Les femmes prisonnières entretiennent parfois des relations intimes avec leurs gardes de sécurité pénitentiaire.
Selon L'Observateur, c’est le cas à la prison de Diourbel où une détenue nommée A. K. a été engrossée par un maton.
A. K., qui a été condamnée à une peine de 5 ans de prison ferme pour infanticide, a voulu encore tenté de tuer son bébé au motif que le maton a refusé de reconnaître la paternité de l’enfant.
C’est au moment où elle préparait le repas du régisseur que le l’agent profitait de l’absence du chef pour entretenir des rapports sexuels avec la détenue.
Elle était consentante parce que, dit-elle, elle avait des besoins physiologiques.
Ces faits sont courant à la prison de Diourbel. En 1995, un agent de l’administration pénitentiaire avait engrossé une détenue avant de l’épouser.
0 Commentaires
Participer à la Discussion