Afrique
Omar BONGO ONDIMBA, un homme dans la LEGENDE… Et si le grain ne meurt…
Maintenant que la clameur s’est estompée après beaucoup de choses dites et écrites au sujet du président Omar Bongo Ondimba, à l’occasion de la commémoration de sa disparition, je voudrais prendre ma part de vérité et de plume.
Non parce que la première m’est exclusive et la seconde affutée ou gourmande, mais juste pour partager mon envie. Celle de laisser parler le cœur et crier celle de voir, ceux qui en ont le talent, consacrer à l’Homme de véritables essais de science politique, sociale ou autres manuels scolaires de référence. Car, il faudra bien un jour offrir en exemple aux générations contemporaines et futures le courage, le patriotisme, la sincérité et le profond engagement d’El hadj Omar Bongo, passionné du Gabon et de son peuple qu’il plaçait au -dessus tout et qu’il considérait certainement comme ses seuls juges sur terre et pour lesquels il est entré en politique comme certains entrent en religion.
Parce qu’il aimait tout autant l’Afrique, il l’aura servie avec foi et dignité de par son aura et son charisme. En Bongo, le continent avait un leader, une voix. Celle qu’on écoutait dans le concert des nations. Et…cette voix-là, elle comptait.
Si pour beaucoup de ses pairs d’hier et successeurs d’aujourd’hui, ce n’était encore que rêve, le président Bongo l’avait lui déjà réalisé. Il a fait de sorte que ses compatriotes puissent parcourir le monde et marcher front haut partout, parce que fiers d’être gabonais. Si leur pays était connu avant son accession à la magistrature suprême, uniquement à travers le pétrole, l’okoumé, Lambaréné et le Transgabonais, il est depuis lors reconnu pour les avancées prodigieuses accomplies dans tous les domaines de l’activité humaine.
S’il a fallu plusieurs révolutions et autant de Républiques à des pays industrialisés et démocratiques, là-bas, il y’a eu l’arrivée d’un Bongo pour entamer la marche vers le progrès, la démocratie et le mieux-être. Même si jeunes et femmes y ont bénéficié de sa particulière attention, tous ses compatriotes ont fait l’objet d’une grande sollicitude et jouit d’une égale dignité.
Un de ses ‘’fils’’ qu’il a entouré d’une tendre affection, Johny Ba, pour ne pas le nommer, venu tres jeune de son profond Fouta au Sénégal, et qui lui voue en retour un culte sans borne, m’a repris un jour cette phrase : ‘’ Pour Papa Bongo ( il l’appelle ainsi), tous les gabonais sont propriétaires des routes sur lesquelles ils roulent, des immeubles majestueux, symboles de modernité et de solidité, abritant ministères, administration, sociétés privées ou institutions internationales, signes de l’attractivité d’un pays sur les autoroutes de l’émergence où les jalons furent posés et aujourd’hui bien tenus’’.
Homme de dialogue et de consensus, démocrate jusqu’au bout des ongles, il aura en définitive cultivé chez ses compatriotes une certaine soif de justice, de liberté et de démocratie. C’est pourquoi, après avoir assis un véritable Etat de droit dans lequel, justice et équité ne sont pas que de simples concepts, il a mis en place des institutions fortes qui ont fini de hisser le pays au rang de démocratie avancé.
Homme de réflexion, il n’en était pas moins d’action et de terrain. Donnant une forte impulsion à l’action de ses collaborateurs dont beaucoup ont reconnu avoir tant appris auprès d’un chef aussi pragmatique, en qui ils trouvaient quelque chose d’exceptionnel.
En un, comme en mille mots, Omar Bongo fut, sera toujours une fierté pour le Gabon, voire pour l’Afrique. Il aura vaincu l’afro-pessimisme, et démontré que les africains sont capables, tout autant que les autres peuples de réaliser de grandes et belles choses, au-delà du sport et de la musique.
Maintenant qu’il est entré définitivement au Panthéon des plus dignes fils d’Afrique, bâtisseurs de pays de progrès et de bonheur partagé, reste à consolider et perpétuer son œuvre.
Et si le grain ne meurt, cela doit constituer un engagement fort de l’ensemble de sa famille biologique comme celle de la nation qu’il assimilait à la sienne propre. Comme son ami et homologue, Sédar Senghor du Sénégal, El hadji Hajj Oumar Bongo voulait ‘’tous les hommes frères afin que naisse l’aube transparente d’un jour nouveau’’.
Un ami sénégalais du Gabon
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10 Commentaires
Le Meilleur
En Juin, 2014 (11:12 AM)15 ans d'invincibilité !
8 ans Roi des arènes
Niveau international: Combien de fois champion CDEAO ? je ne compte plus !
Meilleur lutteur du cinquantenaire
Reportage intérieur sport Canal +
livre sur Yékini et la lutte de manière générale intitulé "Lutteurs Sénégalais"
Bandes dessinée sur yékini intitulée "YEKINI LE ROI DES ARENES" présentée au festival BD d’Angoulême
Vis champion d’Afrique à Johannesburg en lutte olympique !
Lion d'or 2005 le seul lutteur à l'avoir au senegal
Champion pour l’éducation en 2010 par COCIDEP
Mentor de la 16 Promotion 2011 de ENDA LID AFRICA après Feu Kéba Mbaye et Cheikh amidou Kane
Senegal moome on a tendance à mettre en avant la médiocrité avec une hypocrisie sans commune mesure !
té nguèène bayi diakhassé Balla gaye 2 ak yèkini qui sont 2 superbes gars ! Yékini massoul wakh lou gnaaw si BG2 ! Malheureusement BG2 à tendance à se laisser influencer par les Chaytaanes !
Vous pouvez complétez la liste chers amis ! WASSALAM !
Ali Ndongo
En Juin, 2014 (11:16 AM)L'evangile
En Juin, 2014 (11:21 AM)Soyez tous bénis vous et vos familles dans le puissant nom de Jésus Christ
Dof Bi
En Juin, 2014 (11:25 AM)Lol
En Juin, 2014 (12:06 PM)Mandji
En Juin, 2014 (12:49 PM)Thiant
En Juin, 2014 (13:36 PM)Ignard du Gabon oui
Gonguiyanke
En Juin, 2014 (14:57 PM)Ndiayed
En Juin, 2014 (16:28 PM)Des dirigeants comme Bongo, Sassou, Eyadéma, Mobutu... qu'Allah nous en préserve.
Le Gabon n'est pas les monarchies riches du golf alors que le pays est autant riche en matières premières.
Bongo n'a rien construit en +40 ans de pouvoir. Faut sortir dans Libreville pour voir la pauvreté dans la banlieue et le manque d’infrastructures ou l'université OBO qui n'a d'université que le nom. Pour aller d'une ville à une autre il faut parfois plusieurs jours à cause du manque de moyens de transport et de l'état des routes. Sans parler de la corruption, la fainéantise de beaucoup de gabonais qui veulent tous être bureaucrates (conséquence de la politique d'oisiveté menée par Bongo entrainant ainsi leur xénophobie vis-à-vis des ouest africain qui font les jobs les plus durs).
Ce type quémande sans vergogne espérant attirer l'attention de la famille Bongo toujours au pouvoir. C'est indigne d'un être humain votre comportement. Et vous devriez en avoir honte! Mais venant d'un cousin haalpulaar ça m'étonne pas trop. Xaliss diaralna certains louné!!!!!
Sengabon
En Juin, 2014 (18:19 PM)Participer à la Discussion