Elle a été animée par la Secrétaire générale adjointe pour le maintien de la paix des Nations Unies, Bintou Keïta, du ministre de la Défense du Niger, Issoufou Katambé, du ministre des Affaires étrangères, de la Coopération et des Congolais de l’extérieur de la République du Congo, Jean-Claude Gakosso, et du ministre des Affaires étrangères du Gabon, Alain-Claude Bilie-By-Nizé. A l’occasion, le RSSG des Nations Unies a noté que la situation sécuritaire dans certaines zones du continent, comme au Sahel ou en Afrique de l’Est, souligne un paradoxe dans la capacité de réponses des États aux nouvelles menaces, notamment en ce qui concerne la lutte contre l'extrémisme violent et le terrorisme».
Et la réponse militaire, qui a été choisie comme mode d'action principal, montre aujourd'hui ses limites avec une recrudescence, de l’intensité des attaques et l'élargissement des zones d'action du local au niveau régional». A l'en croire, les plus importantes opérations de maintien de la paix des Nations Unies se trouvent aujourd'hui sur le territoire africain et paradoxalement dans l'espace francophone».
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