Les mécanismes d’appui au secteur privé sénégalais sont au menu des échanges lors de la première édition des « Private sector days » lancés ce mercredi 16 novembre à l’occasion de la semaine mondiale de l’entrepreneuriat. Initiées par l’agence Belge de développement (Enabel), ces journées (16 et 17 novembre 2022) ont pour but de servir de cadre d’échange pour les entrepreneurs du secteur privé du Sénégal. Ceci, afin de permettre de « repositionner les mécanismes d’appui par rapport à la nouvelle stratégie de développement du secteur privé », a déclaré la représentante résidente d’Enabel, Régine DEBRABANDERE qui a présidé, ce matin, le lancement de ces deux jours de réflexion.
Il s’agira également lors de ces journées de « questionner l’adéquation entre l’offre et la demande de financement», car, souligne-t-elle « nous devons évaluer les mécanismes d’appui au secteur privé sénégalais et voir si cela répond aux demandes des différents entrepreneurs de ce pays. Mais aussi nous allons échanger sur les différentes solutions de financement qui sont mises à la disposition du secteur privé ».
Convaincue qu’aucun développement durable n’est possible sans un secteur privé dynamique, en croissance et pourvoyeur d’emplois décents pour la jeunesse, l’agence Belge de développement s’est engagée à davantage appuyer les entrepreneurs sénégalais.
Une occasion saisie par le ministère de l’Economie, du Plan et de la Coopération pour partager avec les acteurs du secteur privé la nouvelle stratégie de développement sectoriel qui sera bientôt adoptée. « Enabel nous a donné un immense honneur de venir partager ce document d’orientation qu’on va, d’ici peu, valider pour enclencher la mise en œuvre du programme stratégique de développement du secteur privé », s’est réjoui Sada Ndongo, chef de division Etude statistique et suivi à la direction du développement du secteur privé.
Esquissant les nouvelles orientations de cette stratégie, il a souligné qu’elles se déclinent à travers « 5 programmes et 16 chantiers ». « Ces programmes-là fédèrent, mais transcendent également l’ensemble des problématiques des acteurs du secteur privé, que cela soit sur le plan financier que le sur le plan de l’appui technique simplement. C’est une stratégie qu’on a élaboré en tant que ministère mais en partenariat avec l’ensemble des acteurs du secteur privé », rassure-t-il.
Quant aux difficultés de financement que traversent le secteur privé essentiellement composé d’entreprises informelles, Sada Ndongo pointe le nœud du problème. « Nous avons un tissu économique qui est essentiellement informel et qui veut travailler avec des entreprises formelles notamment tout ce qui est institution financière. Et à ce niveau il y a toujours des couacs car les entreprises informelles ne répondent pas souvent aux critères de ces institutions », signale-t-il. C’est à ce niveau qu’intervient Enabel, pour apporter aide et appui aux Pme et Pmi.
Il s’agira également lors de ces journées de « questionner l’adéquation entre l’offre et la demande de financement», car, souligne-t-elle « nous devons évaluer les mécanismes d’appui au secteur privé sénégalais et voir si cela répond aux demandes des différents entrepreneurs de ce pays. Mais aussi nous allons échanger sur les différentes solutions de financement qui sont mises à la disposition du secteur privé ».
Convaincue qu’aucun développement durable n’est possible sans un secteur privé dynamique, en croissance et pourvoyeur d’emplois décents pour la jeunesse, l’agence Belge de développement s’est engagée à davantage appuyer les entrepreneurs sénégalais.
Une occasion saisie par le ministère de l’Economie, du Plan et de la Coopération pour partager avec les acteurs du secteur privé la nouvelle stratégie de développement sectoriel qui sera bientôt adoptée. « Enabel nous a donné un immense honneur de venir partager ce document d’orientation qu’on va, d’ici peu, valider pour enclencher la mise en œuvre du programme stratégique de développement du secteur privé », s’est réjoui Sada Ndongo, chef de division Etude statistique et suivi à la direction du développement du secteur privé.
Esquissant les nouvelles orientations de cette stratégie, il a souligné qu’elles se déclinent à travers « 5 programmes et 16 chantiers ». « Ces programmes-là fédèrent, mais transcendent également l’ensemble des problématiques des acteurs du secteur privé, que cela soit sur le plan financier que le sur le plan de l’appui technique simplement. C’est une stratégie qu’on a élaboré en tant que ministère mais en partenariat avec l’ensemble des acteurs du secteur privé », rassure-t-il.
Quant aux difficultés de financement que traversent le secteur privé essentiellement composé d’entreprises informelles, Sada Ndongo pointe le nœud du problème. « Nous avons un tissu économique qui est essentiellement informel et qui veut travailler avec des entreprises formelles notamment tout ce qui est institution financière. Et à ce niveau il y a toujours des couacs car les entreprises informelles ne répondent pas souvent aux critères de ces institutions », signale-t-il. C’est à ce niveau qu’intervient Enabel, pour apporter aide et appui aux Pme et Pmi.
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