Lancée vendredi 11 janvier 2013 par l’armée française, l’opération Serval se poursuit contre les groupes armés islamistes qui contrôlent le Nord-Mali. Tout le week-end, des raids ont eu lieu visant des sites stratégiques pour les rebelles. Dans le même temps, le Mouvement pour l’unicité et le jihad en Afrique de l’Ouest (Mujao) a menacé dans un communiqué de frapper «le cœur de la France». Edition spéciale sur TV5MONDE.
14 Commentaires
Bass
En Janvier, 2013 (00:13 AM)Lolou
En Janvier, 2013 (00:23 AM)Walo
En Janvier, 2013 (00:27 AM)Damned where are the drones when they're needed.
Rachid Khan
En Janvier, 2013 (00:37 AM)Le Panafricaniste
En Janvier, 2013 (00:46 AM)Feug21
En Janvier, 2013 (00:50 AM)La longue traîne des balles iraniennes en Afrique
(Le Monde 15/01/2013)
Des armes légères et des munitions iraniennes ont circulé, depuis 2006, dans neuf pays d'Afrique, pour la plupart sur le marché noir, affirme un groupe de chercheurs indépendant. Ce rapport, fruit de six ans d'enquête, a été publié en décembre par Conflict Armament Research, une société privée britannique qui traque les flux d'armes légères à travers le monde. Le New York Times en faisait écho samedi.
Selon les éléments rassemblés par ce groupe (14 cas), l'Iran a fourni des armes à quatre gouvernements africains, au Soudan principalement, en Guinée, au Kenya et en Côte d'Ivoire. Depuis ces pays, les armes ont circulé sur le marché noir vers l'actuel Soudan du Sud, en République démocratique du Congo (RDC), au Niger et au Nigeria.
Ces découvertes ne sont pas à proprement parler une surprise. En 2010, déjà, l'Iran avait été accusé par la Gambie et le Nigeria d'avoir tenté de livrer des lance-roquettes, des armes automatiques, des grenades, des obus de mortier et des munitions à des mouvements rebelles sur leur territoire. Deux hommes présentés par les autorités nigérianes et des sources occidentales comme de hauts responsables de la branche spéciale des gardiens iraniens de la révolution, la force Al-Qods, dont le responsable de sa branche Afrique, avaient été impliqués dans ce trafic.
La Gambie avait rompu ses relations diplomatiques avec l'Iran. Le Nigeria avait adressé une notification formelle au Conseil de sécurité des Nations unies, faisant état d'une possible violation par l'Iran des résolutions de l'ONU qui, depuis 2007, lui interdisent d'exporter des armes. Le ministre des affaires étrangères, Manouchehr Mottaki, avait été renvoyé deux mois plus tard par le président Ahmadinejad, durant un voyage au Sénégal où il devait s'expliquer sur ces livraisons d'armes." dixit le monde du 15/01/2013
One
En Janvier, 2013 (00:52 AM)Constat D'un Sénégalais
En Janvier, 2013 (00:57 AM)Senegalairois
En Janvier, 2013 (01:25 AM)Free
En Janvier, 2013 (01:46 AM)Maïmoune
En Janvier, 2013 (08:16 AM)Sa38
En Janvier, 2013 (08:37 AM)Qui Son Les Térroriste Au Mali
En Janvier, 2013 (13:32 PM)Tana
En Janvier, 2013 (15:06 PM)Participer à la Discussion