Interpellée par une internaute qui lui rappelle qu'il n'a pas le droit de se taire sur les ''violations graves des libertés au Sénégal'', Alioune Tine, dans sa réponse, a mis la pression sur ses camarades de la société civile. Il fait remarquer aux coordonnateurs des Ong et autres mouvements que c'est à eux d'agir en premier.
« Je vous ai entendu mais je ne vais pas brûler la politesse à Sadikh Niass, Assane Dioma Ndiaye, Babacar Ba, Fadel Barro, Mamadou Miniane Diouf, Moundiaye Cissé, Valdiodio Ndiaye, Birahim Seck, Seydi Gassama, Cheikh Tidiane Dieye, Aliou Mané, etc. », répond-t-il à l’interpellation.
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