Un atelier consacré à l’examen d’un avant-projet de loi sur la protection des défenseurs des droits humains et leurs activités s’est tenu ce mardi à Dakar, à l’initiative de la Coalition sénégalaise des défenseurs des droits humains (COSEDDH), a constaté l’APS.
Cet avant-projet, fruit d’un partenariat entre Amnesty International/Sénégal qui préside la COSEDDH et Open Society Initiative For West Africa (OSIWA), vise notamment à offrir ’’un cadre juridique plus protecteur aux divers acteurs engagés dans la promotion et la protection des droits humains’’, a indiqué Seydi Gassama, directeur exécutif d’Amnesty International/Sénégal.
Selon lui, cet atelier devrait offrir l’opportunité aux acteurs engagés dans le travail de défenseurs des droits humains, ’’d’analyser les dispositions contenues dans les textes soumis par le consultant, au regard des normes régionales et internationales en matière de droits humains.’’
’’Ce [projet de loi] n’est pas pour dire que nous travaillons dans de mauvaises conditions, mais cest juste pour permettre d’évoluer dans un cadre juridique plus élaboré devant permettre de lever certains fantasmes selon lesquels les organisations de défense des droits humains seraient des entités envoyées de l’extérieur pour déstabiliser nos pays en imposant des calendriers contraires à nos réalités’’, a expliqué Seydi Gassama.
C’est dans cet esprit que le député de la majorité (BBY), Mamadou Oury Bailo Diallo, qui prenait part à cet atelier, a invité les promoteurs à ’’domestiquer’’ les projets de loi en tenant compte de nos ’’spécificités’’.
Son collègue de l’opposition, Cheikh Bamba Dièye, a également insisté sur cette nécessité de prendre en compte ’’les réalités locales pour éviter toute incompréhension et frustration des populations.’’
’’Cette loi une fois adoptée devrait permettre non seulement de protéger les défenseurs des droits humains mais surtout de les mettre face à leurs responsabilités’’, a-t-il indiqué.
Cet avant-projet, fruit d’un partenariat entre Amnesty International/Sénégal qui préside la COSEDDH et Open Society Initiative For West Africa (OSIWA), vise notamment à offrir ’’un cadre juridique plus protecteur aux divers acteurs engagés dans la promotion et la protection des droits humains’’, a indiqué Seydi Gassama, directeur exécutif d’Amnesty International/Sénégal.
Selon lui, cet atelier devrait offrir l’opportunité aux acteurs engagés dans le travail de défenseurs des droits humains, ’’d’analyser les dispositions contenues dans les textes soumis par le consultant, au regard des normes régionales et internationales en matière de droits humains.’’
’’Ce [projet de loi] n’est pas pour dire que nous travaillons dans de mauvaises conditions, mais cest juste pour permettre d’évoluer dans un cadre juridique plus élaboré devant permettre de lever certains fantasmes selon lesquels les organisations de défense des droits humains seraient des entités envoyées de l’extérieur pour déstabiliser nos pays en imposant des calendriers contraires à nos réalités’’, a expliqué Seydi Gassama.
C’est dans cet esprit que le député de la majorité (BBY), Mamadou Oury Bailo Diallo, qui prenait part à cet atelier, a invité les promoteurs à ’’domestiquer’’ les projets de loi en tenant compte de nos ’’spécificités’’.
Son collègue de l’opposition, Cheikh Bamba Dièye, a également insisté sur cette nécessité de prendre en compte ’’les réalités locales pour éviter toute incompréhension et frustration des populations.’’
’’Cette loi une fois adoptée devrait permettre non seulement de protéger les défenseurs des droits humains mais surtout de les mettre face à leurs responsabilités’’, a-t-il indiqué.
2 Commentaires
Gloubigoulba
En Juin, 2021 (10:23 AM)Participer à la Discussion