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Le promoteur Luc Nicolaï a convié la presse ce jeudi 6 janvier en compagnie de Modou Lo. Cette rencontre entre dans le cadre de la future sortie du Roi des arènes, le 13 mars prochain, contre Ama Baldé. Plusieurs sujets ont été abordés face à la presse, parmi lesquels le très controversé Pay-Per-View (PPV).
Pourtant initiateur de ce concept au Sénégal dans le monde de la lutte, Luc Nicolaï affirme que ce système de paiement à la demande est l’une des raisons de la descente aux enfers de la lutte.
À lire aussi : [Mini Dossier] Pay-Per-View : No Money, No Lamb
«Je ne dis pas que le Pay-Per-View est mauvais. Mais j’ai des regrets par rapport. Parce qu’il fait partie de ce qui a tué la lutte sénégalaise. Le PPV peut rapporter de l’argent au promoteur, mais le problème, c’est qu’il diminue l’engouement que suscitait la lutte. Je ne suis pas contre le Pay-Per-View. Certains évènements de moindre envergure peuvent être diffusés par PPV. Mais pour moi, il fait partie de ce qui tue la lutte», a reconnu Luc Nicolaï transcrit par Wiwsport.
Dans un mini dossier publié, il y a quelques jours sur Seneweb, la question de l’impact du Pay-Per-View était déjà abordée. Dans ce lot de conséquences évoqué dans cet article, la baisse considérable de la ferveur des supporters en amont et le jour J des grandes affiches de lutte et l’impossibilité pour de nombreux amateurs de regarder ces rendez-vous étaient considérées comme les principales failles de ce système.
«Beaucoup de nos populations ne peuvent pas accéder à Internet, du fait de leur localisation. On doit penser à eux. Moi, j’aurais aimé que toutes les télés retransmettent le combat (Modou Lô vs Ama Baldé), que chacun fasse son propre direct. Qu’il y ait un grand engouement comme auparavant. De plus, beaucoup de Sénégalais n’ont pas de Smart Tv. Ils regardent le combat sur leur téléphone. Et vous savez qu’il n’est pas facile de tenir un petit écran durant quatre heures pour suivre un combat. Et combien de personnes peuvent suivre sur petit écran ?», regrette le promoteur du combat Modou Lo-Ama Baldé.
Pourtant initiateur de ce concept au Sénégal dans le monde de la lutte, Luc Nicolaï affirme que ce système de paiement à la demande est l’une des raisons de la descente aux enfers de la lutte.
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«Je ne dis pas que le Pay-Per-View est mauvais. Mais j’ai des regrets par rapport. Parce qu’il fait partie de ce qui a tué la lutte sénégalaise. Le PPV peut rapporter de l’argent au promoteur, mais le problème, c’est qu’il diminue l’engouement que suscitait la lutte. Je ne suis pas contre le Pay-Per-View. Certains évènements de moindre envergure peuvent être diffusés par PPV. Mais pour moi, il fait partie de ce qui tue la lutte», a reconnu Luc Nicolaï transcrit par Wiwsport.
Dans un mini dossier publié, il y a quelques jours sur Seneweb, la question de l’impact du Pay-Per-View était déjà abordée. Dans ce lot de conséquences évoqué dans cet article, la baisse considérable de la ferveur des supporters en amont et le jour J des grandes affiches de lutte et l’impossibilité pour de nombreux amateurs de regarder ces rendez-vous étaient considérées comme les principales failles de ce système.
«Beaucoup de nos populations ne peuvent pas accéder à Internet, du fait de leur localisation. On doit penser à eux. Moi, j’aurais aimé que toutes les télés retransmettent le combat (Modou Lô vs Ama Baldé), que chacun fasse son propre direct. Qu’il y ait un grand engouement comme auparavant. De plus, beaucoup de Sénégalais n’ont pas de Smart Tv. Ils regardent le combat sur leur téléphone. Et vous savez qu’il n’est pas facile de tenir un petit écran durant quatre heures pour suivre un combat. Et combien de personnes peuvent suivre sur petit écran ?», regrette le promoteur du combat Modou Lo-Ama Baldé.
14 Commentaires
A un moment donné ,il faut arrêter et évaluer.
Contributeur
En Janvier, 2022 (12:48 PM)Tambakhara
En Janvier, 2022 (12:55 PM)Avec ce système les sponsors ne sont plus enchantés. C'est ça la vérité. Les promoteurs ont transféré cette technique de l'occident alors que les contextes dont différents. Que dire de la monnaie locale communautaire qu'on nous vend encore et que les exemples nous sont venus de la France. Guy Marius Sagna va certainement apprécier.
doyna waye tu ns fatigue yangui fep.
Vrai
En Janvier, 2022 (13:37 PM)Diop Diop
En Janvier, 2022 (14:41 PM)Atila
En Janvier, 2022 (16:02 PM)Participer à la Discussion