur enverra pas d’aide », a assuré la ministre déléguée à la présidence, qui attend que les assiégés, très affaiblis, sortent pour être arrêtés.
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