Elle était juste partie au Burkina Faso pour participer à un atelier de formation. Malheureusement, la journaliste nigérienne, du groupe de presse Bonferey, est décédée dans la capitale Burkinabé des suites d’une courte maladie. «Nous avons la profonde douleur d’annoncer le décès de la journaliste nigérienne Bouli Adamou Idé, le mercredi 27 octobre 2021 à Ouagadougou au Burkina Faso », a fait savoir la CENOZO, ce jeudi 28 octobre, dans un communiqué reçu. Elle souligne que Bouli Adamou Idé était venue à Ouagadougou le dimanche 24 octobre 2021 pour participer à un atelier de formation sur la sécurité du journaliste d’investigation, organisé par la CENOZO. Mais malheureusement, elle n’aura assisté à aucune session de l’atelier de ladite formation.
En effet, prise de malaises dans la matinée du lundi 25 octobre 2021, avant le démarrage de l’atelier, elle s’était rendue à l’hôpital pour se faire soigner. Elle a été hospitalisée jusque dans la soirée du mardi 26 octobre où elle a été autorisée à rentrer à l’hôtel. « Dans la matinée du mercredi 27 octobre, son état de santé s’est à nouveau dégradé et elle a été conduite d’urgence à l’hôpital où elle a subi des examens approfondis qui n’ont révélé aucune anomalie grave. De nouveau hospitalisée et placée sous surveillance, en attendant d’autres examens, Bouli Adamou Idé a rendu l’âme aux environs de 17 heures GMT », informe la structure. Qui renseigne que suite à cette nouvelle affligeante, la CENOZO suspend toutes les activités de l’atelier de formation.
Bouli Adamou Idé, 33 ans, mariée et mère de 3 enfants, «était une journaliste dévouée, engagée et très attachée à la déontologie». «Son décès est une très grande perte pour la communauté journalistique nigérienne et ouest-africaine», fait remarquer la CENOZO. Tout en présentant ses sincères condoléances à sa famille, ses proches et à toute la corporation.
12 Commentaires
Mere De Famille
En Octobre, 2021 (15:36 PM)Hé!
En Octobre, 2021 (15:50 PM)Autre chose: on nous dit qu'elle est décédée "d'une courte maladie" sans préciser laquelle.
En Afrique, nous avons la (mauvaise) habitude de taire volontairement la cause des décès des gens, au nom du "soutoura". Sachant que tout le monde va y passer parce que c'est la loi de la Biologie, c'est pas une bonne idée. Il faut au contraire en parler et expliquer les causes les plus fréquentes de ces maladies, pour que les populations comprennent ce qui se passe et qu'elles fassent attention pour ne pas "provoquer" par ignorance celles-ci, d'autant plus que nos espérances de vie sont trop courtes sur ce continent. Vous ne pensez pas?
PS: svp, épargnez ce commentaire des "Ndogalou Yallah leu". Parce que si l'Humain se limitait à La Volonté Divine, il n'aurait jamais réussi à fabriquer des vaccins, des médicaments et autres solutions thérapeutiques.
L'information doit être complétée par la cause de la mort.
Défenseur
En Octobre, 2021 (15:56 PM)Il y en a beaucoup (locaux comme etrangers_ qui ne veulent pas de ceux et celles qui fouinent dans leurs affaires occultes...
édecine D Afrique
En Octobre, 2021 (17:30 PM)Qu Allah t accorde le Jannatoul Firdawsi ma soeur. Condoléances à la famille.
Reply_author
En Octobre, 2021 (19:47 PM)Toufa
En Octobre, 2021 (18:00 PM)Gorgui
En Octobre, 2021 (20:43 PM)Participer à la Discussion