La légende d'Abdou Xaalis avait fait le tour du Sénégal. On est dans les années 70. Le Soleil des indépendances s'était déjà couché dans la désinvolture générale. Après avoir chanté la femme noire et dansé la salsa, beaucoup de jeunes pays africains se retrouvèrent fort dépourvus. Doutes, craintes et inquiétudes envahirent les peuples. Des pêcheurs en eaux troubles intercontinentaux sautèrent sur la bonne occasion. Des faiseurs de roi à la cour aux miracles, toutes les formes de charlatanisme resurgirent violemment. C'est ainsi que naquit la légende d’Abdou Xaalis. Le plus célèbre des multiplicateurs de billets de banque de l'histoire du Sénégal. On charriait alors des tonnes sur ses supposés pouvoirs mystiques. C'était la Banque centrale en chair, en eau et en os. Il suffisait de lui donner 100 000 pour se retrouver avec un million de FCfa dans les poches. Mais même après son arrestation, les populations continuèrent de croire à ses capacités d'enrichir rapidement. L'enchanteur s'était pourtant révélé être un vulgaire malfaiteur. Il avait une explication quasi infaillible à sa capacité d'hypnose des Sénégalais. «C'était le travail de sa mère, le fameux ligeeyou Ndey», ricanait-il. Dans les années 2000 où nous sommes, des Abdou Xaalis d'un genre nouveau ont fait leur apparition. Multipliant leurs fortunes en dix ans, ils organisent des foires aux promesses à coup de milliards.
Le congrès du Parti démocratique sénégalais, prévu cette semaine, est la preuve de la désinvolture des gouvernants et le signe de nos incapacités collectives. Dans un pays rongé par la pauvreté, la cherté de la vie et un conflit sanglant dans sa partie Sud, des dirigeants ont l'outrecuidance d'organiser une fête foraine financée à coups de milliards. Ce n'est ni de la légèreté, ni de l'insouciance, c'est une simple provocation. Aucun des Sénégalais promoteurs de ce spectacle n'a hérité de montants aussi importants. Malgré la gravité de leurs charges, ils ne sont même pas habités par un souci quelconque de décence. La raison est bien simple. Le but de tout pouvoir est de rester au pouvoir. Ce sont les moyens d'y parvenir qui diffèrent. Barack Obama n'aurait jamais osé aller inaugurer des chrysanthèmes au moment où des soldats américains tombent sur le champ de l'honneur. Les peuples, dit-on, ont les gouvernements qu'ils méritent. C'est faux. Ce sont les gouvernements qui ont les peuples qu'ils méritent.
Le Général De Gaulle disait avoir un seul problème avec les dirigeants africains. «C'est qu'ils n'aiment pas leurs pays.» Le grand homme d'Etat français savait bien de quoi il parlait. Parce que quand une grande partie de son peuple s'était résolue à vivre sous la domination allemande, il a eu la sagesse, le courage et l'intelligence du bon berger. Il aurait pu rentrer dans les rangs, dénoncer des Juifs et se la couler tranquillement. Mais il avait foi en la grandeur de son pays et de son peuple. L'homme est une suite de possibles. Il est capable de bravoure comme de lâcheté. Cependant, il a surtout besoin d'un guide fort et désintéressé. De Gaulle prit les sentiers de la résistance. Abdou Diouf le répétait souvent : «Ce n'est pas le chemin qui est difficile, c'est le difficile qui est le chemin.» Car au bout de la guerre, à l'aurore de l'armistice, l'amour de la patrie a permis au général français de remettre son pays au cœur du dispositif mondial. C'est ce talent, ce sens du devoir, du sacrifice et de l'abnégation qui manque à nos dirigeants. Ils font souvent la confusion entre l'intelligence et le manque de scrupule. Savoir tirer les marrons du feu tient du calcul. Aujourd'hui, même de petites machines savent calculer.
La crise africaine est une crise de la volonté africaine, disait le Pasteur Ka Mana. Tous les jours, le monde et l'histoire nous interrogent. Sommes-nous capables de commencer quelque chose de nouveau ? Le Prince Mandela avait pourtant répondu au prince de Machiavel avec plus ou moins de réussite. Mais dans un pays où le statut prime sur la stature, on préfère flatter les mauvais côtés de son peuple pour rester au pouvoir pendant… cinquante ans. C'est ainsi qu'on voit souvent des nains affecter des airs de géants. C'est triste, mais c'est la réalité. Abdou Xaalis est encore parmi nous.
19 Commentaires
Faf
En Décembre, 2011 (13:24 PM)Fatah
En Décembre, 2011 (13:27 PM)Xeme
En Décembre, 2011 (13:28 PM)Laskha
En Décembre, 2011 (13:33 PM)Abdou Khaaliss
En Décembre, 2011 (13:37 PM)15 MILLIONS POUR LE TRANSPORT DES ANCIENS DU PARTI...
+5 MILLIONS A CHAQUE DELEGATION...
+ DES MOYENS POUR LA CAMPAGNE ELECTORALE...
MEME NOS VIEUX SONT DEVENUS POURRIS ET ONT PERDU LEUR DIGNITE!
ET ON VEUT EDUQUER LES ENFANTS AVEC CETTE MAUVAISE GRAINE.
Zazou
En Décembre, 2011 (14:01 PM)Senenmut
En Décembre, 2011 (14:18 PM)44
En Décembre, 2011 (14:40 PM)Boy Town
En Décembre, 2011 (16:06 PM)Le genre d'article qui reste dans nos têtes et même dans notre subconscient .
Bravo Alioune , la peur est , pour sûr , du côté des voleurs , qui ont bu tout le sang de notre peuple
Civette
En Décembre, 2011 (16:51 PM)Woolofndiaye
En Décembre, 2011 (17:28 PM)Ax
En Décembre, 2011 (23:09 PM)Jazz
En Décembre, 2011 (01:22 AM)Bby
En Décembre, 2011 (01:29 AM)Jazz
En Décembre, 2011 (01:30 AM)Ndao Ndianko
En Décembre, 2011 (02:03 AM)Ndell.ndelleet
En Décembre, 2011 (09:32 AM)Tu ne dois pas être un sénégalais, si tu l'es , tu ne dois pas être croyant; si tu es "croyant", tes amis ne doivent pas l'être...... Tu nous pompes l'air à vouloir défendre l'indéfendable!!!!
Gawlo
En Décembre, 2011 (09:53 AM)Toute la vérité, rien que la vérité sur les études peu reluisantes de Idy.
Au cours de sa sortie sur la radio Rfm, Idrissa Seck a beaucoup parlé de son cursus scolaire et universitaire en citant tour à tour le collège Saint Gabriel de Thiès, le lycée Vanvo de Dakar, Sciences Politiques de Paris et naturellement l'université de Princeton des Etats-Unis. Mais curieusement, Idy ne fait que répéter inlassablement son statut d' «ancien» de ces établissements scolaires et universitaires. Il dit : «Je suis ancien de Sciences Politiques, je suis ancien de Princeton». Remarquez l'escroquerie : Idy ne dit jamais «je suis diplômé de Sciences Politiques à Paris» ou bien «je suis diplômé de Princeton aux Etats-Unis», mais seulement «je suis ancien de ces établissements». Pour la gouverne des lecteurs qui risquent de se laisser abuser par Idy, nous rappelons ceci :
L'EXAMEN D'ENTREE EN 6EME : PREMIER ECHEC
Idy avait échoué à l'examen d'entrée en 6ème à Thiès en 1972. Heureusement, c'est l'épouse chrétienne de son cousin Alioune Badara Niang, (cette femme est la sœur de Marie Thérèse Diédhiou) qui avait été prise de pitié par le sort et par la pauvreté de Idy. Cette femme-là est allée solliciter au collège Saint Gabriel une place en classe de 6ème en faveur de Idrissa Seck comme «cas social». Dans ce collège, tout le monde payait sauf Idy, parce qu'il était issu d'une famille misérable (son père était vendeur de légumes au marché de Thiès et sa mère griotte dans les cérémonies mondaines). Voilà comment Idy s'est retrouvé au collège Saint Gabriel.
STATUT DE «RECASÉ» AU LYCÉE VANVO
Pour le lycée Lamine Guèye, c'est toujours son cousin Alioune Badara Niang (mais c'est encore plus complexe et plus grave dans leurs relations familiales) qui avait réussi à lui trouver une place de «recasé» dans le lycée où il n'y avait que des fils à papa. Ce n'était pas le lieu indiqué pour un misérable comme Idy, mais le coup de pouce de l'avocat Wade a été déterminant pour que Idy entre à Vanvo. Là aussi, il n'était pas un brillant élève comme il voudrait le laisser croire. C'est vrai qu'il se classait premier en arabe, mais c'est tout. Pour toutes les autres matières, il était médiocre. C'était entre 1978 et 1981, les archives sont là. Idy a eu son bac en 1981 à l'âge de 22 ans alors que ses camarades de classe en avaient 17 ou 18, ce qui n'est donc pas le propre d'un dénie.
A L'UNIVERSITÉ DE PARIS, IDY ÉTAIT HÉBERGÉ PAR OUSMANE NGOM
Venons-en maintenant à ses études de Sciences Politiques à Paris. Idy avait la manie de s'inscrire dans une université uniquement pour avoir la carte d'étudiant afin de garnir son CV. C'est tout. Idy ne peut pas brandir un diplôme qui lui aurait été décerné par cette université parisienne. D'ailleurs, il est arrivé à Paris en septembre 1981. Sur recommandation de Wade, il était hébergé dans la chambre d'étudiant de Ousmane Ngom. Mais c'est seulement pendant l'année 1986-1987 qu'il est allé s'inscrire à Sciences Politiques. Question : Qu'a fait Idy entre 1981 et 1987 à Paris ? Réponse : Rien du tout, sinon vadrouiller et vivre aux basques de Ousmane Ngom qui l'avait entièrement pris en charge alors que le fainéant Idy ne faisait que dormir.
D'ailleurs, quel besoin un diplômé de Sciences Politiques peut-il trouver à revenir à Dakar en 1988 pour essayer de s'inscrire à la Faculté des Lettres et Sciences Humaines de l'Université de Dakar ? Pour toute réponse, le Doyen de la Faculté à qui il avait fait parvenir une demande lui avait répondu que la seule faveur qu'on pouvait lui faire, c'était de l'autoriser à s'inscrire en Duel II. Aussitôt, Idy avait boudé pour aller chercher ailleurs. Si vraiment il était diplômé de Sciences Politiques, ce n'est pas une inscription en Duel II que le Doyen lui proposerait, mais plutôt un poste de professeur dans cette même Faculté. Ceci révèle encore une fois que Idy a toujours été un escroc du savoir, un escroc des diplômes.
IDY ÉTAIT INSCRIT EN COURS DU SOIR POUR 6 MOIS A PRINCETON
Enfin, pour ce qui concerne maintenant son passage à l'université américaine de Princeton, il faut préciser que c'est Jean Collin, l'ancien tout-puissant ministre d'Etat de Abdou Diouf qui, pour récompenser Idrissa Seck de sa tortuosité (il était taupe du régime Ps au seindu Pds), lui avait octroyé la bourse pour un séjour de 6 mois seulement aux Etats-Unis. Oui, vous avez bien lu. Nous avons bien dit «6 mois».
Nous savons bien comment fonctionnent les universités américaines en matière d'études et de diplômes. Si un étudiant arrive aux Etats-Unis avec le bac, il a d'abord deux formalités à remplir. La première, c'est passer un test de niveau à l'issue duquel l'université l'accepte comme étudiant. La deuxième, c'est de faire 6 mois d'adaptation à la langue : ces 6 mois destinés aux francophones servent à apprendre l'anglais pour pouvoir comprendre les explications des professeurs.
Ces deux formalités, une fois remplies, l'étudiant attaque maintenant le premier cycle qui dure 4 ans à l'issue desquels il obtient le diplôme appelé Bachelor. Après ces 4 ans, l'étudiant entre en second cycle qui dure 2 ans à l'issue desquels il obtient encore un diplôme qui s'appelle MBA. Enfin, l'étudiant attaque le troisième et dernier cycle qui dure 2 ans et qui est sanctionné par le plus haut diplôme américain et qui s'appelle PH.D. qui donne le titre de Docteur. Voilà pourquoi on dit Docteur Cheikh Tidiane Gadio. Lui, il a bouclé les 8 ans sans redoubler pour avoir obtenu à la fois le Bachelor, le MBA et le PH.D. Parmi les ministres de l'actuel gouvernement, Mamadou Sidibé a suivi le même cursus aux Etats-Unis. Revenant à Idy, signalons qu'il est arrivé aux Etats-Unis en avril 1991, il a étudié 6 mois à Princeton et est rentré à Dakar en septembre 91. Alors, quel diplôme a-t-il pu ramener de Princeton après seulement 6 mois de cours du soir ? Nous disons bien «cours du soir». Voilà pourquoi Idrissa Seck n'a eu aucun diplôme d'études supérieures. Aucun ! Et nous le défions de nous prouver le contraire
a beaucoup parlé de son cursus scolaire et universitaire en citant tour à tour le collège Saint Gabriel de Thiès, le lycée Vanvo de Dakar, Sciences Politiques de Paris et naturellement l'université de Princeton des Etats-Unis. Mais curieusement, Idy ne fait que répéter inlassablement son statut d' «ancien» de ces établissements scolaires et universitaires. Il dit : «Je suis ancien de Sciences Politiques, je suis ancien de Princeton». Remarquez l'escroquerie : Idy ne dit jamais «je suis diplômé de Sciences Politiques à Paris» ou bien «je suis diplômé de Princeton aux Etats-Unis», mais seulement «je suis ancien de ces établissements». Pour la gouverne des lecteurs qui risquent de se laisser abuser par Idy, nous rappelons ceci :
L'EXAMEN D'ENTREE EN 6EME : PREMIER ECHEC
Idy avait échoué à l'examen d'entrée en 6ème à Thiès en 1972. Heureusement, c'est l'épouse chrétienne de son cousin Alioune Badara Niang, (cette femme est la sœur de Marie Thérèse Diédhiou) qui avait été prise de pitié par le sort et par la pauvreté de Idy. Cette femme-là est allée solliciter au collège Saint Gabriel une place en classe de 6ème en faveur de Idrissa Seck comme «cas social». Dans ce collège, tout le monde payait sauf Idy, parce qu'il était issu d'une famille misérable (son père était vendeur de légumes au marché de Thiès et sa mère griotte dans les cérémonies mondaines). Voilà comment Idy s'est retrouvé au collège Saint Gabriel.
STATUT DE «RECASÉ» AU LYCÉE VANVO
Pour le lycée Lamine Guèye, c'est toujours son cousin Alioune Badara Niang (mais c'est encore plus complexe et plus grave dans leurs relations familiales) qui avait réussi à lui trouver une place de «recasé» dans le lycée où il n'y avait que des fils à papa. Ce n'était pas le lieu indiqué pour un misérable comme Idy, mais le coup de pouce de l'avocat Wade a été déterminant pour que Idy entre à Vanvo. Là aussi, il n'était pas un brillant élève comme il voudrait le laisser croire. C'est vrai qu'il se classait premier en arabe, mais c'est tout. Pour toutes les autres matières, il était médiocre. C'était entre 1978 et 1981, les archives sont là. Idy a eu son bac en 1981 à l'âge de 22 ans alors que ses camarades de classe en avaient 17 ou 18, ce qui n'est donc pas le propre d'un dénie.
A L'UNIVERSITÉ DE PARIS, IDY ÉTAIT HÉBERGÉ PAR OUSMANE NGOM
Venons-en maintenant à ses études de Sciences Politiques à Paris. Idy avait la manie de s'inscrire dans une université uniquement pour avoir la carte d'étudiant afin de garnir son CV. C'est tout. Idy ne peut pas brandir un diplôme qui lui aurait été décerné par cette université parisienne. D'ailleurs, il est arrivé à Paris en septembre 1981. Sur recommandation de Wade, il était hébergé dans la chambre d'étudiant de Ousmane Ngom. Mais c'est seulement pendant l'année 1986-1987 qu'il est allé s'inscrire à Sciences Politiques. Question : Qu'a fait Idy entre 1981 et 1987 à Paris ? Réponse : Rien du tout, sinon vadrouiller et vivre aux basques de Ousmane Ngom qui l'avait entièrement pris en charge alors que le fainéant Idy ne faisait que dormir.
D'ailleurs, quel besoin un diplômé de Sciences Politiques peut-il trouver à revenir à Dakar en 1988 pour essayer de s'inscrire à la Faculté des Lettres et Sciences Humaines de l'Université de Dakar ? Pour toute réponse, le Doyen de la Faculté à qui il avait fait parvenir une demande lui avait répondu que la seule faveur qu'on pouvait lui faire, c'était de l'autoriser à s'inscrire en Duel II. Aussitôt, Idy avait boudé pour aller chercher ailleurs. Si vraiment il était diplômé de Sciences Politiques, ce n'est pas une inscription en Duel II que le Doyen lui proposerait, mais plutôt un poste de professeur dans cette même Faculté. Ceci révèle encore une fois que Idy a toujours été un escroc du savoir, un escroc des diplômes.
IDY ÉTAIT INSCRIT EN COURS DU SOIR POUR 6 MOIS A PRINCETON
Enfin, pour ce qui concerne maintenant son passage à l'université américaine de Princeton, il faut préciser que c'est Jean Collin, l'ancien tout-puissant ministre d'Etat de Abdou Diouf qui, pour récompenser Idrissa Seck de sa tortuosité (il était taupe du régime Ps au seindu Pds), lui avait octroyé la bourse pour un séjour de 6 mois seulement aux Etats-Unis. Oui, vous avez bien lu. Nous avons bien dit «6 mois».
Nous savons bien comment fonctionnent les universités américaines en matière d'études et de diplômes. Si un étudiant arrive aux Etats-Unis avec le bac, il a d'abord deux formalités à remplir. La première, c'est passer un test de niveau à l'issue duquel l'université l'accepte comme étudiant. La deuxième, c'est de faire 6 mois d'adaptation à la langue : ces 6 mois destinés aux francophones servent à apprendre l'anglais pour pouvoir comprendre les explications des professeurs.
Ces deux formalités, une fois remplies, l'étudiant attaque maintenant le premier cycle qui dure 4 ans à l'issue desquels il obtient le diplôme appelé Bachelor. Après ces 4 ans, l'étudiant entre en second cycle qui dure 2 ans à l'issue desquels il obtient encore un diplôme qui s'appelle MBA. Enfin, l'étudiant attaque le troisième et dernier cycle qui dure 2 ans et qui est sanctionné par le diplôme d'études supérieures. Aucun ! Et nous le défions de nous prouver le contraire plus haut diplôme américain et qui s'appelle PH.D. qui donne le titre de Docteur. Voilà pourquoi on dit Docteur Cheikh Tidiane Gadio. Lui, il a bouclé les 8 ans sans redoubler pour avoir obtenu à la fois le Bachelor, le MBA et le PH.D. Parmi les ministres de l'actuel gouvernement, Mamadou Sidibé a suivi le même cursus aux Etats-Unis. Revenant à Idy, signalons qu'il est arrivé aux Etats-Unis en avril 1991, il a étudié 6 mois à Princeton et est rentré à Dakar en septembre 91. Alors, quel diplôme a-t-il pu ramener de Princeton après seulement 6 mois de cours du soir ? Nous disons bien «cours du soir». Voilà pourquoi Idrissa Seck n'a eu aucun
Mbare
En Décembre, 2011 (21:44 PM)Participer à la Discussion