Un garçon de 6 ans nommé S. Gadiaga est décédé dans des conditions douloureuses mardi dernier à Mbour. L’enfant a succombé à ses brûlures au second degré quelques instants après avoir été acheminé aux Urgences de l’hôpital Thierno Mouhamadoul Mansour Barro de la capitale de la Petite Côte.
D’après le récit de L’Observateur, qui raconte ce drame dans son édition de ce lundi 3 février, celui-ci est parti d’une séance d’imitation du «kankourang», une cérémonie culturelle et mystique très populaire notamment à Mbour et dans le Sud du Sénégal.
Avec trois de ses amis, S. Gadiaga s’habillent en «kankourang». À la fin de la partie, ils décident de brûler le masque et autres atours qui formaient leur déguisement. Une croyance veut que celui-ci ne doit pas être jeté, mais brûlé.
En tentant de sacrifier au rituel, le feu se propage dans la maison en construction où les enfants s’étaient retirés. Les herbes sèches et le vent n’arrangeant pas les choses, les garçons sont pris au piège de l’incendie. Ils essayent de sauver en vitesse par la porte principale. S. Gadiaga tombe dans les braises. «Ses camarades le piétinent sans s’en rendre compte, rapporte L’Observateur. Lorsque les trois arrivent à se sauver et à alerter leurs parents, il est trop tard pour la victime. S. Gadiaga est grièvement blessé au second degré.»
Transféré à l’hôpital, le garçon succombera à ses blessures. «Une mort accidentelle, mais cela n’a pas empêché les forces de l’ordre de la Brigade de gendarmerie de Mbour d’ouvrir une enquête», signale le journal du Groupe futurs médias.
D’après le récit de L’Observateur, qui raconte ce drame dans son édition de ce lundi 3 février, celui-ci est parti d’une séance d’imitation du «kankourang», une cérémonie culturelle et mystique très populaire notamment à Mbour et dans le Sud du Sénégal.
Avec trois de ses amis, S. Gadiaga s’habillent en «kankourang». À la fin de la partie, ils décident de brûler le masque et autres atours qui formaient leur déguisement. Une croyance veut que celui-ci ne doit pas être jeté, mais brûlé.
En tentant de sacrifier au rituel, le feu se propage dans la maison en construction où les enfants s’étaient retirés. Les herbes sèches et le vent n’arrangeant pas les choses, les garçons sont pris au piège de l’incendie. Ils essayent de sauver en vitesse par la porte principale. S. Gadiaga tombe dans les braises. «Ses camarades le piétinent sans s’en rendre compte, rapporte L’Observateur. Lorsque les trois arrivent à se sauver et à alerter leurs parents, il est trop tard pour la victime. S. Gadiaga est grièvement blessé au second degré.»
Transféré à l’hôpital, le garçon succombera à ses blessures. «Une mort accidentelle, mais cela n’a pas empêché les forces de l’ordre de la Brigade de gendarmerie de Mbour d’ouvrir une enquête», signale le journal du Groupe futurs médias.
3 Commentaires
Anti Iniquité
il y a 3 jours (13:59 PM)Des parents irresponsables,ça pond des enfants pas éduqués qui deviendront des monstres sans la société
Les 2 ou 3 seules fois où j’ai vu un enfant marcher seule c’était une qui allait à la boulangerie à côté de sa maison. Les nièces de mon mari habitaient à 200 mètres de notre maison, je ne les ai jamais croisé dans la rue, jamais, pas une seule fois en 6 ans !
J’ai vécu aussi dans un pays frontalier avec le Sénégal, j’habitais dans un quartier où les seuls enfants qui trainaient seuls dehors étaient les enfants des noirs. Les enfants des arabes quand ils étaient dehors seuls c’était très rare et le reste du temps on ne les voyait qu’accompagnés de leur nounou ou du gardien .
Pourquoi la femme noire jette ses enfants dehors après avoir atrocement souffert pour les accouchements ??????
Jub,jubale
il y a 3 jours (16:01 PM)Reply_author
il y a 2 jours (12:41 PM)Participer à la Discussion