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A l’entame de sa communication, le Chef de l’Etat a salué la tenue à Dakar du Forum international sur les partenariats public-privé et du Forum foncier mondial 2015 sur le thème « une gouvernance foncière inclusive et juste pour un développement durable : le temps de l’action ».
Abordant le point de sa communication portant sur les enseignements de la mission du FMI, le Président de la République a évoqué l’audience qu’il a accordée au Chef de mission du FMI pour le Sénégal, qui a magnifié les performances du Sénégal au plan macroéconomique et s’est félicité des résultats positifs des négociations qui viennent de s'achever et qui permettront de soumettre, en juin 2015, au Conseil d'administration du FMI, le dossier de notre pays pour un troisième programme ISPE sur la période 2015-2017.
A cet égard, le Président de la République a demandé au Gouvernement de veiller au respect des engagements pris dans le mémorandum de politique économique et financière, notamment en matière de réformes structurelles, en accordant une attention particulière aux mesures prévues pour améliorer la situation des Finances publiques afin de mettre l’accent sur l'investissement et le soutien aux couches les plus défavorisées.
A cet égard, le Président de la République a demandé au Gouvernement de veiller au respect des engagements pris dans le mémorandum de politique économique et financière, notamment en matière de réformes structurelles, en accordant une attention particulière aux mesures prévues pour améliorer la situation des Finances publiques afin de mettre l’accent sur l'investissement et le soutien aux couches les plus défavorisées.
Dans cette perspective, le Chef de l’Etat a exhorté le Gouvernement à veiller au renforcement du système de programmation et d'exécution des investissements, à l’optimisation des modalités et conditions d'endettement.
Au demeurant, le Chef de l’Etat a salué le soutien du FMI dans la définition et la mise en œuvre des politiques économiques et financières de notre pays.
Abordant le point de sa communication relatif à l’impératif de mise en place d’un Cadre national d’Amélioration et d’Harmonisation des Décaissements, le Président de la République a insisté sur la nécessité, pour le Gouvernement, d’accentuer les efforts à tous les niveaux, pour une réalisation diligente des projets et programmes.
Au demeurant, le Chef de l’Etat a salué le soutien du FMI dans la définition et la mise en œuvre des politiques économiques et financières de notre pays.
Abordant le point de sa communication relatif à l’impératif de mise en place d’un Cadre national d’Amélioration et d’Harmonisation des Décaissements, le Président de la République a insisté sur la nécessité, pour le Gouvernement, d’accentuer les efforts à tous les niveaux, pour une réalisation diligente des projets et programmes.
Le Chef de l’Etat a, en outre, souligné au Gouvernement la haute priorité qu’il accorde à l’amélioration de la disponibilité de l’information financière et le renforcement du dialogue de gestion entre les départements ministériels et le Ministère de l’Economie, des Finances et du Plan, afin d’asseoir une exécution optimale des dépenses publiques, avec un taux d’absorption des ressources budgétaires conforme aux prévisions ciblées.
Abordant le point de sa communication portant sur le rôle primordial du secteur minier dans l’émergence du Sénégal, le Président de la République, réitérant son ambition de faire du Sénégal un Hub minier, ainsi que son attachement particulier à la Transparence et à la Bonne Gouvernance dans ce secteur, a indiqué au Gouvernement l’impératif de préserver le caractère compétitif du projet de nouveau Code minier, tout en assurant un partenariat gagnant-gagnant entre l’Etat, les populations polarisées et les sociétés minières.
Abordant le point de sa communication portant sur le rôle primordial du secteur minier dans l’émergence du Sénégal, le Président de la République, réitérant son ambition de faire du Sénégal un Hub minier, ainsi que son attachement particulier à la Transparence et à la Bonne Gouvernance dans ce secteur, a indiqué au Gouvernement l’impératif de préserver le caractère compétitif du projet de nouveau Code minier, tout en assurant un partenariat gagnant-gagnant entre l’Etat, les populations polarisées et les sociétés minières.
Au titre de son Agenda, le Chef de l’Etat a informé le Conseil de sa participation, le 10 mai 2015, à Point à Pitre (Guadeloupe), à la cérémonie d’inauguration du Centre caribéen d’Expressions et de Mémoires de la Traite et de l’Esclavage, en présence, notamment, du Président de la République française et du Président de la République du Mali.
Le Premier Ministre a présenté au Conseil une communication portant sur la nécessité d’intensifier la mise en œuvre des réformes, projets et programmes majeurs, déterminants pour la relance de l’activité économique, la création d’emplois et de richesses afin d’améliorer des conditions de vie des populations.
Le Premier Ministre a, également, sur demande du Président de la République procédé à une revue, avec les ministères concernés, des projets et programmes prioritaires, en cours de réalisation, résultant des engagements prévus pour 2015, tels que :
Le Premier Ministre a présenté au Conseil une communication portant sur la nécessité d’intensifier la mise en œuvre des réformes, projets et programmes majeurs, déterminants pour la relance de l’activité économique, la création d’emplois et de richesses afin d’améliorer des conditions de vie des populations.
Le Premier Ministre a, également, sur demande du Président de la République procédé à une revue, avec les ministères concernés, des projets et programmes prioritaires, en cours de réalisation, résultant des engagements prévus pour 2015, tels que :
- le développement d’activités agro-sylvo-pastorales et halieutiques, avec notamment l’abattoir de Diamniadio, les domaines agricoles communautaires, les fermes Natangué et les fermes aquacoles ;
- les infrastructures routières, ferroviaires et aéroportuaires portant sur la finalisation de 27 projets majeurs, en particulier, l’autoroute Ila Touba, l’axe Dioum- Ourossogui- Bakel, la boucle du Boudié, la RN6 (axe Ziguinchor-Tanaff), la construction de sept ponts, la réhabilitation du Chemin de fer Dakar Bamako et l’Autoroute à péage Diamniadio-AIBD-Somone-Mbour ;
- la relance du processus d’industrialisation avec la réalisation de parc industriel de Diamniadio ;
- la relance du secteur touristique à travers, entre autres, la mise en place d’un crédit hôtelier, la baisse des taxes sur le transport aérien et la requalification des sites de Cap skirring, de la Langue de Barbarie, de la Petite côte et du Delta du Saloum ;
- les réformes et les mesures d’amélioration des classements d’attractivité (Doing business) ;
- les réformes et les mesures d’amélioration des classements d’attractivité (Doing business) ;
- le développement d’infrastructures scolaires, universitaires ;
- la promotion de la santé et de la protection sociale ;
- la promotion de la santé et de la protection sociale ;
- les infrastructures sportives, d’hydraulique rurale et urbaine, ainsi que le programme de promotion des « villes vertes ».
Le Ministre des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’Extérieur a fait le point sur l’actualité africaine et internationale ainsi que sur les préparatifs de la prochaine visite d’Etat, au Sénégal, de sa Majesté le Roi Mohamed VI, du Royaume du Maroc.
Le Ministre de l’Economie, des Finances et du Plan a fait le point sur la situation économique nationale et sur la conjoncture internationale.
Le Ministre de l’Agriculture et de l’Equipement rural a présenté une communication mettant en relief la bonne dynamique dans l’évolution des exportations horticoles, arachidières (avec un record de 109 000 tonnes) et une hausse significative de la production d’oignons.
Le Ministre de l’Energie et du Développement des Energies renouvelables a présenté au Conseil une communication portant sur le Plan de production de la SENELEC pour la période 2015- 2025, tenant compte du niveau d’exécution des projets, de l’évolution de la demande et des coûts de productions, en vue d’atteindre, à terme, 1407 MW, dont 290 MW d’énergies intermittentes (solaire et éolienne).
Le Ministre de l’Economie, des Finances et du Plan a fait le point sur la situation économique nationale et sur la conjoncture internationale.
Le Ministre de l’Agriculture et de l’Equipement rural a présenté une communication mettant en relief la bonne dynamique dans l’évolution des exportations horticoles, arachidières (avec un record de 109 000 tonnes) et une hausse significative de la production d’oignons.
Le Ministre de l’Energie et du Développement des Energies renouvelables a présenté au Conseil une communication portant sur le Plan de production de la SENELEC pour la période 2015- 2025, tenant compte du niveau d’exécution des projets, de l’évolution de la demande et des coûts de productions, en vue d’atteindre, à terme, 1407 MW, dont 290 MW d’énergies intermittentes (solaire et éolienne).
11 Commentaires
Baba
En Mai, 2015 (23:15 PM)sortons de ce foutu franc cfa
Macky Korr Mareme Faye
En Mai, 2015 (23:19 PM)L Homme
En Mai, 2015 (23:59 PM)Welle
En Mai, 2015 (11:34 AM)Anonyme
En Mai, 2015 (14:49 PM)Sèrere De Fadiouth
En Mai, 2015 (17:56 PM)Encore une fois, nous sommes acteurs économiques Sénégalais et l'argent que l'Etat nous doit ne sert qu'à des investissements locaux et à créer ou maintenir des emplois pour nos compatriotes.
Merci de tout effort que vous pourrez faire pour nous aider à récupérer nos fonds.
Zoumbi
En Mai, 2015 (18:11 PM)pourquoi depuis la sortie de l'audit le 17 mars 2015 monsieur youssou ndiaye est maintenu à l'hopital Dallam Diamm ! Madame le ministre est vous la protectrice de ce voleur !
Une mission de vérification de l’Inspection des affaires administratives et financières (Iaaf) a été dépêchée au Centre hospitalier de Abass Ndao (Chan), au lendemain du départ de son ancien directeur Dr Youssou Ndiaye. Mais, la lecture du rapport officiel produit par l’Iaaf donne des urticaires. Les enquêteurs laissent voir des anomalies de toutes sortes, pour ne pas dire des combines et combinaisons à la limite mafieuses, qui ont profité à un personnel ou une catégorie de personnel, responsable à 90% de la situation précaire dans laquelle le Chan est plongée depuis des années maintenant. Selon le rapport de l’Iaaf, le Chan est transformé en champ de ruines, qui mettra bien des années, avant de redevenir normal.
Abass Ndao risque de ne jamais se relever de sa gestion, sous l’ère Youssou Ndiaye. Du moins, si l’on se fie au rapport, produit par l’Ins¬pection des affaires administratives et financières (Iaaf). Cette mission est intervenue dans un contexte de transition du fait du changement de directeur effectué le 7 mai 2014. Pour les enquêteurs, ce changement de directeur semble être le corollaire de la situation tendue au sein du Centre hospitalier de Abass Ndao (Chan) entre Dr Youssou Ndiaye et une bonne partie du personnel depuis 2011.
L’Iaaf fait remarquer que, sur le plan de la gestion, la structure devait, en fin avril 2014, trois mois d’arriérés de salaire à ses agents. Aujourd’hui, ces arriérés sont épongés et les réclamations portent uniquement sur les primes. Le fonctionnement normal des services techniques comme administratifs pose problème du fait de la vétusté des équipements, de la défaillance de la maintenance, de la rupture fréquente de consommables, de la situation déplorable des ressources humaines.
Ces manquements, selon les en¬quêteurs, empêchent le Chan de fonctionner normalement et obligent le personnel à réorienter des patients dans les cliniques privées ou d’autres hôpitaux plus nantis en équipements et accessoires avec pour conséquence «une baisse significative des recettes propres. Pendant ce temps, la dette de l’hôpital ne fait que s’accroître. L’urgence est un vain mot, l’accueil et l’orientation inexistants. Le taux d’absentéisme est très élevé. Il en est de même des retards.»
A propos de la masse salariale, elle n’est pas maîtrisée, selon le rapport. «Les tensions de trésorerie sont avérées et récurrentes, la baisse drastique des recettes peut être constatée sur les différents documents financiers, surtout durant la période (2010-2013). Les services tournent au minimum. Au moment de la prise de fonction du nouveau directeur, tous les contrats avec les fournisseurs étaient en voie de résiliation. La dette sociale avoisine 900 millions de francs Cfa, la dette fiscale plus d’un demi milliard et celle aux fournisseurs dépassent le milliard», lit-on dans le document.
Des caisses parallèles, entraînant une déperdition de recettes
Aussi, les répercussions sur la fonctionnalité des services médico-techniques et administratifs sont-elles tangibles. «Les tensions de trésorerie ont comme conséquences entre autres, les ruptures fréquentes de consommables dans tous les services, entraînant l’établissement de Conventions (avec l’Assad), signées en violation de la réglementation et qui bénéficient à quelques personnes au détriment des autres agents et des usagers de la structure. Cette situation de sinécure perdure avec l’instauration de caisses parallèles, entraînant une déperdition de recettes», relèvent les enquêteurs. Qui ajoutent : «Au moment où nous faisions notre vérification, le véhicule affecté au directeur du Chan était toujours détenu par le sortant. Au service radiologie, la développeuse était en panne ainsi que la radio de la grande salle. Au bloc opératoire, il est signalé un manque de respirateur d’oxygène et souvent de l’oxygène. La buanderie ne fonctionne plus. La réparation des deux machines est entamée. Les blanchisseurs, à cause de la dette élevée que leur doit le Chan ne font plus de crédit. Le directeur trouve des alternatives avec les buanderies des autres Eps de temps à autres.»
Lifikhew
En Mai, 2015 (09:46 AM)Anonyme
En Mai, 2015 (10:10 AM)Anonyme
En Mai, 2015 (10:41 AM)Anonyme
En Mai, 2015 (16:03 PM)Participer à la Discussion