Le Programme d'urgence de modernisation des axes et territoires frontaliers (PUDC) est d’une grande importance pour garantir une modernisation des zones et des axes frontaliers, selon la ministre du Développement communautaire, de la Solidarité nationale et de l’Équité sociale et territoriale.
Thérèse Faye Diouf répondait aux interpellations des parlementaires, dans le cadre de l’examen du budget 2024 de son département, à l’Assemblée nationale.
En effet, la ministre a expliqué qu’au-delà du montant de 8,022 milliards jugé insuffisant par rapport à la demande et aux réalités dans les zones concernées, des engagements sont en cours pour la poursuite du programme, surtout dans les localités bénéficiaires du programme de repeuplement du fleuve. « Le ministère est en train de formuler avec la Banque mondiale un important programme communautaire qui pourra être approuvé au mois de décembre par le Conseil d'administration de la banque ».
Concernant le Programme national des bourses de sécurité familiale (PNBSF), elle a précisé qu'au-delà du montant de 35 000 F CFA par trimestre attribué aux bénéficiaires, il faut aussi retenir son impact significatif sur le taux de scolarisation et l'enregistrement des enfants à l'état civil, entre autres.
Thérèse Faye souhaite d’ailleurs des assises au niveau des différentes localités, des assemblées générales qui vont régler le problème de l’objectivité de la bourse familiale. « Les bourses familiales, les populations en ont besoin. Et pour le salaire familial proposé par un parlementaire, l’État est en train de mettre les conditions pour favoriser l’entrepreneuriat ».
Pour un meilleur être et une meilleure inclusion des associations des personnes vivant avec un handicap, la ministre cite la gratuité de la césarienne pour les femmes handicapées qui est également gratuite pour toutes les femmes sénégalaises, sans discrimination. Les personnes vivant avec un handicap sont enrôlées au PNBSF à travers le ministère de la Santé et de l'Action sociale, par l'attribution de la carte de l'égalité des chances avec des avantages sociaux. À cet effet, elle a indiqué qu'en 2016, plus de 25 000 handicapés ont bénéficié de la Couverture maladie universelle (CMU).
S’agissant de la prise en charge du personnel dans les postes de santé réalisés dans le cadre du PUMA, elle a souligné que l'objectif de ce programme est de réaliser et d'équiper les infrastructures avant de les livrer à l'État ou à ses démembrements, notamment les collectivités territoriales.
Cependant, Mme Faye fera noter que la prise en charge du personnel médical relève des compétences du ministère de la Santé et de l'Action sociale.
Sur la faiblesse de la contribution de l'État aux mutuelles de santé, elle a précisé que l'État les a subventionnées pour un montant de 25 milliards F CFA, ainsi que les soins des bénéficiaires des BSF, la carte d'égalité des chances, la césarienne et les enfants âgés de moins de 5 ans.
Dans le département de Mbacké, des réalisations sont en cours avec le PUDC. Elle cite l'électrification de 42 villages en raison de trois villages par commune pour commencer l'électrification.
Quid de la mobilisation des ressources sur un objectif de 300 milliards ? Des fonds sont aussi mobilisés auprès de la Banque africaine de développement (BAD), de la Banque islamique de développement (BID) et du Fonds saoudien pour un montant de 105 milliards F CFA et 168 milliards F CFA du projet d'électrification de 2 000 villages.
Thérèse Faye Diouf répondait aux interpellations des parlementaires, dans le cadre de l’examen du budget 2024 de son département, à l’Assemblée nationale.
En effet, la ministre a expliqué qu’au-delà du montant de 8,022 milliards jugé insuffisant par rapport à la demande et aux réalités dans les zones concernées, des engagements sont en cours pour la poursuite du programme, surtout dans les localités bénéficiaires du programme de repeuplement du fleuve. « Le ministère est en train de formuler avec la Banque mondiale un important programme communautaire qui pourra être approuvé au mois de décembre par le Conseil d'administration de la banque ».
Concernant le Programme national des bourses de sécurité familiale (PNBSF), elle a précisé qu'au-delà du montant de 35 000 F CFA par trimestre attribué aux bénéficiaires, il faut aussi retenir son impact significatif sur le taux de scolarisation et l'enregistrement des enfants à l'état civil, entre autres.
Thérèse Faye souhaite d’ailleurs des assises au niveau des différentes localités, des assemblées générales qui vont régler le problème de l’objectivité de la bourse familiale. « Les bourses familiales, les populations en ont besoin. Et pour le salaire familial proposé par un parlementaire, l’État est en train de mettre les conditions pour favoriser l’entrepreneuriat ».
Pour un meilleur être et une meilleure inclusion des associations des personnes vivant avec un handicap, la ministre cite la gratuité de la césarienne pour les femmes handicapées qui est également gratuite pour toutes les femmes sénégalaises, sans discrimination. Les personnes vivant avec un handicap sont enrôlées au PNBSF à travers le ministère de la Santé et de l'Action sociale, par l'attribution de la carte de l'égalité des chances avec des avantages sociaux. À cet effet, elle a indiqué qu'en 2016, plus de 25 000 handicapés ont bénéficié de la Couverture maladie universelle (CMU).
S’agissant de la prise en charge du personnel dans les postes de santé réalisés dans le cadre du PUMA, elle a souligné que l'objectif de ce programme est de réaliser et d'équiper les infrastructures avant de les livrer à l'État ou à ses démembrements, notamment les collectivités territoriales.
Cependant, Mme Faye fera noter que la prise en charge du personnel médical relève des compétences du ministère de la Santé et de l'Action sociale.
Sur la faiblesse de la contribution de l'État aux mutuelles de santé, elle a précisé que l'État les a subventionnées pour un montant de 25 milliards F CFA, ainsi que les soins des bénéficiaires des BSF, la carte d'égalité des chances, la césarienne et les enfants âgés de moins de 5 ans.
Dans le département de Mbacké, des réalisations sont en cours avec le PUDC. Elle cite l'électrification de 42 villages en raison de trois villages par commune pour commencer l'électrification.
Quid de la mobilisation des ressources sur un objectif de 300 milliards ? Des fonds sont aussi mobilisés auprès de la Banque africaine de développement (BAD), de la Banque islamique de développement (BID) et du Fonds saoudien pour un montant de 105 milliards F CFA et 168 milliards F CFA du projet d'électrification de 2 000 villages.
2 Commentaires
Karim$
En Novembre, 2023 (20:13 PM)Bis 2
En Novembre, 2023 (01:40 AM)Participer à la Discussion