D’ici fin janvier 2025, le Nigéria révisera son Produit Intérieur Brut (PIB) en intégrant des secteurs informels et illégaux, comme la prostitution et le trafic de drogue, ainsi que des domaines émergents tels que l’économie numérique et les retraites.
Cette mise à jour, basée sur des données de 2019, vise à offrir une image plus fidèle de l’économie nationale et pourrait augmenter la taille officielle du PIB, selon la National Bureau of Statistics (NBS).
Le pays, autrefois première économie africaine, espère avec cette démarche regagner en compétitivité et alléger son ratio dette/PIB, malgré une crise économique marquée par le déclin du secteur pétrolier, dépassé par l’agriculture, le commerce et l’immobilier.
3 Commentaires
Xeme
il y a 3 semaines (13:17 PM)Les filles sans profession apparente ni qualification qui voyageaient régulièrement en first class vers Dubai, l’Europe et les USA, ne peuvent même plus louer un taxi et sont restées clouées au sol sénégalais depuis la perte de pouvoir des APRiens.
Celles qui occupaient des appartements huppés à Ngor, almadie et sacré cœur ont déménagé, certaines ont rejoint leurs familles, d’autres vivent en colocation avec d’autres filles dans des quartiers moins chers en location.
Les mots jet-setteurs et jet-setteuses commencent à disparaître du vocabulaire dakarois et les filles qui se définissaient comme VIP deviennent des personnes ordinaires.
Toutes ces filles qui se faisaient inaccessibles aux sénégalais moyens et semblaient être réservées aux ministres et aux directeurs de sociétés se donnent désormais aux goorgorlou à des prix dérisoires pour se payer la nourriture.
Les APRiens entrenaient ces réseaux de prostitution avec l’argent public.
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