Les épreuves du baccalauréat technique démarrent le lundi 12 juin. Cette année, 3.399 candidats sont inscrits dont 1919 filles, d’après les statistiques fournies par le directeur de cabinet du ministre de la Formation professionnelle, de l’Apprentissage et de l’Insertion, Cissé Kane Ndao.
Il ajoute que 1285 candidats viennent de Dakar, suivie de Pikine-Guédiawaye (619), de Kédougou (256). Les académies de Diourbel, Kaolack et Saint-Louis ont enrôlé respectivement 254, 224 et 219 candidats. Au moment où Thiès en compte 166, Kolda, 116, Rufisque, 105, Tambacounda, 67, Ziguinchor, 46. Fatick ferme la marche avec 42 candidats.
Repris par le Soleil, Cissé Kane Ndao présidait un atelier de communication sur la réforme et l’organisation des nouveaux baccalauréats techniques avec la Série G devenue Steg (Sciences et technologies de l’économie et de la gestion) et la Série T changée en Stidd (Sciences et technologies industrielles pour le développement durable).
La réforme du système de formation professionnelle et technique devrait “booster l’employabilité des jeunes” en leur permettant “d’être suffisamment outillés pour intégrer le monde du travail ou poursuivre leurs études supérieures”, a expliqué la Directrice de la formation professionnelle et technique, Maïmouna Kanté.
4 Commentaires
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En Juin, 2023 (09:35 AM)Changer l'appellation des séries alors que le contenu ses programmes restent les mêmes ça sert à quoi si ce n'est pas pour simplement bluffer
Quand votre enfant est en classe de baccalauréat que que comprenez que ya aucune offre de formation sérieuse dans le supérieur au Sénégal. Vous êtes obligé d'arranger la suite des ses études à l'étranger.
Soyons sérieux, un pays ne peut pas se développer sans de bonnes écoles d'ingénieur. La littérature et les beaux discours n'ont jamais développé un pays.
Ce que nous vivons aujourd'hui en terme de pagaille, que pratiquement tous les sénégalais soient devenus des politiciens, ce qui n'a pas manqué de causer ce vacarme assourdissant et tympanisant, c'est le résultat de notre enseignement supérieur qui ne propose rien d'intéressant. La seule compétence dont dispose nos ressources humaines, c'est la politique, justement parce que la politique ne demande aucune compétence à part savoir polémiquer.
Deug
En Juin, 2023 (09:49 AM)Reply_author
En Juin, 2023 (10:09 AM)Reply_author
En Juin, 2023 (10:15 AM)Participer à la Discussion