L. Dasilva risque gros. Ce Sénégalais établi en Italie a été arrêté jeudi dernier pour le meurtre de sa voisine Pierina Paganelli, 78 ans. Cette dernière a été tuée de 29 coups de couteau la nuit du 3 octobre.
Les Échos, qui donne l’information, rapporte que les premiers éléments de l’enquête poussent à penser que la victime a payé de sa vie d’avoir découvert ou soupçonné que le mis en cause entretenait une relation amoureuse avec sa belle-fille, Manuela Bianchi, mariée à son fils Giuliano Saponi.
L. Dasilva est âgé de 34 ans. Il a servi dans l’Armée sénégalaise avant de se rendre en Italie, selon Les Échos. Il vit avec son épouse, Valeria Bartolucci, au troisième étage d’un immeuble de Via del Ciclamino, en Toscane. Les voisins de palier du couple sénégalo-italien sont Pierina Paganelli, son fils Giuliano Saponi et l’épouse de ce dernier, Manuela Bianchi.
Le Sénégalais a clamé son innocence, jurant que le jour du meurtre il était chez lui avec son épouse. Cette dernière a appuyé l’alibi de son mari. Mais selon Les Échos, la défense du suspect est affaiblie par les témoignages de deux amis de son amante présumée, qui ont confié à la police qu’entre Dasilva et Bianchi l’histoire n’était pas que passagère, et des contradictions dans certaines de ses déclarations à la police.
Dasilva a remis aux enquêteurs des habits qui étaient censés être ceux qu’il portait le jour du meurtre de la septuagénaire. Ce qui se révélera faux car, lors d’une deuxième perquisition à son domicile, la police récupère des chaussures et des vêtements tâchés de sang.
Justification du mis en cause : il s’agissait d’éléments de sa tenue le jour où il a eu un accident de moto, le 2 octobre, veille du meurtre. Le Sénégalais soulignera qu’il s’en est sorti avec une jambe endolorie, raison pour laquelle il boitille.
Malheureusement pour lui, pointe Les Échos, les enquêteurs découvrent une autre faille dans son récit. Les caméras de surveillance d’une pharmacie jouxtant son immeuble a filmé Dasilva en train de regagner celui-ci, sans boiter, et portant les habits qu’il a déclaré n’avoir portés que la veille, jour de son prétendu accident de moto.
Le juge d’instruction, chargé du dossier, a ordonné son placement en détention provisoire dans une prison en attendant les conclusions des enquêteurs.
Les Échos, qui donne l’information, rapporte que les premiers éléments de l’enquête poussent à penser que la victime a payé de sa vie d’avoir découvert ou soupçonné que le mis en cause entretenait une relation amoureuse avec sa belle-fille, Manuela Bianchi, mariée à son fils Giuliano Saponi.
L. Dasilva est âgé de 34 ans. Il a servi dans l’Armée sénégalaise avant de se rendre en Italie, selon Les Échos. Il vit avec son épouse, Valeria Bartolucci, au troisième étage d’un immeuble de Via del Ciclamino, en Toscane. Les voisins de palier du couple sénégalo-italien sont Pierina Paganelli, son fils Giuliano Saponi et l’épouse de ce dernier, Manuela Bianchi.
Le Sénégalais a clamé son innocence, jurant que le jour du meurtre il était chez lui avec son épouse. Cette dernière a appuyé l’alibi de son mari. Mais selon Les Échos, la défense du suspect est affaiblie par les témoignages de deux amis de son amante présumée, qui ont confié à la police qu’entre Dasilva et Bianchi l’histoire n’était pas que passagère, et des contradictions dans certaines de ses déclarations à la police.
Dasilva a remis aux enquêteurs des habits qui étaient censés être ceux qu’il portait le jour du meurtre de la septuagénaire. Ce qui se révélera faux car, lors d’une deuxième perquisition à son domicile, la police récupère des chaussures et des vêtements tâchés de sang.
Justification du mis en cause : il s’agissait d’éléments de sa tenue le jour où il a eu un accident de moto, le 2 octobre, veille du meurtre. Le Sénégalais soulignera qu’il s’en est sorti avec une jambe endolorie, raison pour laquelle il boitille.
Malheureusement pour lui, pointe Les Échos, les enquêteurs découvrent une autre faille dans son récit. Les caméras de surveillance d’une pharmacie jouxtant son immeuble a filmé Dasilva en train de regagner celui-ci, sans boiter, et portant les habits qu’il a déclaré n’avoir portés que la veille, jour de son prétendu accident de moto.
Le juge d’instruction, chargé du dossier, a ordonné son placement en détention provisoire dans une prison en attendant les conclusions des enquêteurs.
15 Commentaires
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En Juillet, 2024 (10:32 AM)Reply_author
En Juillet, 2024 (16:27 PM)Reply_author
En Juillet, 2024 (19:47 PM)Reply_author
En Juillet, 2024 (21:38 PM)Reply_author
En Juillet, 2024 (22:15 PM)Ninki Nanka
En Juillet, 2024 (09:07 AM)Galsenforlife
En Juillet, 2024 (09:30 AM)Reply_author
En Juillet, 2024 (12:33 PM)Reply_author
En Juillet, 2024 (13:39 PM)Deug Rek
En Juillet, 2024 (09:43 AM)Défenseur
En Juillet, 2024 (09:49 AM)Nit Kou Nioul
En Juillet, 2024 (10:15 AM)Ce pays a besoin de citoyens de demain, qui avancent avec le temps et non d’ignorants qui s’attardent sur d s futilités telles que des noms de famille Sénégalaises ou non.
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En Juillet, 2024 (10:28 AM)La désirabilité au plus haut à 34 ans
Kader
En Juillet, 2024 (14:02 PM)Je veux comprendre l'objectif final de cette pratique. Resortir un article d'octobre du journal des Échos me laisse perplexe. Et pour moi c'est purement un acte déstabilisation et de manipulation, venant d'un site sénégalais cela me rend encore plus écoeurée. Prochaine fois, donnez des pistes fiable ou l'on peut vérifier cette information. Par exemple d'un journal italien, ou une note de la police italienne ou bien confirmé par le Bureau des ambassades. Si vous tenez sincèrement à nous balancer ces infos. Le nom de famille n'est important. Vous pouvez appeler Moussa Ndiaye ou Diop et ne pas être sénégalais. Celui qui est sénégalais est celui qui la nationalité sénégalaise, un point tiré.
Je m'adresse aux responsables de ce site, vous ne pouvez pas salir en aucune manière l'image des sénégalais. Nous continuons par la grâce de Dieu de briller partout dans le monde.
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