Communiquant en sa faveur de la campagne dénommée « Sunu Ceb » ou « notre riz », l’agriculteur doublé de communicateur traditionnel invite le gouvernement Sénégalais a prendre les devants pour éviter au monde rural des disconvenues lors du prochain hivernage.
« Cette mauvaise tendance de l’évolution des ressources en sol est la conséquence d’une synergie de plusieurs facteurs dont les plus importantes sont la baisse de la pluviométrie, l’adoption de technique et de pratiques culturales non adéquates, le dépassement des capacités de charges au niveau de certains écosystèmes, la forte croissance de la population et du cheptel qui a aiguisé la compétition sur des espaces de moins en moins rentables », clame El Hadj Bara Ngom.
« Cette mauvaise tendance de l’évolution des ressources en sol est la conséquence d’une synergie de plusieurs facteurs dont les plus importantes sont la baisse de la pluviométrie, l’adoption de technique et de pratiques culturales non adéquates, le dépassement des capacités de charges au niveau de certains écosystèmes, la forte croissance de la population et du cheptel qui a aiguisé la compétition sur des espaces de moins en moins rentables », clame El Hadj Bara Ngom.
Par rapport à la culture du riz, il signale que « les contraintes sont liées essentiellement à la disponibilité de l’eau » et que l’autosuffisance alimentaire passe nécessairement par la consommation sur l’étendue du territoire du riz de la vallée. Dans la perspective d’une visite du ministre Pape Abdoulaye Seck , ministre de l’Agriculture, à Gossas le 13 juin prochain, El Hadj Bara Ngom sollicite de l’Etat une meilleure subvention des semences, la réalisation de plusieurs pistes de production. Il invite ses pairs à venir se joindre à lui dans la campagne de sensibilisation qu’il mène à travers le pays pour faire la promotion du riz de la vallée.
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