Selon Le Point.fr, il avait assuré que « l’accord sera signé par toutes les parties ».Mais ce n’est pas encore le cas.
À en croire l'Agence France Presse (AFP), « les protagonistes et la médiation algérienne étaient sous forte pression de la communauté internationale, notamment de la France, à l'origine de l'intervention internationale (Serval), pour aboutir à un résultat ».
Le ministre français des Affaires étrangères Laurent Fabius plaide « un texte équilibré et bénéfique pour le pays et la région » et appelle tous les groupes armés à le signer « sans délai ».
Mais d’un autre coté la rébellion demande « un délai raisonnable ». La coordination qui regroupe le Mouvement national de libération de l'Azawad (MNLA) et le Haut Conseil pour l'unité de l'Azawad (HCUA) demande un temps « pour consulter les populations qu'elle représente, après avoir exigé en vain des amendements au projet d'accord présenté cette semaine ».
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