Lorsque Zoe Stephens s’est envolée pour les Tonga, un archipel du Pacifique Sud, en mars dernier, elle ne comptait y rester que le week-end. Près de 18 mois plus tard, elle est toujours bloquée sur ce minuscule archipel, qui se trouve être l’un des rares endroits au monde à ne compter aucun cas de Covid.
Originaire de Crosby, au Royaume-Uni, cette jeune femme de 27 ans vivait en Chine depuis deux ans et demi lorsque le Covid-19 a fait son apparition. En mars 2020, alors qu’elle enchaînait les voyages à travers l’Asie, elle a réservé un vol pour Tonga, où elle avait l’intention de passer quelques jours de vacances coupée du monde. Un an et demi plus tard, elle y est toujours.
Durant près de six mois, la jeune femme a espéré que les restrictions de voyages et les périodes de quarantaine soient assouplies. Mais, après avoir essayé en vain de retourner en Chine pendant des mois et des mois, Zoe Stephens a accepté qu’elle ne pourrait pas reprendre sa vie là-bas dans un avenir proche. La jeune femme a alors commencé un master en communication internationale en ligne et vit actuellement dans une maison en bord de plage qu’elle garde pour une famille qui ne peut pas revenir sur l’île en raison des restrictions liées à la pandémie.
L’île est l’un des rares endroits sur la planète à avoir échappé au coronavirus. “Je n’ai pas porté de masque pendant toute cette pandémie. Je pense que ça va être assez bizarre d’aller dans un monde où tant de gens en portent”, a déclaré Zoe à CNN.
Originaire de Crosby, au Royaume-Uni, cette jeune femme de 27 ans vivait en Chine depuis deux ans et demi lorsque le Covid-19 a fait son apparition. En mars 2020, alors qu’elle enchaînait les voyages à travers l’Asie, elle a réservé un vol pour Tonga, où elle avait l’intention de passer quelques jours de vacances coupée du monde. Un an et demi plus tard, elle y est toujours.
Durant près de six mois, la jeune femme a espéré que les restrictions de voyages et les périodes de quarantaine soient assouplies. Mais, après avoir essayé en vain de retourner en Chine pendant des mois et des mois, Zoe Stephens a accepté qu’elle ne pourrait pas reprendre sa vie là-bas dans un avenir proche. La jeune femme a alors commencé un master en communication internationale en ligne et vit actuellement dans une maison en bord de plage qu’elle garde pour une famille qui ne peut pas revenir sur l’île en raison des restrictions liées à la pandémie.
L’île est l’un des rares endroits sur la planète à avoir échappé au coronavirus. “Je n’ai pas porté de masque pendant toute cette pandémie. Je pense que ça va être assez bizarre d’aller dans un monde où tant de gens en portent”, a déclaré Zoe à CNN.
Isolement
La Britannique a également dû voir sa famille affronter les vagues dévastatrices de Covid alors qu’elle était isolée de l’autre côté de la planète. Elle n’a d’ailleurs pas pu assister aux funérailles de sa grand-mère, qui est décédée du coronavirus au début de la pandémie.
L’isolement de Zoe se termine doucement. Elle a prévu de rentrer au Royaume-Uni à la fin du mois d’août. “Les gens disent: ‘comment peux-tu quitter une île paradisiaque?’. Et je leur réponds: ‘C’est génial ici, mais ce n’est pas ma vraie vie’. Ce n’est pas ce que j’ai choisi de faire (...) C’est génial, mais je ne veux pas de cette vie”.
La Britannique a également dû voir sa famille affronter les vagues dévastatrices de Covid alors qu’elle était isolée de l’autre côté de la planète. Elle n’a d’ailleurs pas pu assister aux funérailles de sa grand-mère, qui est décédée du coronavirus au début de la pandémie.
L’isolement de Zoe se termine doucement. Elle a prévu de rentrer au Royaume-Uni à la fin du mois d’août. “Les gens disent: ‘comment peux-tu quitter une île paradisiaque?’. Et je leur réponds: ‘C’est génial ici, mais ce n’est pas ma vraie vie’. Ce n’est pas ce que j’ai choisi de faire (...) C’est génial, mais je ne veux pas de cette vie”.
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