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A une semaine du lancement de la campagne dénommée «Ville sans plastique», prévue le 15 juin prochain à Louga, le ministère de l’Environnement et du Développement durable (Medd) a initié une rencontre, ce mardi, qui a réuni, entre autres, d’honorables députés, des conseillers, des partenaires techniques et financiers, le patronat, des industriels, des associations de consommateurs, mais aussi l’administration territoriale. Une rencontre qui s’inscrit dans l’objectif de l’appropriation de la loi relative à l’interdiction de la production, de l’importation, de la détention, de la distribution et de l’utilisation de sachets plastiques de faible micronnage et la gestion rationnelle des déchets plastiques.
Auparavant, il a rencontré le personnel du Medd «pour avoir une large et commune compréhension de la loi, ainsi que les autres départements, dont certains seront bientôt conviés pour la rédaction des textes réglementaires d’application (décret d’application, des arrêtés interministériels) et chargés du contrôle de l’application de cette loi».
De cette rencontre, la troisième du genre, il est attendu «la compréhension de l’esprit et de la lettre de la loi, c’est-à-dire la philosophie et le contenu de la loi», a souligné le ministre dans son allocution lue par Idrissa Baldé, son Conseiller technique N2. Ce qui, selon lui, permettrait à chacun d’«être en mesure de définir et d’identifier le plastique interdit qui ne pourra plus être donné gratuitement et les sanctions prévues, en cas de violation de la loi, et le plastique accepté».
Aux yeux des agents du ministère de l’Environnement et de leurs collaborateurs, ces rencontres «revêtent un intérêt capital dans la croisade contre le péril plastique, étant persuadé que la compréhension de cette loi fera de chacun des participants un acteur important dans la communication sur cette loi. Au niveau national, elles installeront aussi une bonne compréhension, une large diffusion de la loi et constituent aussi une préparation de la phase déconcentrée de la campagne «Ville sans plastique», renseigne Abdoulaye Baldé. Ce dernier d’indiquer, en plus des séminaires de partage du contenu de la loi au profit des institutions de la République et de la société civile, une mission de terrain qu’il entend lui-même diriger à travers le pays. Mais en attendant, il veut «aujourd’hui une bonne communication sur la loi afin de venir à bout ou limiter le péril plastique».
4 Commentaires
Anonyme
En Juin, 2015 (16:44 PM)Un camarade de promo de la Faseg (1995-2000)
Anonyme
En Juin, 2015 (16:56 PM)Anonyme
En Juin, 2015 (21:12 PM)Oussouye
En Juin, 2015 (09:27 AM)Participer à la Discussion