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Malgré l’absence « d’antécédents judiciaires de même nature », le jeune homme a été incarcéré mais ses motivations restent encore inconnues.
Première conséquence des piratages massifs ces derniers jours. Après avoir été placé en garde à vue jeudi dans les Hauts-de-Seine, un mineur âgé de 17 ans a été mis en examen dans le cadre de l’enquête sur les piratages des plateformes numériques d’établissements scolaires (ENT).
Placé en détention provisoire dans la foulée ce samedi 30 mars, le jeune homme « scolarisé » avait interpellé à Malakoff par l’Office de lutte anti-cybercriminalité (Ofac) après plusieurs menaces d’attentat envoyées contre des établissements scolaires de la région Île-de-France la semaine dernière.
Les motifs de sa mise en examen détaillés par l’AFP sont très nombreux : atteintes à un système automatisé de données à caractère personnel mis en œuvre par l’État commis en bande organisée, menace de mort matérialisée par écrit, image ou autre objet, divulgation d’information fausse afin de faire croire à une destruction dangereuse, usurpation d’identité, apologie du terrorisme au moyen d’un service de communication au public en ligne et refus de remettre aux autorités judiciaires les codes d’accès de son téléphone.
Il « n’avait pas d’antécédents judiciaires de même nature », avait indiqué dès vendredi la procureure de Paris Laure Beccuau, précisant que son parquet centralisait « désormais les attaques de même nature de ces derniers jours au préjudice de tous les ENT » sur l’ensemble du territoire français.
Plus d’informations à venir…
Placé en détention provisoire dans la foulée ce samedi 30 mars, le jeune homme « scolarisé » avait interpellé à Malakoff par l’Office de lutte anti-cybercriminalité (Ofac) après plusieurs menaces d’attentat envoyées contre des établissements scolaires de la région Île-de-France la semaine dernière.
Les motifs de sa mise en examen détaillés par l’AFP sont très nombreux : atteintes à un système automatisé de données à caractère personnel mis en œuvre par l’État commis en bande organisée, menace de mort matérialisée par écrit, image ou autre objet, divulgation d’information fausse afin de faire croire à une destruction dangereuse, usurpation d’identité, apologie du terrorisme au moyen d’un service de communication au public en ligne et refus de remettre aux autorités judiciaires les codes d’accès de son téléphone.
Il « n’avait pas d’antécédents judiciaires de même nature », avait indiqué dès vendredi la procureure de Paris Laure Beccuau, précisant que son parquet centralisait « désormais les attaques de même nature de ces derniers jours au préjudice de tous les ENT » sur l’ensemble du territoire français.
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Respect
En Avril, 2024 (18:54 PM)Participer à la Discussion