« Dans les crises politiques, le plus difficile
pour un honnête homme n’est pas de faire
son devoir, mais de le connaître »
Louis de BONALD
Nous avons manifesté mercredi devant le siège des Nations Unies contre un troisième mandat d’Abdoulaye Wade à la tête du Sénégal. Ce n’est pas la première fois que nous manifestons en ce lieu symbolique, mais nous tous partageons le secret espoir que ce soit la dernière. Qu’à la prochaine session de l’Assemblée générale, Abdoulaye Wade ne soit plus là pour se pavaner dans les salons du Waldorf Astoria avec sa suite encombrante et dépenser des sommes qui auraient pu être consacrées à la satisfaction des besoins de ses pauvres concitoyens. Nous manifestions aux côtés de ressortissants d’Asie, où la dictature a toujours été la règle et la démocratie l’exception. Nous étions donc les seuls africains parmi des manifestants chinois qui scandaient « shame on China » et des birmans stoïques qui ont préféré la méditation aux lamentations. Nous étions donc la curiosité des autres délégations africaines et cette singularité ne m’a pas échappé. J’ai crié devant une déléguée africaine, stupéfaite de voir des sénégalais protester si bruyamment avec leurs pancartes, « oui, c’est bien lui. Il se fait passer pour un Mandela, mais c’est un Mugabé quant au fait. C’est bien Abdoulaye Wade madame, un des derniers autocrates du continent africain ». J’étais fier d’être là à manifester, mais j’ai vite pris conscience de la rareté que nous sommes devenus en Afrique. La démocratie s’est bien installée sur les ruines des anciennes dictatures emportées par l’aveuglement des dictateurs sanguinaires ; que nous sommes devenus le seul pays au monde à avoir un vieil autocrate de 87 ans qui veut briguer un troisième mandat à la tête de son pays ; qu’au Mali, au Libéria, en Guinée, en Sierra Leone, en Côte d’Ivoire, en Mauritanie, à l’exception notoire du petit territoire gambien et du Burkina Faso dirigés par des putschistes, tous les pays d’Afrique de l’Ouest expérimentent la démocratie pendant que nous sénégalais empruntons les voies sinueuses de la monocratie et de la monarchie héréditaire. C’était une raison supplémentaire pour manifester et je le referai autant de fois qu’il en faudra -cette après-midi à Harlem- jusqu’à ce qu’Abdoulaye Wade se rende compte de l’inanité de son projet.
Mais je me suis demandé, en me faufilant parmi cette foule compacte qui inonde Times
Square aux heures de pointe, si nous sénégalais connaissons le véritable responsable de
nos malheurs. Je me suis demandé ce que serait ce vieillard sinistre contre lequel nous
vitupérons, sans la horde de brigands qu’il a élevés dans sa Cour et qui veulent
perpétuer son règne. J’ai surtout pensé à son fils Karim, revenu à mon esprit suite à une
conversation que j’ai eue avec un jeune thiessois qui m’a dit ceci : « Je n’admirais pas
Abdoulaye Wade, je le vénérais. Nous étions parmi les manifestants de la Place de
France à Thiès à la fin des années 80, quand Abdoulaye Wade nous demandait
d’affronter les policiers. Un de mes amis a eu le bras sectionné par une grenade. J’ai
appris plus tard, en lisant un livre qu’il avait écrit, semblable à celui de Kadhafi, mais de
couleur bleue, que ses enfants étudiaient en Europe. Je me suis rendu compte qu’il
voulait nous sacrifier et il en a sacrifié parmi nous. J’ai mal quand je vois que ce sont ses
enfants qui sont revenus pour profiter de son pouvoir, de nos milliards, alors qu’ils n’ont
jamais consenti le moindre sacrifice pour ce pays. C’est injuste. »
Depuis sept ans au moins, le fils d’Abdoulaye Wade est au cœur de tous les scandales,
cité dans tous les papiers. De la mise à genou des Ics, fleuron de notre industrie,
opération dans laquelle son « ami » Michel Godard avait été impliqué, aux révélations
récentes de Robert Bourgi, en passant par les 100 milliards de Sudatel, la renégociation
de la licence Tigo, il n’y a aucun scandale dans lequel Karim Wade n’a pas été cité. Il
clame toujours son honorabilité, fait condamner ses accusateurs téméraires sans les
décourager et sans interrompre le flot incessant des affaires qui l’éclaboussent.
Toutes ces révélations ne seraient que pure fiction et tous les télégrammes de Wikileaks
des rapports mensongers. Mais la réalité est encore plus choquante. Depuis cinq ans qu’il
occupe des fonctions officielles dans ce pays, Karim Wade a vu passer entre ses mains
plus de 2000 milliards de francs par le détournement de financements destinés à
d’autres secteurs ou en contractant des prêts auprès des institutions financières
internationales. Les pouvoirs qu’il accumule, la taille de son budget ministériel et les
centaines de milliards qu’il contrôle en font un personnage singulier dans l’histoire de ce
pays. Son gigantesque ministère compte 15 directions, trois cellules, deux inspections,
cinq agences, un centre de recherche, six sociétés nationales et le fameux Fonds routier,
utilisé par son père pour réparer La Pointe de Sangomar. Jamais dans l’histoire de ce pays, un
homme n’a concentré dans ses mains autant de pouvoirs et de ressources financières. Ce
sentiment de toute puissance n’a d’égal que l’impunité qui l’accompagne, puisque le seul
qui puisse limiter ses pouvoirs exceptionnels s’incline devant son éminence Karim. C’est
son père Abdoulaye.
Karim Wade se donne la même licence dans le financement des projets qu’il contrôle.
D’un peu plus de 200 milliards de francs au début le budget de l’Anoci était passé à 432
milliards selon les responsables de l’agence eux-mêmes, avec 18 milliards pour le
fonctionnement. Ce qui n’a pas empêché le report du sommet et finalement sa tenue
dans le vieil hôtel Méridien Président. A ce jour, personne ne peut dire où sont passés les
26 milliards de francs décaissés et destinés à la construction de villas présidentielles.
L’inauguration de l’aéroport de Diass est à son deuxième report. Le budget, initialement
arrêté à 235 milliards de francs, est passé à 430 milliards de francs, selon le directeur de
l’aéroport. Mais le plus scandaleux, c’est qu’aucune mention n’est faite de la redevance
aéroportuaire, 39 000 francs payés par 1.800 000 passagers tous les ans. Multipliez par
six et vous serez stupéfié par le nombre de zéros qui se bousculent. Malgré ces montants
supérieurs au budget prévu pour la construction de l’aéroport, Karim Wade est allé
emprunter 265 milliards de francs auprès des institutions financières pour « boucler » le
financement de l’aéroport de Diass. En décembre 2010, la Bad avait déjà alloué au
Sénégal 45 milliards de francs, pour le même projet. Personne n’a pu expliquer cette
addition de milliards pour un aéroport qui ne va compter que deux pistes longues de
trois kilomètres. C’est que chez Karim Wade, un financement n’est jamais bouclé et le
contribuable ne sait jamais combien il va payer. Il y a quelques semaines, il se félicitait
du bouclage du financement du plan Takkal, pour un total de 365 milliards de francs. La
semaine à peine écoulée, il y a ajouté un nouveau prêt de 45 milliards de francs à titre
de « facilité » pour la Sar, toujours dans le cadre de son plan Takkal. Quand il ne trouve
pas de l’argent auprès des banques, c’est dans les budgets des autres ministères que
Karim Wade va chercher ses financements. Le ministre des Finances a lui-même avoué
que l’essentiel de ce financement provient d’une « augmentation de l’impôt sur les
sociétés des entreprises du secteur de la téléphonie mobile, qui affichent une très forte
progression de ses bénéfices et une réallocation partielle des ressources consacrées à la
construction de la deuxième phase de l’autoroute à péage AIBD-Mbour et Mbour-
Thiès ». Les Sénégalais peuvent être sceptiques sur l’utilisation de ces fonds. Alors que
l’Etat déclare avoir investi 720 milliards de francs dans le secteur de l’Energie depuis
2000, les auditeurs n’y avaient trouvé que 237 milliards de francs. Aucune trace du
reliquat de 500 milliards qui se sont volatilisés comme du pétrole. Et le contribuable n’est
pas au bout de ses peines puisque l’année prochaine, Karim Wade doit trouver 300
milliards de francs pour financer la deuxième phase de son plan Takkal sans qu’aucune
amélioration ait été notée dans le secteur de l’Energie. Cet échec patent malgré la
confiscation des ressources –la moitié des recettes de l’Etat- n’entame en rien
l’admiration qu’Abdoulaye Wade voue à Karim Wade. Alors que ses contempteurs
décèlent partout une comptabilité douteuse, des projets mal ficelés et des délais
d’exécution jamais respectés, son père se laisse éblouir et n’y voit que l’expression de
son génie.
C’est ce qui me fait dire que Karim Wade est un plus grand désastre et que c’est de lui
qu’il faut nous prémunir. Si nous pouvons attendre qu’Abdoulaye Wade termine son
mandat pour partir, c’est ici et maintenant que nous devons exiger le départ de son fils.
Son impunité n’a que trop duré.
SJD
74 Commentaires
Mts
En Septembre, 2011 (12:10 PM)L . A .
En Septembre, 2011 (12:12 PM)Juile, nous somme dans la même camp au présant.
Gb
En Septembre, 2011 (12:27 PM)Bamboulaman
En Septembre, 2011 (12:33 PM)Désolé
En Septembre, 2011 (12:41 PM)39 000 * 1 800 000 * 6= 421 200 000 000 F CFA. C'est vraiment trop.
Yegori
En Septembre, 2011 (12:50 PM)Exsopiste
En Septembre, 2011 (13:03 PM)Hamedin
En Septembre, 2011 (13:10 PM)Senenmut
En Septembre, 2011 (13:22 PM)Naïette
En Septembre, 2011 (13:25 PM)Une dépêche que je viens de lire sur le Web
Wade évoque des troubles mentaux et écourte son séjour aux Usa
Vous trouverez la dépêche dans google.
Crédibilité
En Septembre, 2011 (13:47 PM)[email protected]
En Septembre, 2011 (13:47 PM)Lamine Senghor
En Septembre, 2011 (14:24 PM)Centrale à Charbon
En Septembre, 2011 (15:14 PM)Les populations sont dans l'expectative et attendent que l'Etat rembourse les impenses et attribue un autre site d'egale valeur au site confisqué.
Les populations de bargny sont déterminées à défendre leur droit au péril de leur vie. la lutte ou la guerre commence à prendre forme : on ne nous prendra pas nos terres sans dédommagements. A Ouakam pour un monument on leur a dédommagé à cout de milliards mais à bargny l'etat est entrain de nous snober mais la riposte sera de taille. Parole de wa bargny dina metti dina sakharr
Wax
En Septembre, 2011 (15:56 PM)on devrait quand meme se poser cette question...un peuple qui ne serevolte pas et qui accepte et se resigne sous pretexte que" Yalla bahna" et le Mougne.. moi je dis que c'est un peuple maudit que nous sommes,des gens hypocrites qui refuse de dire la vérité car certainement ce qui se passe actuellement au senegal arrange peut etre une partie la plus influente de la population qui defend bec et ongle leur interet et l'autre partie est simplement corrompue ou joue dans la cour des ces gens..face a cela quelle est l'alternative?
Bachir Diallo
En Septembre, 2011 (20:04 PM)A travers ce texte , le constat est là :
L’ARGENT DU CONTRIBUABLE SENEGALAIS
J’en ai pour preuve (expérience) une demande de renseignement de prix (DRP) _ une belle «trouvaille»(1) entre autres et véritable aubaine…
Dans la pratique cela consiste à s’aménager des sorties hors traçabilité telles que:
_ Voies de contournement ‘de la loi ‘(VCL)
_ Voies de dégagement ‘de fond’ (VDF)
Derrière l’opacité de cet écran de fumée, les offres publiques d’achat (OPA) pourront se combiner ou être substituer à des offres secrètes d’accaparement…De deniers publics et aussi de fiertés citoyennes !
Lorsque l‘on s’attelle à tirer « subtilement » les marrons du feu ;
tout y passe: délits d’initiés, concurrence déloyale, appels d’offres fictifs…
Un baroud d’honneur des robes noires (les magistrats);
Ils ont décidé de prendre « au collé » ses cols blancs!
Quelques parlementaires ont aussi emboité le pas en prenant aussi leur courage à « deux mains» (2) histoire de ne plus rester à « laver plus blanc que Blanc»;
Soif de justice et d’équité en lieu et place de …Pots de vins.
Il arrive qu’à bien des égards, la réalité soit dure à affronter mais ainsi va la vie.
Le « vin d’honneur» (3) en a pris un sacré gout.
A present, qu’il est tiré il ne reste plus qu’à le boire jusqu’ à la lie!
Fonds publics pour destinations privées, le tout dans l’incognito et l’imbroglio _ Qui va continuer de « gober » cela?
IN VERSION MAI 2011 , BACHIR DIALLO
Nota bene:
1_ D’aucun semble y voir une main (presque) invisible… On balance entre les qualificatifs : « laye-trouve tout » dans cette république ou’ l’argent coule à flot ou «laye-largesse » dans celle ou’ l’argent est dépensé à fond… la caisse de l’ETAT ; C’est comme qui dirait bonnet blanc ou blanc bonnet !
2_ jadis chambre d’enregistrement et d’applaudissement, l’assemblée a peut être sérieusement envisagé de commencer à faire sa mue avant que le « printemps venu d’Arabie» ne nous tombe dessus !
3_ Le vin d’honneur au soir d’une carrière, était considéré comme une belle récompense pour services rendus à la nation ; c’était un pot d’adieu qui avait toute une symbolique et n’a de vin que
Cnrs
En Septembre, 2011 (20:07 PM)Relativité: Einstein contredit par des chercheurs français
Des chercheurs du CNRS ont montré que des particules sont capables de voyager plus vite que la lumière.
«Si c'est vrai, c'est une véritable bombe pour la physique, c'est une découverte comme il en arrive tous les siècles», commente Thibault Damour, grand spécialiste de la relativité d'Einstein à l'Ihes (Institut des hautes études scientifiques à Bures-sur-Yvette). La raison de cette effervescence est simple: une équipe de chercheurs de l'Institut de physique nucléaire de Lyon a montré que des neutrinos «superluminiques», des particules très légères, sont capables de voyager plus vite que la lumière. Un phénomène tout simplement impossible d'après la théorie de la relativité restreinte d'Einstein, qui définit la vitesse de la lumière comme une limite infranchissable pour tout objet doté d'une masse. Si les mesures de Dario Autiero et de ses collègues du CNRS à Lyon sont justes, c'est toute la physique moderne qui est à revoir. Les conséquences seraient tellement importantes que tous les spécialistes se veulent prudents et demandent que l'expérience soit reproduite ailleurs, avec une autre équipe, avant de jeter d'un coup à la poubelle tout le travail d'Einstein sur la relativité.
Cnrs
En Septembre, 2011 (20:09 PM)La violation de la vitesse de la lumière a été observée sur un faisceau de neutrinos, des particules ultralégères qui n'interagissent presque pas avec la matière, produits par l'accélérateur du Cern, près de Genève, et détectés sous la montagne du Gran Sasso, dans les Apennins, au centre de l'Italie. On s'attendait à ce que les neutrinos traversent sans encombre les 731 kilomètres de croûte terrestre qui séparent les deux installations scientifiques à une vitesse proche de celle de la lumière, soit un trajet d'au moins 2,5 millièmes de seconde. Les neutrinos sont des particules élémentaires presque insaisissables produites en d'immenses quantités par les réactions nucléaires, comme celles qui se produisent dans les centrales nucléaires ou au cœur du Soleil. Chaque seconde, 65 milliards de neutrinos émis par notre étoile traversent chaque centimètre carré de la surface terrestre, et seulement 1 sur 10.000 milliards de ces particules est interceptée par un atome de notre planète.
Cnrs
En Septembre, 2011 (20:12 PM)Il n'y a pas eu à proprement parler de course entre photons (ou grains de lumière) et neutrinos, mais les chercheurs ont chronométré le trajet des faisceaux de particules avec une très grande précision. En se calant sur l'horloge atomique d'un satellite GPS visible au même moment sur les deux sites, les horloges du Cern et du Gran Sasso ont été calées avec une précision meilleure qu'un milliardième de seconde. Au total et en prenant en compte divers effets des instruments de mesure, l'équipe estime que l'incertitude de la mesure est meilleure, de l'ordre d'une dizaine de nanosecondes, soit bien moins que les 60 nanosecondes mesures. Le travail des physiciens de Lyon est donc largement assez robuste pour être publié, ce qui a été fait cette nuit sur le serveur public arXiv.
#######
J'en ai les larmes aux yeux !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Cnrs
En Septembre, 2011 (20:24 PM)Dans Le Monde
"ÉNORME IMPACT"
"De longs mois de recherche et de vérifications ne nous ont pas permis d'identifier un effet instrumental expliquant le résultat de nos mesures", assure le porte-parole de l'expérience Opera, Antonio Ereditato, qui se dit "impatient" de comparer ces résultats avec d'autres expériences.
"Compte tenu de l'énorme impact qu'un tel résultat pourrait donc avoir pour la physique, des mesures indépendantes s'avèrent nécessaires afin que l'effet observé puisse être réfuté ou bien formellement établi", souligne le CNRS. "C'est pourquoi les chercheurs de la collaboration Opera ont souhaité ouvrir ce résultat à un examen plus large de la part de la communauté des physiciens", ajoute-t-il.
Peuls,
En Septembre, 2011 (20:25 PM)Cnrs
En Septembre, 2011 (21:30 PM)La vitesse de la lumière et Einstein dépassés par une particule ?
PARIS (AFP) - "Totalement inattendu", "étonnant"... les physiciens n'en croyaient pas leurs instruments mais ils pensent bien avoir mesuré une particule dépassant la vitesse de la lumière, pourtant considérée comme une "limite infranchissable" dans la théorie d'Einstein.
Appels à la prudence
Si la mesure est confirmée, ses implications défient encore la compréhension.
Pour Pierre Binetruy, directeur du Laboratoire Astroparticules et cosmologie à Paris, cela peut vouloir dire que "des particules ont trouvé un raccourci dans une autre dimension", et donc qu'il existerait dans l'univers davantage que les quatre dimensions (les trois dimensions dans l'espace auxquelles s'ajoute celle du temps).
"Il se peut aussi que la vitesse de la lumière ne soit pas la vitesse limite", estime-t-il, tout en soulignant que le record battu par le neutrino ne signifierait pas forcément "qu'Einstein s'est trompé".
"Einstein n'a pas prouvé que Newton avait tort, il a trouvé une théorie plus générale" qui s'est superposée à celle de Newton. "Newton est correct quand la vitesse est petite par rapport à celle de la lumière", a renchéri Stavros Katsanevas, directeur adjoint de l'Institut de physique nucléaire.
Cnrs
En Septembre, 2011 (21:31 PM)Tout en se réjouissant des nouvelles perspectives qui s'offent à eux, les physiciens appellent à la plus grande "prudence" tant que les mesures n'auront pas été "vérifiées avec un système complètement différent", insiste Dario Autiero.
C'est le but visé par le projet Minos aux Etats-Unis, qui était déjà parvenu voici quelques années, entre le Fermilab de Chicago et une mine proche de la frontière canadienne, à un résultat similaire à celui d'Opera.
A l'époque, la marge d'erreur était jugée trop importante pour que la mesure soit recevable, mais les chercheurs américains planchent désormais sur une nouvelle expérience d'une précision sans précédent. Elle devrait aboutir d'ici environ trois ans, selon Stavros Katsanevas.
© 2011 AFP
Père Ndiaye
En Septembre, 2011 (22:26 PM)Triste fin !
Au fait, tes contorsions de mardi dernier pour blanchir Idrissa Seck étaient pathétiques.
Hamidine Tall
En Septembre, 2011 (22:58 PM)A Sjd
En Septembre, 2011 (03:22 AM)Je vous remercie
A Sjd (suite)
En Septembre, 2011 (03:35 AM)Une Senegalaise
D.
En Septembre, 2011 (08:40 AM)MERCI Résistant SJD, vous vous surpassez à chaque fois dans la Chronique et Deg deg.
Au nom de tous les Malick BA,
Au nom de toutes les victimes des Wade,
Au nom de notre cher Sénégal,
il faut que les
WADE DEGAGENT !!!!!!!!
SENEGALAIS, INDIGNONS-NOUS !!!!!!!!!!!!!!!
Modda
En Septembre, 2011 (09:47 AM)Gainde
En Septembre, 2011 (10:37 AM)Please not Mr. Jules, your contribution would be better off if you try to make it easier to read. I think a 2000 words assignment as university standard should do. Otherwise, the text is very difficult to read as you try to say many things in the same document. Try to summerize and go to the main topics.
Regards
Reply_author
En Août, 2022 (20:12 PM)Un Ami
En Septembre, 2011 (15:24 PM)jean zigler vous en dira quelque chose....merci pour ton combat pour le senegal
Hamidine Tall
En Septembre, 2011 (21:07 PM)Venir au jour du jugement ,lourds de leurs fardeaux et chargés du poids des fardeaux ceux qu´ils ont trompés.Quel mauvais sort -
L . A
En Septembre, 2011 (21:52 PM)Quel échec là-bas et quel silence de mort ici
Sankar
En Septembre, 2011 (22:28 PM)Dans le salon d’un ami qui critiquait une de tes chroniques qu’aime bien reprendre un aliéné islamophobe, je le sui disais, avec conviction, qu’au fond de toi-même tu soutiendrais toujours Idrissa.
Ta dernière chronique a été édifiante. J’ai pu mesurer l’objectivité de l’homme et son engagement sans faille pour la vérité et la justice. Je me suis rappelé les chroniques de 2004 que je garde jalousement.
Il lui fallait peut être faire certaines concessions, mais il n’a jamais renoncé à son engagement de servir dignement son peuple. Mieux placé que toi pour le savoir n’existe certainement pas.
Alors merci pour ton engagement. Un homme sans principe ne peut pas mener un combat qui a duré presque huit ans sans jamais fléchir. Tu es un homme de principe.
Nous avons fait notre choix depuis fort longtemps et comme toi nous avons vécu de durs moments. Nous ne comprenions pas par moment certains choix et nous avions souvent eu envie de tout arrêter. Cela est arrivé plus d’une fois. Mais, qui approche l’homme sait qu’il est pétri de talent et le Sénégal ne peut se priver d’avoir à sa tête un homme d’une aussi grande valeur. Nous décédions alors à chaque fois de rester et de continuer la bataille. Il est indigne d’abandonner un ami au milieu de la mer.
Aujourd’hui je suis ravi de voir que des ex adversaires, sur ce forum, sont devenus des fréres et des sœurs d’armes. Ils ont compris, dans l’adversité et après s’être mis face à l’évidence, qu’il n’y avait pas meilleur choix que Idrissa.
Que Dieu te protège toi aussi, SJD.
Sankar
Sankar
En Septembre, 2011 (22:31 PM)Dans le salon d’un ami qui critiquait une de tes chroniques qu’aime bien reprendre un aliéné islamophobe, je lui disais, avec conviction, qu’au fond de toi-même tu soutiendrais toujours Idrissa.
Ta dernière chronique a été édifiante. J’ai pu mesurer l’objectivité de l’homme et son engagement sans faille pour la vérité et la justice. Je me suis rappelé les chroniques de 2004 que je garde jalousement.
Il lui fallait peut être faire certaines concessions, mais il n’a jamais renoncé à son engagement de servir dignement son peuple. Mieux placé que toi pour le savoir n’existe certainement pas.
Alors merci pour ton engagement. Un homme sans principe ne peut pas mener un combat qui a duré presque huit ans sans jamais fléchir. Tu es un homme de principe.
Nous avons fait notre choix depuis fort longtemps et comme toi nous avons vécu de durs moments. Nous ne comprenions pas par moment certains choix et nous avions souvent eu envie de tout arrêter. Cela est arrivé plus d’une fois. Mais, qui approche l’homme sait qu’il est pétri de talent et le Sénégal ne peut se priver d’avoir à sa tête un homme d’une aussi grande valeur. Nous décédions alors à chaque fois de rester et de continuer la bataille. Il est indigne d’abandonner un ami au milieu de la mer.
Aujourd’hui je suis ravi de voir que des ex adversaires, sur ce forum, sont devenus des fréres et des sœurs d’armes. Ils ont compris, dans l’adversité et après s’être mis face à l’évidence, qu’il n’y avait pas meilleur choix que Idrissa.
Que Dieu te protège toi aussi, SJD.
Sankar
Suite
En Septembre, 2011 (22:33 PM)Que Dieu te protège toi aussi, SJD.
Sankar
Faim En Afrique
En Septembre, 2011 (05:36 AM)C.l
En Septembre, 2011 (12:07 PM)Ikse
En Septembre, 2011 (13:12 PM)La seule chose qui intéresse Idrissa Seck, c'est Idrissa Seck.
L . A
En Septembre, 2011 (16:03 PM)On ne peut pas dénoncer, d'un côté la corruption et le clientélisme en acceptant de l'autre, tous sorts de cadeaux et toutes enveloppes comme si l'argent n'a pas d’odeurs et les cadeaux eux aussi n'ont de couleurs.
France 24
En Septembre, 2011 (17:45 PM)Vous pourrez suivre cette émission (que je recommande : nombre d'universitaires de talent y interviennent et éclairent sous un angle très intéressant la crise actuelle. Je recommande aussi "Le Débat" de Vanessa Burggraf sur la même chaîne. Stéphanie Antoine et Vanessa Burggraf sont à mon avis deux journalistes vraiment très compétentes en économie et finance) vous pourrez donc suivre cette émission ou juste sa deuxième partie que vous trouverez dans ce lien. L'élément est à partir de 2min 40 : france24.com/fr/20110923-la-semaine-de-l-eco-rigueur-ou-relance-2eme-partie
France 24
En Septembre, 2011 (17:51 PM)Momar Sy
En Septembre, 2011 (18:06 PM)Echnaton
En Septembre, 2011 (18:18 PM)Boy
En Septembre, 2011 (18:19 PM)L . A
En Septembre, 2011 (12:58 PM)Parmi les prétendants du pouvoir suprême, il y a qu’un seul homme qui, en réalité, maîtrise les problématiques de ce qu’il y a du social dans l’économie et ce qu’il de l’économie dans le social, Cet homme est Maître Wade.
Tidiane Diallo
En Septembre, 2011 (13:54 PM)Il y a une phrase de la chronique qui résume très bien la situation à un moment où un cancer pernicieux ronge des pans entiers de notre démocratie. Cette phrase c’est la suivante : «Je me suis demandé ce que serait ce vieillard sinistre contre lequel nous vitupérons, sans la horde de brigands qu’il a élevés dans sa Cour et qui veulent perpétuer son règne.»
A mon avis, Jules Diop porte là, dans un moment de grande lucidité et hors de la gangue des calculs politiques, une analyse qui contredit la quasi-totalité de ses dernières prises de position ; de sa dernière tentative de dédouanement de ses « amis libéraux », à la volonté irrationnelle de minimaliser l’impact du mouvement associatif et de la société civile, en passant par les divers retournements d’alliances et d’affinités. A Ndéné, à Youssou, à Kara etc.
C’est trop commode d’attribuer le fiasco de l’alternance au seul Karim, dont je n’ai pas besoin de rappeler le bilan catastrophique et l’amateurisme coupable. Mais les Sénégalais ne sont ni infantiles, ni stupides.
Ils savent qu’il ne suffit pas de remplacer une ou deux personnes. Ils savent que ce pays sombre parce qu’il s’y est érigé un système prédateur d’affairisme, de corruption et d’irresponsabilité chronique.
C Est Pour Karime Wade
En Septembre, 2011 (14:07 PM)Yeah bro, permets moi de t’interpeller et de m’adresser à toi comme je l’aurai fait avec tout autre Sénégalais. C’est vrai, man à te voir à la télé ou à travers les journaux, tu dégages l’air d’un parrain avec tes lunettes fumées en plus de cette cohorte de sbires qui t’entourent et qui confirment cette image d’acteur de série B.
Tu peux considérer mon texte come une réponse tardive à ta lettre tardive aussi ou tu te plaignais de nous autres, qui t’accusons d’être responsables même de nos fosses septiques bouchées. C’est vrai qu’avec cette omniprésence que tu dégages, c’est à se demander si tu n’es pas Dieu ou un élément important de staff. Tu semble être partout et nulle part ! Et comme Dieu on ne t’entend pas beaucoup parler si ce n’est pas à travers tes nuls prophètes qui, au lieu de nous parler, insultent Bourgi et Idrissa Seck !
Ce que tu me sembles n’avoir rien compris ! C’est pourquoi je t’écris de la rue en me fondant sur un principe fondamental de notre culture urbaine : la solidarité. Eh oui, même si je ne te comprends pas, je ne supporte pas que des étrangers t’attaquent : que ce soit Wikileaks ou ce barge de Bourgi, ma querelle avec toi est une affaire Sénégalo-Sénégalaise, une sorte de linge salle que, en tant que Sénégalais, nous devons laver en famille.
Entre nous, je ne crois pas que tu touches à la drogue, c’est contre l’esprit N.S.T : Se droguer fait trop old fashioned. La tendance, c’est d’être positif. Sinon dis à Repé bi mou tek brique à Limamoulaye. Les locaux sont vétustes et risquent de tomber sur les professeurs et élèves.
« Kon bok xewel », porte-toi bien et dis toi que nous sommes contre toutes ces médisances dépitées sur toi depuis Tougheul Babylon. Dans une certaine mesure aussi, Ya ko deff ! Je t’ai vu lors de leur sommet sert-à-rien hyper-médiatisé, faire tout pour serrer la pince à Obama. Idem pour Father- bi qui se croit obligé de faire les déclarations les plus importantes qui nous concernent à partir de chez ces Toubab qui ont oublié que ne sommes plus des bap tout, mais que dans la rue aussi, nous sommes allés à l’université que pour nous aussi Lux mea lex que dans le partage du bon sens, on eu notre part et que nous préférons sympathiser avec des Sénégalais que d’aller avec celui qui nous prend pour des crétins !
Wa mais, je te laisse ! Connexion et puissance ba next time. Si ça t’intéresse qu’on se chope, « Fekk ma-ci MBED-MI ! »
? Kana Raw = Naka waar ? Salutation branchée de la Banlieue.
Jean Sakoura Diagne
NTS à Guédiawaye.
France24
En Septembre, 2011 (18:32 PM)Merci pour tes éclairages. J'ai pu en savoir plus sur P. O. Sakho... Tu ne sembles pas être d'accord avec Lechypre. Tu as peut-être raison. Je ne suis pas économiste et ne sais hélas presque rien de l'histoire de l'économie sénégalaise et je ne suis donc pas capable d'argumenter le point de vue du journaliste. Les autres participants au débat n'avaient pas non plus discuté son point de vue qui était plutôt anecdotique...
Réponse à Lol
En Septembre, 2011 (18:42 PM)Audio
En Septembre, 2011 (08:21 AM)C.l
En Septembre, 2011 (09:57 AM)Diola
En Septembre, 2011 (12:01 PM)Lebel
En Septembre, 2011 (13:28 PM)«Quand tu as des idées et que tu veux faire quelque chose, ils te signent un chèque en blanc», lance le professeur québécois Jordan LeBel, qui enseigne au School of Hotel Administration de Cornell.
L'ex-professeur de l'Université Concordia a d'ailleurs dû s'adapter lorsqu'il a débarqué à l'établissement d'Ithaca, dans l'État de New York.
«Quand je suis arrivé ici, j'ai dû modifier mon schème de pensée. Ici, c'est dix fois plus vite, dix fois plus gros et dix fois plus cher», dit-il.
Salaire
Les professeurs des universités prestigieuses comme Harvard, Yale ou Cornell reçoivent des salaires beaucoup plus alléchants qu'au Québec.
Lorsqu'il enseignait à Concordia, M. LeBel touchait 81 000 $ alors qu'il fait maintenant plus de 140 000 $ par année.
En plus de sa paie bonifiée, le Québécois reçoit aussi 12 500 $ par année pour son fonds de pension et 3 000 $ par année pour se rendre dans des conférences ailleurs dans le monde.
«L'université t'apporte de la respectabilité. J'ai plusieurs de mes collègues qui font des bons revenus avec de la consultation auprès d'entreprises», explique M. LeBel.
Le fait d'être associé à une université aussi prestigieuse que Cornell est aussi intéressant pour le professeur LeBel, dont les recherches ont beaucoup plus de rayonnement que lorsqu'il était à Montréal. À ce chapitre, ce dernier est parfois appelé à agir comme expert, notamment auprès de médias nationaux, comme le USA Today.
«On est au milieu de nulle part ici, mais quand je suis dans mon bureau, j'ai l'impression d'être au centre du monde», dit-il.
Étudiants ultra-motivés
Le professeur Jordan LeBel n'a pas d'étudiants qui dorment sur leur bureau pendant ses cours. Triés sur le volet, les jeunes à qui il enseigne sont très motivés, ce qui rend les cours beaucoup plus agréables pour un prof.
«On a la crème de la crème comme étudiants. Ils ont des résultats qui défoncent le plafond», affirme le professeur LeBel, qui reviendra prochainement enseigner à l'École de gestion John-Molson de Concordia, tout en demeurant professeur associé à Cornell.
Lebel
En Septembre, 2011 (13:29 PM)«On est au milieu de nulle part ici, mais quand je suis dans mon bureau, j'ai l'impression d'être au centre du monde», dit-il.
Étudiants ultra-motivés
Le professeur Jordan LeBel n'a pas d'étudiants qui dorment sur leur bureau pendant ses cours. Triés sur le volet, les jeunes à qui il enseigne sont très motivés, ce qui rend les cours beaucoup plus agréables pour un prof.
«On a la crème de la crème comme étudiants. Ils ont des résultats qui défoncent le plafond», affirme le professeur LeBel, qui reviendra prochainement enseigner à l'École de gestion John-Molson de Concordia, tout en demeurant professeur associé à Cornell.
L. A.
En Septembre, 2011 (13:34 PM)(Journal de Montréal) Jean-Philippe Pineault
Le Journal de Montréal
Les universités les plus prestigieuses des États-Unis dépensent une fortune pour avoir des locaux magnifiques, comme cette bibliothèque de l’Université Cornell.
BOSTON, Massachusetts | Les universités américaines les plus prestigieuses des États-Unis dépensent des centaines de milliers de dollars chaque année pour recruter les meilleurs étudiants québécois, ce qui entraîne un exode de nos meilleurs cerveaux.
::encart::Bourses et salaires pour étudier frisant les 75 000 $ US par année, billets d'avion gratuits pour revenir à la maison, équipements de recherche à la fine pointe, livraison de repas dans leur chambre 24h/24h: les universités comme Harvard, Yale ou Princeton déroulent le tapis rouge pour attirer les jeunes Québécois les plus prometteurs.
Pour convaincre les candidats de venir étudier dans leur établissement, les universités vont jusqu'à offrir un voyage de quelques jours, tous frais payés, afin de vanter leurs mérites.
Même avec le huard qui est au pair avec le dollar américain, les conditions d'étude offertes par les établissements américains sont de loin plus intéressantes que ce qu'on offre à nos génies du Québec.
«Ils font tout pour que t'aime ça. Ils doivent organiser 1000 activités, c'est incroyable», lâche Annie Raymond, qui commence sa formation en mathématiques au Massachusetts Institute of Technology (MIT), à Boston.
Les établissements du Ivy League, soit le regroupement des huit plus prestigieuses universités des États-Unis, font aussi appel aux meilleurs professeurs dans le monde. Pour son programme de cinéma, Yale demande à certains de ses anciens étudiants de donner des conférences, comme les acteurs Al Pacino et Meryl Streep.
L.a.
En Septembre, 2011 (13:34 PM)Les établissements du Ivy League, soit le regroupement des huit plus prestigieuses universités des États-Unis, font aussi appel aux meilleurs professeurs dans le monde. Pour son programme de cinéma, Yale demande à certains de ses anciens étudiants de donner des conférences, comme les acteurs Al Pacino et Meryl Streep.
Reply_author
En Septembre, 2022 (06:41 AM)L.a.
En Septembre, 2011 (13:38 PM)Philippe Aghion est aujourd’hui professeur titulaire d’économie à Harvard et nous parle de son parcours académique aux USA et de sa vision sur l’économie européenne en tant qu’économiste aux Etats-Unis.
Quel a été brièvement votre parcours ?
J’ai fait l’école normale de Cachan et un doctorat en 3ème cycle puis un PhD à Harvard.
Comment avez-vous débuté votre carrière professionnelle aux Etats-Unis ?
Quand on termine son doctorat aux Etats-Unis, on entre sur un vrai "job market" avec un processus de sélection qui commence par l’envoi de dossiers courant octobre, des propositions d’interviews mi-novembre, ensuite des "fly-overs" où on est invité pour une journée pour donner des séminaires. Ce processus se termine vers la fin janvier-début février. Beaucoup de coups de fil sont passés entre professeurs appartenant à différentes universités pour communiquer et échanger les informations sur les candidats. Un jeune doctorant découvre ainsi toute la profession économique en l’espace de trois mois à peine: en particulier il rencontre tous les économistes qu’il ne connaissait auparavant que par leurs noms dans les livres... !
A l’issue de ce processus, j’ai été pris comme "assistant professor" au MIT à Boston.
Assane Fall
En Septembre, 2011 (17:11 PM)Bossoudiambour Lognialotegne
En Septembre, 2011 (12:55 PM)Cey Idy
En Septembre, 2011 (13:08 PM)Pourtant, à la lumière de leur rencontre d’hier à Paris, en présence de l’homme d’affaire Abbas Jaber, l’on serait tenté de dire que Karim Wade et Idrissa Seck, malgré une adversité tenace alimentée par presse interposée et par des lieutenants prêts à en découdre, ne s’exècrent pas autant qu’on pourrait le croire…
Des négociations en vue ?
Mais, au-delà de l’effet de surprise que la nouvelle de leur entrevue va certainement susciter, la question est de savoir ce qui a réellement poussé les deux hommes à se rencontrer au moment où leur adversité a culminé avec les élucubrations de Robert Bourgi. Et, malgré l’omerta de nos sources sur cet aspect de l’affaire, certains n’excluent pas l’ébauche de discussions voire de négociations entre le camp présidentiel et celui de Rewmi, en vue de présidentielle de l’année prochaine. Une éventualité qui devrait logiquement pousser Karim et Idy à faire définitivement la paix et surtout à convaincre leurs partisans respectifs à «jeter la rancune à la rivière».
L’histoire bégaie
Ceux qui ont l’habitude d’affirmer qu’«en politique, il ne faut jamais dire jamais» ont sans doute raison. Car, malgré une inquiétante animosité qui les a jusqu’ici éloignés l’un de l’autre, Karim et Idy ont repris langue et se sont rencontrés physiquement. Mais, quand on y regarde de très près, l’on ne manquera pas de constater que ce qui s’est passé hier à Paris n’est qu’un remake du «film» que les Sénégalais ont regardé à la veille de la présidentielle de 2007. L’on se souvient des fameuses «audiences du midi» entre le président de la République et son ancien Premier ministre. Des rencontres catégoriquement niées, avant que les deux protagonistes ne finissent par les confirmer officiellement… Il y a peu, comme pour montrer qu’il a rompu tout contact avec Me Wade, le maire de Thiès avait dit que s’il devait se rendre à nouveau au Palais, ce serait pour demander à l’actuel maître de céans de dégager. Quid de ses déclarations sur le «fils biologique» ? Le «fils spirituel» banni ne voulait même pas prononcer son nom.
Un missi-dominici nommé Abbass Jaber
Présent hier à l’Hôtel Saint-James de Paris, Abbas Jaber est décrit comme un homme d’affaires proche de la famille présidentielle. Libanais d’origine, de nationalité franco-sénégalaise, d’aucuns le présentent également comme un entremetteur qui a un riche carnet d’adresses. Même s’il est prématuré de dire, pour le moment, qu’il a directement contribué à rapprocher Karim Wade et Idrissa Seck, on peut affirmer avec certitude que M. Jaber a joué un grand rôle dans leur rencontre qui s’est déroulée, hier à 14 heures, dans un hôtel de la capitale française. Surtout quand on vous dit que ce missi dominici est originaire de Thiès. Une ville dont le maire est un certain Idrissa Seck.
L . A.
En Septembre, 2011 (13:50 PM)Reply_author
En Septembre, 2022 (13:05 PM)Sankar
En Septembre, 2011 (19:30 PM)Une rencontre avec cette personne nullissime, dégoutante aux mains baladeuses ? Mais dites moi à quelle fin ? Pour quel résultat ?
Ils ont le droit de rêver mais rien de ce qui s’est enclenché ne peut être torpillé. Seul le peuple en est capable. Lui qui choisit ses dirigeants et qui semble choisir Idrissa.
Le 07 Octobre prochain, 313 hommes et femmes, comme lors de la bataille de Bader, porteront le programme de Idy. Ces cadres, IS4, seront les portes étendards de la vision globale du Président. Leur cursus, à tous, est impressionnant.
Que karim continue ses mensonges. Idrissa lui continue à travailler exclusivement pour le départ des racailles de son acabit !
Sankar
A Bravo
En Septembre, 2022 (18:51 PM),spartacus
En Septembre, 2011 (23:11 PM)Souvenir
En Septembre, 2011 (10:19 AM)En se disant honoré par la confiance retrouvée du président, après leur rencontre, et en s'enfermant dans un mutisme plus générateur de suspicion que de suspense, Idy est à mon avis en train de détruire sa présidentiabilité.
Lors des joutes premières, et même jusqu’ après la 1ere rencontre, sa différence était visible, et elle lui profitait ; aujourd'hui sa différence est visible, mais elle lui nuit.
En rencontrant Idy, JP Dias et Fada, Wade finit de vampiriser la seule vraie opposition qui menaçait son parti, les anciens du PDS. Le noyau initial à l’instar de Me Ngom aux manettes de l'organisation des élections ne se fera pas prier pour montrer sa loyauté retrouvée.
Idy avait les "blancs", comme on dit au jeu d’échecs, càd l'initiative. Aujourd’hui il a les noirs et réagit aux coups donnés par l'adversaire; il n'est plus complètement maître ni de l'agenda, ni de la teneur des débats ou du rythme général de la campagne.
Il est vrai qu'il capitalise encore l'attente pour l'instant suspendue aux lèvres des sénégalais mais il joue gros pour sa prochaine vraie sortie. Celle d'hier étonne par son amateurisme, son caractère brouillon et bâclé. J'attendais beaucoup mieux d'un directoire de campagne et surtout d'un prétendu expert de la communication.
Pour ma part, je n'ai pas vu une machine de guerre prête à affronter tout un régime ; juste un homme seul qui a pris du poids par la seule personnalisation d'une bataille. Idy a- t-il vraiment les moyens de sa politique?
Une campagne ne se joue pas sur UN coup.
On attend donc la sortie de rattrapage promise. Si la montagne accouche d'une souris, il pourrait y avoir un effet déceptif, et Idy se retrouverait alors dans la position du bluffeur mis à nu.
L'ambition sans moyens et sans imagination est toujours bancale.
Souvenir 2
En Septembre, 2011 (10:21 AM)Une campagne ne se joue pas sur UN coup.
On attend donc la sortie de rattrapage promise. Si la montagne accouche d'une souris, il pourrait y avoir un effet déceptif, et Idy se retrouverait alors dans la position du bluffeur mis à nu.
L'ambition sans moyens et sans imagination est toujours bancale.
Thiey Sdj
En Septembre, 2011 (12:05 PM)En plus c'est bizarre, dans toutes ses conversations avec ses "amis", à chaque fois c'est lui qui a la réponse, la position la plus sensée. Genre Socrate. Connait tout. Hey Souleymane watawate.
Sprtacus
En Septembre, 2011 (16:42 PM)Que ne fait -on pas par communauté de vues ou par liberté de ton quand on rencontre un grand Homme(AVD) qu ´on ne connaitra peut-être jamais qu íci ,que quelques insolents irréverencieux tiennent pour hableur et râleur( Il est de cette espece d´érudits menacée d´extinction ) si l ´on n´y prend garde -AVD semble avoir mis au premier rang de ses entrées ici les salutations fraternelles de l´Islam, et nous abreuve avec largesse de hadith prophétiques .En nous quittant il ns bénit et ns enduit de ses onctions salvatrices .Le précieux service qu ´íl nous rend et qui échappe à beaucoup est de ns rappeler Allah et son Envoyé bénit .Une charité inépuisable et immense qui dérange beaucoup de gens hélas-Ne rêvons pas et ne ns flattons pas-Au plaisir...
Siga
En Septembre, 2011 (17:17 PM)je ne suis pour rien dans ces usurpations. Pour les éviter, je te suggère de créer un compte avec ta photo (il faut sourire nak). Sa domou badiane Aïda sera bien contente de te voir sourire de toutes tes 32 dents dehors.
Siga
En Septembre, 2011 (17:31 PM)Loll
En Septembre, 2011 (19:16 PM)Important
En Septembre, 2011 (22:26 PM)Tyma
En Septembre, 2011 (22:53 PM)Bonne nuit.
Siga
En Septembre, 2011 (23:17 PM)« 10% de la population profitent de 80% des ressources financières du pays » Il a fallu du temps pour qu'il s'en rende compte, Gadio... Et c'est même pas 10%, mais 5% qui se partagent les 90% des ressources du pays. La famille Wade a elle seule prend les 75%. Le voleur Cheikh Amar et la Cap21 prend les 15 autres.
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