S. Sarr et S. Gaye ont été envoyées en prison pour infanticide, infraction aux lois relatives à l’inhumation contre la première, et complicité et recel de cadavre pour sa mère âgée de 53 ans. Selon L’Observateur, qui donne l’information, l’affaire est sur toutes les lèvres à Mbour.
Le journal rapporte que les faits remontent au 29 janvier dernier. Tomber enceinte des œuvres de son patron, S. Sarr, finit par accoucher d’un bébé de sexe masculin, assistée de sa mère.
Sauf que, poursuit la source, la femme de ménage, divorcée et déjà maman de 2 enfants, décide de se débarrasser du nouveau-né.
« Avec la complicité de sa mère, elle va d’abord envelopper le bébé dans un morceau de tissu, pour ensuite l’enterrer vivant dans un trou creusé par sa mère juste devant la porte de la chambre », narre L’Obs.
Qui confie que la quinquagénaire a dû finalement conduire sa fille à l’hôpital car S. Sarr se plaignait d’intenses douleurs au ventre 2 jours jours après l’accouchement.
Elle sera admise aux urgences. Le gynécologue découvre qu’en plus des saignements, la patiente présente par ailleurs une déchirure du périnée. S. Sarr rejette le diagnostic, déclarant qu’elle ne souffre que de « simples maux de ventre. »
Loin d’être convaincu, les blouses blanches alertent les limiers du commissariat central de Mbour.
Retenue pour les besoins de l’enquête, la femme de ménage finira par passer aux aveux. Pour justifier son acte, elle a soutenu que son amant a refusé la paternité de son bébé. Ce qui « l’a obligé à choisir la pire des solutions. »
Sur instruction du Procureur de Mbour, la dépouille du nouveau-né a été exhumée pour les besoins de l’autopsie.
Le journal rapporte que les faits remontent au 29 janvier dernier. Tomber enceinte des œuvres de son patron, S. Sarr, finit par accoucher d’un bébé de sexe masculin, assistée de sa mère.
Sauf que, poursuit la source, la femme de ménage, divorcée et déjà maman de 2 enfants, décide de se débarrasser du nouveau-né.
« Avec la complicité de sa mère, elle va d’abord envelopper le bébé dans un morceau de tissu, pour ensuite l’enterrer vivant dans un trou creusé par sa mère juste devant la porte de la chambre », narre L’Obs.
Qui confie que la quinquagénaire a dû finalement conduire sa fille à l’hôpital car S. Sarr se plaignait d’intenses douleurs au ventre 2 jours jours après l’accouchement.
Elle sera admise aux urgences. Le gynécologue découvre qu’en plus des saignements, la patiente présente par ailleurs une déchirure du périnée. S. Sarr rejette le diagnostic, déclarant qu’elle ne souffre que de « simples maux de ventre. »
Loin d’être convaincu, les blouses blanches alertent les limiers du commissariat central de Mbour.
Retenue pour les besoins de l’enquête, la femme de ménage finira par passer aux aveux. Pour justifier son acte, elle a soutenu que son amant a refusé la paternité de son bébé. Ce qui « l’a obligé à choisir la pire des solutions. »
Sur instruction du Procureur de Mbour, la dépouille du nouveau-né a été exhumée pour les besoins de l’autopsie.
3 Commentaires
Mm
En Février, 2024 (10:41 AM)Triste
En Février, 2024 (12:43 PM)C'est vraiment dommage que ce soit toujours la femme qui paie alors qu'elles sont elles-memes victimes pour la plupart.
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