
Dans les colonnes de Tribune et Libération, la Dgpsn réfute ces accusations qu’elle qualifie de «sans fondement» et apporte les précisions. Selon les services de Anta Sarr Diacko, le milliard n’a pas été puisé dans le budget du programme des Bourses de sécurité familiale.
L’autorisation, accordée par le ministre des Finances pour l’utilisation d’un milliard dont il est fait état pour acheter du riz, portait plutôt sur le compte de dépôt de la Dgpsn et n’a pas été exécutée faute de crédits suffisants.
Mieux, précise la Délégation générale à la protection sociale et à la solidarité nationale (Dgpsn), "les documents relatifs à ce marché et attestant de la livraison du riz dans les magasins du Commissariat à la sécurité alimentaire sont bel et bien disponibles".
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