Un début de dénouement dans la crise qui secoue le temple du savoir avec la mobilisation des étudiants qui finalement ont obtenu gain de cause avec cette grande reculade de l’Etat qui jusqu'ici s'était montré inflexible.
Le ministre de l’Enseignement supérieur Mary Teuw Niane a lâché du lest, notamment sur les frais d’inscription jugés exorbitants par les étudiants. Au sortir d’une rencontre avec la tutelle, hier, les organisations étudiantes envisagent un début de solution, après le bras de fer qui les a opposés au ministre de l'enseignement supérieur sur les bourses et la hausse des frais d'inscription.
«Initialement, les étudiants étaient appelés à payer 25?000, 30?000 et? 35?000F Cfa, respectivement en première, deuxième et troisième année de Licence. Les étudiants en première et deuxième année de Master devaiient payer 50?000 et 60?000F Cfa, au moment où les Doctorants étaient alignés sur 75?000F Cfa. Ces montants calés pour chaque année universitaire, lors du dernier Conseil présidentiel sur l’Enseignement supérieur, vont ainsi subir une modification», note dans ses colonnes Sud Quotidien, ce samedi.
Le journal de rapporter les propos du ministre Mary Teuw Niane dont la position a évolué sur la question.
«Au niveau des montants, nous sommes allés vers quelque chose qui ne différencie pas trop les étudiants d’un même cycle. Les étudiants du même cycle paieront, sans aucun doute, le même montant. Pour ce qui est des bourses, nous avons examiné les difficultés sur chaque cycle».
Nouvelle rencontre mercredi entre étudiants et tutelle.
15 Commentaires
Khz
En Janvier, 2014 (17:00 PM)Dems
En Janvier, 2014 (17:11 PM)Xeme
En Janvier, 2014 (17:31 PM)Boeuuuuuuuf
En Janvier, 2014 (18:29 PM)Y a pas de quoi pavoiser
étudiant
En Janvier, 2014 (18:46 PM)Afric
En Janvier, 2014 (20:29 PM)Loumo
En Janvier, 2014 (20:46 PM)Cortex
En Janvier, 2014 (20:52 PM)Cependant, moi j'ai une autre vision par rapport à ces réformes. Il ne faut pas oublier que le président ne cesse d'encourager les populations à rester chez eux pour cultiver leurs propres terres. N'oublions pas que tous nos présidents ont eu leurs propres champs sauf Abdou Diouf dont je suis pas sur.
Ces réformes contribueront ainsi aux politiques de dés-engorgement de la capitale.Soit il ouvre d'autres universités dignes du nom soit il diminue la population dans l'UCAD.
Il n'est pas nécessaire que tous les sénégalais passent à l'université. Avec le niveau de BFEM et quelques formations en agriculture, un jeune est très bien capable de gérer son champs et avec la technologie adéquate.
Dans un pays , il faut bien qu'il y ait un président, des ministres, des députés, des fonctionnaires, des privés, des agriculteurs, des mécaniciens, des boulangers, des cordonniers, des médecins, des infirmiers etc.
Wuet
En Janvier, 2014 (21:27 PM)ce ministre epingle par la banque mondiale pour sa gestion de l'UGB n'a aucune competence pour diriger les universites senegalaises. ce transhuman ne fera rien de bon. D'ailleurs apres les etudiants ce sera les enseignants.
Lima
En Janvier, 2014 (22:48 PM)@lima
En Janvier, 2014 (23:09 PM)President Par Defaut
En Janvier, 2014 (23:19 PM)Corrompu
En Janvier, 2014 (00:44 AM)Eleves
En Janvier, 2014 (01:38 AM)REMARQUES CES BOURSES SONT BEAUCOUP PLUS INTÉRESSANTES ET BEAUCOUP PLUS COÛTEUSES QUE CES PETITES AUMÔNES DE BOURSES FAMILIALES QUI NE SONT QUE DE LA POLITIQUE.
L ETAT RETIRE UN MILLION AUX ETUDIANTS OU A LA POPULATION ET LEUR DONNENT UNE AUMÔNE DE 10 000 FRCFA
LES SÉNÉGALAIS NE SONT PAS IDIOT POUR VOTRE PRIVATISATION RAMPANTE DE L'EDUCATION
Hhgt
En Janvier, 2014 (08:33 AM)Participer à la Discussion