En Suède, une enquête a été ouverte à l'encontre d'une directrice d'un centre d'accueil pour demandeurs d'asile. La femme aurait obligé deux mineurs afghans à avoir des rapports sexuels avec elle. En cas de refus, elle les menaçait de les renvoyer en Afghanistan, rapporte le journal suédois Eskilstuna Kuriren. Les mineurs, tous les deux d'origine afghane, affirment avoir été obligés de coucher avec la directrice d'un centre d'accueil pour demandeurs d'asile situé dans la région de Sörmland (au sud de Stockholm).
Cette dernière nie en bloc.
Mais les deux jeunes hommes précisent que leurs ébats sexuels (à cinq reprises) ont eu lieu dans un hôtel ou au domicile de la directrice. Il arrivait même parfois que l'un des deux mineurs soit forcé à filmer la scène. "Nous devions répondre à ses exigences sinon elle nous renvoyait en Afghanistan. À coup sûr, la mort nous attend là-bas, surtout si notre histoire se propage dans notre pays de naissance. Nous serions lapidés à mort", confient les deux hommes âgés de moins de 18 ans dans le journal suédois Eskilstuna Kuriren. "Elle a abusé de notre faiblesse" Les deux mineurs afghans ont essayé de raconter leur histoire aux services sociaux et à la police suédoise.
Personne n'a jamais voulu les croire. Conseillés par un membre de leur famille résidant en Suède, ils se sont ensuite tournés vers la presse locale. "La directrice a abusé de notre faiblesse et nous n'avions nulle part où aller pour demander de l'aide", soulignent-ils. Tout le monde est reconnaissable sur les images Eskilstuna Kuriren s'est procuré les images des rapports sexuels entre la directrice et les deux mineurs afghans.
Selon le journal suédois, tout le monde est facilement reconnaissable sur les images. Entre-temps, les deux Afghans, arrivés en Suède en novembre 2015, ont été transférés dans un autre centre pour demandeurs d'asile. Une enquête a été ouverte.
5 Commentaires
Anonyme1
En Juin, 2016 (10:49 AM)Anonyme
En Juin, 2016 (11:32 AM)Anonyme
En Juin, 2016 (12:04 PM)Anonyme
En Juin, 2016 (13:42 PM)du coup, plus de plaintes de tout ordre, ces réfugiés resteront à la merci de leurs gouvernants et de leurs criminels. POINT Barre ! et iront se plaindre auprès de leurs bourreaux !
Il faut les nourrir, les loger, les soigner gratuitement et voilà le résultat.
ON EN A MARRE DE TOUS CES SOI DISANT REFUGIES ECONOMIQUES
QU'ILS BOSSENT DANS LEUR PAYS D'ORIGINE.
Oustaz
En Juin, 2016 (20:13 PM)Participer à la Discussion