L'Association pour la défense, la protection et la sauvegarde écologique du site de Ndougouman et alentours a attrait l'État du Sénégal, à travers les impôts et domaines, Dpworld et la direction du port de Dakar à la barre du tribunal de grande instance de Mbour.
Elle proteste contre la réalisation du port et l'expropriation des terres de Ndayane.
L'Association estime que le projet du port de Ndayane est prématuré, hâtif, démesuré et génocidaire s’il venait à être réalisé comme il a été présenté.
D'un coût de 3.000 milliards comme indiqué par la population, d'une superficie de 1.200 hectares, ce projet demeure un véritable drame social, selon les plaignants.
Pis, une déforestation de zones protégées, une pollution jamais égalée dans les espaces protégés se profilent à l'horizon.
S’y ajoute un conflit foncier du jamais vu !
Des arguments ont été présentés du côté de la partie civile, comme de la défense.
Pour Mes Kaloga et Doudou Ndoye, qui représentaient les intérêts de l'association, une double menace résulte de ce projet.
D'abord les habitations des populations, ensuite les richesses côtières et naturelles de Ndayane, Popenguine, jusqu'à Toubab Dialaw sont menacées.
Ainsi, une étude d'impact environnemental est obligatoire, ont-ils assuré.
Pour Me Kaloga, "le projet est intéressant pour le Sénégal mais l'État doit d'abord se conformer au droit".
Un droit fondamental à un environnement sain exige de l'Etat une étude d'impact environnemental.
Sur ce, Me Kalaoga invite à la désignation d'un expert qui aura pour mission d'étudier les papiers, l'impact du projet, d'établir et de déposer un rapport auprès du président du tribunal de Mbour.
Elle proteste contre la réalisation du port et l'expropriation des terres de Ndayane.
L'Association estime que le projet du port de Ndayane est prématuré, hâtif, démesuré et génocidaire s’il venait à être réalisé comme il a été présenté.
D'un coût de 3.000 milliards comme indiqué par la population, d'une superficie de 1.200 hectares, ce projet demeure un véritable drame social, selon les plaignants.
Pis, une déforestation de zones protégées, une pollution jamais égalée dans les espaces protégés se profilent à l'horizon.
S’y ajoute un conflit foncier du jamais vu !
Des arguments ont été présentés du côté de la partie civile, comme de la défense.
Pour Mes Kaloga et Doudou Ndoye, qui représentaient les intérêts de l'association, une double menace résulte de ce projet.
D'abord les habitations des populations, ensuite les richesses côtières et naturelles de Ndayane, Popenguine, jusqu'à Toubab Dialaw sont menacées.
Ainsi, une étude d'impact environnemental est obligatoire, ont-ils assuré.
Pour Me Kaloga, "le projet est intéressant pour le Sénégal mais l'État doit d'abord se conformer au droit".
Un droit fondamental à un environnement sain exige de l'Etat une étude d'impact environnemental.
Sur ce, Me Kalaoga invite à la désignation d'un expert qui aura pour mission d'étudier les papiers, l'impact du projet, d'établir et de déposer un rapport auprès du président du tribunal de Mbour.
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