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Dans un entretien accordé au journal Les Échos, ce dernier estime que «la question des visas est centrale» par rapport aux défis à relever. L'interlocuteur du quotidien d'infirmation va plus loin, révélant cette question liée au visa est intégrée dans «son rapport sur l'avenir de la francophonie» qu'il va remettre incessamment :
«Une des choses que je vais dire, c'est comment est-il possible qu'on ait plus de difficultés quand on est Sénégalais à venir en France qu'à aller aux États-Unis. Je le tiens d'un exemple, j'espère qu'elle ne m'en voudra pas de la citer, de madame la ministre Yassine Fall. Elle m'a dit que quand elle n'était pas encore ministre, elle avait plus de mal, en tant que chercheuse, alors qu'elle a une partie de sa famille en France, à venir en France qu'à aller aux États-Unis.»
Taché de marteler : «Comment c'est possible que quelqu'un d'une qualité pareille rencontre des difficultés à avoir un visa ? Je vous donne un exemple symbolique, mais vous savez comme moi que c'est le cas pour des milliers d'autres, Sénégalais.»
En conséquence, le parlementaire prône «une idée simple» : Celle de la suppression des visas «dans l'espace francophone» pour «les décideurs politiques, économiques, les artistes, les chercheurs [surtout] sur des courtes périodes».
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il y a 3 heures (12:35 PM)Participer à la Discussion