Les enseignants maintiennent la cadence. Ils ne sont visiblement pas prêts à renoncer au combat syndical. Et pour bon nombre d'entre eux, l'invite du ministre de l'Education nationale à un cessez-le-feu tactique pour sauver l'année scolaire ressemble beaucoup plus à un aveu d'échec qu'à une véritable volonté d'apaisement, indique Le PoPulaire.
N'étant pas des sapeurs-pompiers, les enseignants ne voudront certainement pas périr en tentant de sauver une école sénégalaise agonisante.
Même pas au nom de la patrie ?
Ce qui semble être sûr, c’est que pour sauver leurs intérêts, certains d'entre eux sont sur le point de faire périr des innocents dont le seul tort aura été de ne pas avoir les moyens d’aller suivre des cours dans le privé.
Le droit à la grève est-il supérieur à celui à l'éducation ? L’heure de trouver une solution a sonné avant que l'irréparable ne se produise. Il sera trop tard pour sauver mais le péril risque bien d’être général.
5 Commentaires
Article Commandite
En Mai, 2013 (14:36 PM)Corentas
En Mai, 2013 (16:28 PM)Cacique
En Mai, 2013 (18:07 PM)Sos éducation
En Mai, 2013 (20:50 PM)Sos écolepublique
En Mai, 2013 (10:25 AM)Participer à la Discussion