La nuit du mardi 4 février restera gravé dans sa mémoire. Une fille dont l’identité n’a pas été révélée a été témoin de la mort de son petit-ami dans des conditions troubles. «Pape m’a raconté ce qu’ils lui ont fait subir dans leur véhicule, rembobine-t-elle. Il m’a demandé d’aller lui payer de la boisson. À mon retour dans la maison, j’ai constaté qu’il est décédé. Il m’a révélé l’identité de ses bourreaux dont l’indicateur Kalz.»
D’après le récit de L’Observateur, qui rapporte cette histoire dans son édition de ce jeudi 6 février, Pape Coulibaly venait d’être jeté dans la rue par ses bourreaux présumés. Mal en point, il se traine dans la rue jusqu’à ce qu’il soit rejoint par sa copine.
Cette dernière le conduit chez elle avec l’espoir qu’il recouvre ses forces. Elle sera déçue. Son petit-ami a rendu l’âme avoir désigné ses agresseurs, soulignant que ces derniers lui ont fait subir «les pires services corporels durant le trajet à bord de leur véhicule».
La soirée avait pourtant bien démarré ce jour-là entre Pape Coulibaly et sa petite-amie. Après un tête-à-tête en amoureux chez lui à la cité Asecna de Yeumbeul Nord, le premier raccompagne la seconde. Le couple se dirige vers le garage des taxis clandos lorsqu’il est interpellé par deux personnes surgies d’un voiture quelconque.
Kalz est l’un d’eux. Il interpelle Pape Coulibaly et tente de le soumettre à une fouille corporelle de police. Ce dernier, craignant que son vis-à-vis glisse un produit prohibé dans ses poches, s’oppose. Kalz persiste, insiste. Pape Coulibaly accepte le principe de la fouille, mais demande que celle-ci soit effectuée par le compagnon de Kalz, un agent du GMI, selon Les Échos. En vain.
Fort remonté, Kalz, appuyé par l’agent du Gmi, embarque de force Pape Coulibaly. «Ils l’ont sauvagement roué de coups et l’ont fait descendre de la voiture à Tally Bou Khonkh. Ils l'ont molesté, lui ont causé de graves blessures et l’ont jeté dans la rue avant de se fondre dans la nature», confient des proches de la victime présumée, repris par Les Échos.
Le journal rapporte que l’enquête ouverte a permis de localiser Kalz, qui a pris la fuite, vers Ross. La même source indique que l’agent du Gmi qui aurait pris part à l’expédition punitive devrait incessamment être mis aux arrêts. Les Échos souligne que ce dernier était en congés au moment des faits incriminés, ce qui pourrait aggraver son cas.
D’après le récit de L’Observateur, qui rapporte cette histoire dans son édition de ce jeudi 6 février, Pape Coulibaly venait d’être jeté dans la rue par ses bourreaux présumés. Mal en point, il se traine dans la rue jusqu’à ce qu’il soit rejoint par sa copine.
Cette dernière le conduit chez elle avec l’espoir qu’il recouvre ses forces. Elle sera déçue. Son petit-ami a rendu l’âme avoir désigné ses agresseurs, soulignant que ces derniers lui ont fait subir «les pires services corporels durant le trajet à bord de leur véhicule».
La soirée avait pourtant bien démarré ce jour-là entre Pape Coulibaly et sa petite-amie. Après un tête-à-tête en amoureux chez lui à la cité Asecna de Yeumbeul Nord, le premier raccompagne la seconde. Le couple se dirige vers le garage des taxis clandos lorsqu’il est interpellé par deux personnes surgies d’un voiture quelconque.
Kalz est l’un d’eux. Il interpelle Pape Coulibaly et tente de le soumettre à une fouille corporelle de police. Ce dernier, craignant que son vis-à-vis glisse un produit prohibé dans ses poches, s’oppose. Kalz persiste, insiste. Pape Coulibaly accepte le principe de la fouille, mais demande que celle-ci soit effectuée par le compagnon de Kalz, un agent du GMI, selon Les Échos. En vain.
Fort remonté, Kalz, appuyé par l’agent du Gmi, embarque de force Pape Coulibaly. «Ils l’ont sauvagement roué de coups et l’ont fait descendre de la voiture à Tally Bou Khonkh. Ils l'ont molesté, lui ont causé de graves blessures et l’ont jeté dans la rue avant de se fondre dans la nature», confient des proches de la victime présumée, repris par Les Échos.
Le journal rapporte que l’enquête ouverte a permis de localiser Kalz, qui a pris la fuite, vers Ross. La même source indique que l’agent du Gmi qui aurait pris part à l’expédition punitive devrait incessamment être mis aux arrêts. Les Échos souligne que ce dernier était en congés au moment des faits incriminés, ce qui pourrait aggraver son cas.
7 Commentaires
Thiey Sénégal mon beau pays !
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Même pas honte, tu es juste un imbécile On parle de mort d'homme d'ici
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En Février, 2025 (13:47 PM)-
Ce beau pays est désormais lourdement handicapé par le fait que ton géniteur ait yolomal son guénio pour t’engendrer
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{comment_ads}@domou Yolom-guénio Ci-dessus
En Février, 2025 (13:49 PM)-
JE TE COMPRENDS, TU NAS PAS D'ARGUMENTS MAIS L'ARME DU FAIBLE OUI !!@
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En Février, 2025 (14:01 PM)-
JE TE COMPRENDS, TU NAS PAS D'ARGUMENTS MAIS L'ARME DU FAIBLE OUI !!@
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En Février, 2025 (14:01 PM)Thiéyy Miim Réew !!????
En Février, 2025 (14:01 PM)Coulou Dolé
En Février, 2025 (17:15 PM)Participer à la Discussion