L'université Assane Seck de Ziguinchor va accueillir, le 25 novembre prochain, le "Gingembre littéraire". L'Amicale des étudiants en lettres avait, depuis une année, réclamé la tenue de ce grand rendez-vous littéraire dans leur temple du savoir. Ce sera un gingembre "exceptionnel" avec le grand écrivain Boubacar Boris Diop, lit-on dans un document parvenu à Seneweb.
"Ce sera fait avec un discours inaugural de notre invité d'honneur Boris Diop, autour de 'L'écriture romanesque et les langues nationales', suivi d'une conférence avec des professeurs de l'université Assane Seck, des étudiants et des représentants des associations en Casamance autour de la thématique 'Matérialités de la conscience collective. Perceptions du musée-mémorial et ritualités autour de la mort en Casamance'. Le 'Gingembre littéraire sera une occasion inédite de discuter du mémorial du "Joola" érigé en bordure du fleuve.
"Ce sera fait avec un discours inaugural de notre invité d'honneur Boris Diop, autour de 'L'écriture romanesque et les langues nationales', suivi d'une conférence avec des professeurs de l'université Assane Seck, des étudiants et des représentants des associations en Casamance autour de la thématique 'Matérialités de la conscience collective. Perceptions du musée-mémorial et ritualités autour de la mort en Casamance'. Le 'Gingembre littéraire sera une occasion inédite de discuter du mémorial du "Joola" érigé en bordure du fleuve.
Que représente-t-il pour les populations, les familles des disparus ? Quel sens a-t-il pour ces familles dont les systèmes de croyances sont bafoués par des rituels et ritualités autour de la mort partiellement ou pas du tout accomplis ?"
"Le dernier ouvrage de Boubacar B. Diop, « Un tombeau pour Kinne Gaajo », une ode écrite d’abord en wolof puis traduite en français est un puissant rappel au devoir de mémoire. Il constitue un prétexte pour célébrer autrement la plus grande tragédie de l’histoire maritime du monde", informe El Hadji Gorgui Wade Ndoye, journaliste accrédité auprès des Nations Unies, à Genève, et directeur du magazine panafricain "ContinentPremier", par ailleurs initiateur du "Gingembre littéraire".
"Le dernier ouvrage de Boubacar B. Diop, « Un tombeau pour Kinne Gaajo », une ode écrite d’abord en wolof puis traduite en français est un puissant rappel au devoir de mémoire. Il constitue un prétexte pour célébrer autrement la plus grande tragédie de l’histoire maritime du monde", informe El Hadji Gorgui Wade Ndoye, journaliste accrédité auprès des Nations Unies, à Genève, et directeur du magazine panafricain "ContinentPremier", par ailleurs initiateur du "Gingembre littéraire".
2 Commentaires
Diallo Omar
En Novembre, 2024 (00:22 AM)Lol
En Novembre, 2024 (09:00 AM)Reply_author
En Novembre, 2024 (09:46 AM)Voila gratuitement l'explication.
Participer à la Discussion