Fin de règne pour Martina Nkwumeka dite «Sweet». Cette prostituée nigériane, devenue proxénète, a assisté au déclin subit de son empire établi à Ourossogui depuis 2018 alors que celui-ci était à son apogée. Il a fallu que «Ogochi» et «Natacha», deux des filles de joie qu’elle emploie, s’échappent de son domicile et tombent à Matam sur une patrouille de police pour que tout s’écroule comme un château de cartes.
Les fugitives dénoncent les pratiques de leur ex-patronne, l’accusant de leur faire subir des ébats sexuels multiples sans la contrepartie financière espérée ainsi que des sévices corporels. Sur la foi de ces informations, les policiers effectuent une descente sur les lieux, à Ourossogui.
D’après L’Observateur, qui parle de cette affaire dans son édition de ce vendredi, ils provoquent une débandade générale. Les clients de la vingtaine de prostituées trouvées sur place en plein exercice prennent la fuite. Le journal précise que la plupart a escaladé le mur, abandonnant sur place pantalons et chemises.
La même source indique qu'un important lot de préservatifs et des pièces d’identité ont été saisis par les enquêteurs. La maîtresse de lieux, Martina Nkwumeka, et deux complices présumées, Farince Chindo et Ester, sont arrêtées et conduites au poste de police avant d’être déférées, lundi dernier, au parquet de Matam.
Face aux policiers, renseigne L’Observateur, «Sweet» reconnait être à la tête d’un réseau de prostitution monté sur la base d’un gros mensonge. Le journal du Groupe futurs médias rapporte que Martina Nkwumeka a reconnu avoir fait venir «ses» filles du Nigeria contre la promesse de lendemains meilleurs au Pays de la Téranga avec la perspective de l’exploitation du pétrole sénégalais.
Et pour mieux ferrer ses proies, souligne L’Obs, «Sweet» a confessé avoir affirmé qu’elle travaillerait avec le gouvernement sénégalais où elle occuperait un «poste stratégique». C’est avec cette carte de visite en toc et sa mallette de promesses que, en janvier dernier, elle retourne dans son pays pour convaincre de nouvelles recrues.
Ogochi et Natacha tombent dans le panneau. Respectivement coiffeuse et pompiste au Nigeria, ces dernières acceptent de tout plaquer pour suivre «Sweet» au Sénégal. Elles durent déchanter dès leur arrivée en constatant qu’à la place des «emplois décents» promis, elles en étaient réduites à se prostituer. Et que pour recouvrer leur liberté, à l’instar de leurs «collègues», elles devaient individuellement verser 2 millions de francs CFA à «Sweet».
Les fugitives dénoncent les pratiques de leur ex-patronne, l’accusant de leur faire subir des ébats sexuels multiples sans la contrepartie financière espérée ainsi que des sévices corporels. Sur la foi de ces informations, les policiers effectuent une descente sur les lieux, à Ourossogui.
D’après L’Observateur, qui parle de cette affaire dans son édition de ce vendredi, ils provoquent une débandade générale. Les clients de la vingtaine de prostituées trouvées sur place en plein exercice prennent la fuite. Le journal précise que la plupart a escaladé le mur, abandonnant sur place pantalons et chemises.
La même source indique qu'un important lot de préservatifs et des pièces d’identité ont été saisis par les enquêteurs. La maîtresse de lieux, Martina Nkwumeka, et deux complices présumées, Farince Chindo et Ester, sont arrêtées et conduites au poste de police avant d’être déférées, lundi dernier, au parquet de Matam.
Face aux policiers, renseigne L’Observateur, «Sweet» reconnait être à la tête d’un réseau de prostitution monté sur la base d’un gros mensonge. Le journal du Groupe futurs médias rapporte que Martina Nkwumeka a reconnu avoir fait venir «ses» filles du Nigeria contre la promesse de lendemains meilleurs au Pays de la Téranga avec la perspective de l’exploitation du pétrole sénégalais.
Et pour mieux ferrer ses proies, souligne L’Obs, «Sweet» a confessé avoir affirmé qu’elle travaillerait avec le gouvernement sénégalais où elle occuperait un «poste stratégique». C’est avec cette carte de visite en toc et sa mallette de promesses que, en janvier dernier, elle retourne dans son pays pour convaincre de nouvelles recrues.
Ogochi et Natacha tombent dans le panneau. Respectivement coiffeuse et pompiste au Nigeria, ces dernières acceptent de tout plaquer pour suivre «Sweet» au Sénégal. Elles durent déchanter dès leur arrivée en constatant qu’à la place des «emplois décents» promis, elles en étaient réduites à se prostituer. Et que pour recouvrer leur liberté, à l’instar de leurs «collègues», elles devaient individuellement verser 2 millions de francs CFA à «Sweet».
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