
«La boîte clignote au rouge. Il ne lui reste plus qu’une autonomie de dix jours en combustible pour faire fonctionner ses centrales», selon une source autorisée, qui s’est confiée à l’Observateur.
Une rupture de stock ne serait plus qu’une question de jour. Cette situation est due, selon le journal, à la démission de Khadim Bâ, principal garant de la Société africaine de raffinage (Sar), fournisseur exclusif de la Senelec en fuel.
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