Barack et Michelle Obama ont confié dans un entretien à un magazine américain leurs propres expériences avec le racisme, le président américain révélant notamment avoir été confondu avec un serveur lors d'une soirée de gala.
"J'ai cette histoire où, même en tant que première Dame, pendant un déplacement très médiatisé dans un (supermarché) Target, sans être très camouflée, où la seule personne qui est venue vers moi dans le magasin a été une femme qui a demandé mon aide pour lui attraper quelque chose sur une étagère", a raconté Michelle Obama au magazine People, spécialisé dans l'actualité des célébrités.
"Ces incidents, au sein de la communauté noire, font partie de la vie quotidienne", a-t-elle relevé. De son côté, Barack Obama a indiqué qu'il avait été plusieurs fois pris pour un valet de parking ou un serveur. "Il n'y a pas un homme noir de mon âge (...) qui, attendant sa voiture à la sortie d'un restaurant, n'a pas eu quelqu'un qui lui a tendu ses clefs", a-t-il expliqué, confiant que cela lui était arrivé personnellement.
Et Michelle Obama d'ajouter: "Il portait un smoking à un dîner très chic, et quelqu'un lui a demandé d'aller chercher un café". Cet entretien tombe au moment où les tensions raciales ont été ravivées aux Etats-Unis par plusieurs affaires récentes dans lesquelles des Noirs non armés ont été tués par des policiers blancs. Des milliers de personnes ont manifesté, parfois violemment, dans le pays contre les violences policières.
"Les petites irritations ou expériences humiliantes que nous subissons ne sont rien par rapport à ce que la génération précédente a subi", a tempéré M. Obama. "C'est une chose que l'on me prenne par erreur pour un serveur à un gala. C'est autre chose que mon fils soit pris pour un voleur et soit menotté, ou pire, s'il marche dans la rue habillé comme les adolescents s'habillent", a-t-il relevé. Le couple présidentiel a indiqué avoir abordé la question du racisme avec leurs filles Sasha et Malia depuis leur plus jeune âge.
"Ce que nous avons essayé d'expliquer, c'est que l'histoire ne va pas toujours aussi vite que ce l'on aimerait, qu'il y a des vestiges de l'esclavage et de Jim Crow", des lois de ségrégation raciale abolies en 1964, a poursuivi M. Obama. "Et même si les choses vont extrêmement mieux, ces préjugés existent toujours".
11 Commentaires
Vrai
En Décembre, 2014 (10:31 AM)Goor
En Décembre, 2014 (11:17 AM)Haliko
En Décembre, 2014 (11:40 AM)Usa
En Décembre, 2014 (11:52 AM)Barna
En Décembre, 2014 (15:34 PM)Lol
En Décembre, 2014 (17:46 PM)dans de pareilles situation, jexplique tjrs clairement qui je suit
Peul Ndring
En Décembre, 2014 (18:25 PM)Lol
En Décembre, 2014 (18:27 PM)Mounos
En Décembre, 2014 (20:54 PM)Eurydice-caractacusa
En Décembre, 2014 (22:11 PM)This man (c'est à dire Obama, tancé pour l'occasion par le journaliste Ben Shapiro!) will always be a divider. And America will be worse because of it. Cet homme sera toujours un diviseur, et l'Amérique s'en portera de mal en pis!
UPDATE: How pathetic. Comme c'est triste!
Michelle Obama lied about the incident. Michelle Obama a menti à propos de l'incident.
As Ben Shapiro notes, Michelle had a different spin on that same incident a few years ago. She told David Letterman:
“No one knew that was me. Because a woman actually walked up to me, right? I was in the detergent aisle, and she said — I kid you not — she said, ‘Excuse me, I just have to ask you something.’ And I thought, ‘Oh, cover’s blown.’ She said, ‘Can you reach on that shelf and hand me the detergent?’ I kid you not. And the only thing she said — I reached up, because she was short, and I reached up, pulled it down. She said, ‘Well, you didn’t have to make it look so easy.’ That was my interaction. I felt so good.”
Puisque je fais 1m.80 il peut m'arriver dans un magasin de luxe comme dans un supermarché de devoir aider une autre femme, naine ou seulement de petite taille, en lui passant un article trop haut placé. Tout dépend de la manière dont l'aide est demandée. Mais je ne me hâte jamais de mettre cela sur le compte de mon teint de mulâtresse, encore moins de crier au racisme., ce fonds de commerce du couple Obama et des diverses Oprah Winfrey. Obama fut élu en majorité par les blancs américains anglo-saxons et les latinos à peau blanche. Les 10% de noirs américains n'eussent pas suffi!
Obama, ou l'art de copier, sans copier, tout en copiant! Hier dans son "Somos todos americanos", personne n'osa rappeler le "Ich bin ein berliner "de Kennedy. Il fallait aussi lui murmurer que s'il avait grandi en Amérique Latine, il n'aurait même pas pu accéder au poste de haut-fonctionnaire. Sauf dans quelque poussière d'île des Caraïbes!
"Todos americanos?" Le Venezuela est toujours sous embargo, depuis bien avant la mort de Chavez. Des milliers de personnes ont manifesté avant-hier contre cet état de fait. D'autre part, si Cuba est considéré comme faisant partie de l'Amérique, alors Haïti et les Antilles aussi. Obama oserait-il appeler à l'indépendance de la Martinique et de la Guadeloupe?
Le problème de Cuba est celui d'une dictature. Elle ne disparaîtra pas à coups de visas de tourisme et autres magouilles commerciales qui ne feraient qu'enrichir davantage le régime.Avec Obama, Cuba redeviendrait tout simplement "la pute" des américains, comme du temps de Battista, un autre dictateur.
Eurydice-caractacusa
En Décembre, 2014 (05:26 AM)passant un article trop haut placé. Tout dépend de la manière dont l'aide est demandée. Mais je ne me hâte jamais de mettre cela sur le compte de mon teint de mulâtresse, encore moins de crier au racisme., ce fonds de commerce du couple Obama et des diverses Oprah Winfrey. Obama fut élu en majorité par les blancs américains anglo-saxons et les latinos à peau blanche. Les 10% de noirs américains n'eussent pas suffi! Obama, ou l'art de copier, sans copier, tout en copiant! Hier dans son "Somos todos americanos", personne n'osa rappeler le "Ich bin ein berliner "de Kennedy. Il fallait aussi lui murmurer que s'il avait grandi en Amérique Latine, il n'aurait même pas pu accéder au poste de haut-fonctionnaire. Sauf dans quelque poussière d'île des Caraïbes! "Todos americanos?" Le Venezuela est toujours sous embargo, depuis bien avant la mort de Chavez. Des milliers de personnes ont manifesté avant-hier contre cet état de fait. D'autre part, si Cuba est considéré comme faisant partie de l'Amérique, alors Haïti et les Antilles aussi. Obama oserait-il appeler à l'indépendance de la Martinique et de la Guadeloupe? Le problème de Cuba est celui d'une dictature. Elle ne disparaîtra pas à coups de visas de tourisme et autres magouilles commerciales qui ne feraient qu'enrichir davantage le régime.Avec Obama, Cuba redeviendrait tout simplement "la pute" des américains, comme du temps de Battista, un autre dictateur.
Addendum: Michelle Obama regardant Carla Sarkozy Bruni, lors d'une fameuse cérémonie de juin 2011:
http://youtu.be/54sQgv14v8
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