"Une longue vie à Raúl", souhaite le journal Marca. Hier soir, le stade Bernabeu a rendu hommage au mythique numéro 7 desMerengues. Une soirée riche en émotions, un hommage plus que mérité pour l'enfant de Madrid. En 2010, il est parti sur la pointe des pieds vers Schalke '04. Mais ce départ précipité ne pouvait pas rester sans lendemain. Raúl Gonzalez Blanco, symbole et légende vivante de la formation madrilène, méritait un digne hommage de la part du Real Madrid, club avec lequel il aura disputé 16 saisons, marqué plus de 323 buts, remporté notamment trois Ligues des Champions et six Ligas.
Raúl premier buteur
Hier soir, dans le cadre du Trofeo Bernabeu où le Real Madrid s'est imposé contre Al Sadd (actuel club de Raúl), le public merengue a accueilli le mythique numéro 7 comme un héros. Enfin... Lui ne s'est pas privé pour inscrire le premier but de la rencontre contre ses coéquipiers (autres buts: Isco, Benzema et doublé de Jesé). Une habitude.
Raúl-CR7: passation de pouvoir
Pour l'occasion, Raúl avait récupéré "son" numéro 7 au détriment de Cristiano Ronaldo. A la pause, le natif de Madrid a offert son maillot à CR7en guise de remerciement. Comme une passation de pouvoir.
Le Roi en personne
Même le Roi Juan Carlos, fan absolu du Real Madrid, avait fait le déplacement au stade Bernabeu. Raúl est une légende du football espagnol. Et il le restera à tout jamais. Juste avant la rencontre et des mains du Roi d'Espagne en personne, il a reçu une réplique de la Cibeles, la place emblématique de la capitale espagnole où les supporters du Real Madrid se réunissent pour célébrer les trophées remportées.
Casillas, applaudi et sifflé
Dans cette euphorie générale, Iker Casillas a (re) joué comme titulaire. Pour rappel, il a été mis sur le banc par Carlo Ancelotti pour l'ouverture de la Liga.San Iker a davantage été applaudi que sifflé par le public du Bernabeu. Cependant, quelques supporters installés du côté du sud de l'enceinte madrilène ont sifflé le gardien international espagnol, tout en scandant le nom de Diego Lopez (concurrent de Casillas).
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