En raison du Covid-19, 60.000 étudiants, professeurs mais aussi des personnels de l’université de Zhejiang ont été confinés à la suite d’un cas positif détecté sur place.
«L’enfer, c’est les autres», écrivait Sartre. Surtout si ces «autres» sont au nombre de 60.000 et tous coincés dans un seul et même endroit. C’est le cas des étudiants de l’université de Zhejiang qui, le 25 novembre dernier, ont été confinés sur le campus, rapporte La Croix . Des étudiants mais aussi, des professeurs et le personnel de l’établissement. Ce, à cause d’un cas positif au Covid détecté sur place.
À nos confrères, un professeur raconte: l’université est devenue «un grand village». «J’ai retrouvé une très bonne amie (...) qui est directrice du département des études de thé. Ça fait deux jours que je déguste tous les meilleurs thés de Chine.»
«L’enfer, c’est les autres», écrivait Sartre. Surtout si ces «autres» sont au nombre de 60.000 et tous coincés dans un seul et même endroit. C’est le cas des étudiants de l’université de Zhejiang qui, le 25 novembre dernier, ont été confinés sur le campus, rapporte La Croix . Des étudiants mais aussi, des professeurs et le personnel de l’établissement. Ce, à cause d’un cas positif au Covid détecté sur place.
À nos confrères, un professeur raconte: l’université est devenue «un grand village». «J’ai retrouvé une très bonne amie (...) qui est directrice du département des études de thé. Ça fait deux jours que je déguste tous les meilleurs thés de Chine.»
Les parents viennent déposer des couettes
Confiné mercredi dernier, cet enseignant raconte que l’ensemble de la communauté universitaire a pu faire un test salivaire. «Le test a été négatif comme pour tout le monde. Mais nous allons devoir refaire un test ce vendredi soir, attendre les résultats samedi et nous pourrons peut-être rentrer chez nous.» Chacun s’organise et se fait livrer son repas. Toujours selon ce professeur, interrogé par nos confrères, «la police, les services sanitaires et des dizaines de parents viennent déposer des couettes, des couvertures, du savon, etc. pour leurs enfants mais aussi pour le monde».
Selon nos confrères, le professeur a pu rentrer chez lui après trois jours de confinement après avoir été testé négatif. Ce qui n’est pas encore le cas de centaines d’étudiants qui doivent encore rester en quarantaine 7 jours sur le campus.
Confiné mercredi dernier, cet enseignant raconte que l’ensemble de la communauté universitaire a pu faire un test salivaire. «Le test a été négatif comme pour tout le monde. Mais nous allons devoir refaire un test ce vendredi soir, attendre les résultats samedi et nous pourrons peut-être rentrer chez nous.» Chacun s’organise et se fait livrer son repas. Toujours selon ce professeur, interrogé par nos confrères, «la police, les services sanitaires et des dizaines de parents viennent déposer des couettes, des couvertures, du savon, etc. pour leurs enfants mais aussi pour le monde».
Selon nos confrères, le professeur a pu rentrer chez lui après trois jours de confinement après avoir été testé négatif. Ce qui n’est pas encore le cas de centaines d’étudiants qui doivent encore rester en quarantaine 7 jours sur le campus.
ÉPILOGUE Apres trois jours de confinement et 2e test négatif il est « enfin libre » de rentrer chez lui Mais les milliers d’étudiants et profs qui y vivent sont encore en quarantaine 7 jours sur le campus, cours en ligne La Chine au temps du coronavirus « zéro covid » @LaCroix https://t.co/oTCYOvMAlo
— Dorian Malovic (@dorianmalovic) November 27, 2021
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