L'administration pénitentiaire australienne se retrouve le rouge au front après l'évasion d'un détenu qui a utilisé ses draps noués pour se faire la belle comme dans un mauvais film hollywoodien.
Stephen Jamieson, qui purgeait une peine de 12 ans de réclusion pour vol à main armée dans la prison de Goulburn, à 200 kilomètres de Sydney, a réussi à reprendre sa liberté mardi.
Le condamné de 28 ans a volé une voiture et sa cavale a duré 10 heures avant que la police, qui a déployé chiens et hélicoptères, ne réussisse à lui remettre la main dessus à une centaine de kilomètres de son point de départ.
Stephen Jamieson, qui purgeait une peine de 12 ans de réclusion pour vol à main armée dans la prison de Goulburn, à 200 kilomètres de Sydney, a réussi à reprendre sa liberté mardi.
Le condamné de 28 ans a volé une voiture et sa cavale a duré 10 heures avant que la police, qui a déployé chiens et hélicoptères, ne réussisse à lui remettre la main dessus à une centaine de kilomètres de son point de départ.
Peter Severin, responsable de l'administration pénitentiaire de l'État de Nouvelle-Galles du Sud, a reconnu que cette évasion n'aurait "jamais dû se produire". Mais, a-t-il assuré, "la réponse de la police de Nouvelle-Galles du Sud fut immédiate et globale".
Le détenu s'est échappé après avoir découpé une barrière en métal à l'arrière d'une cour en principe sécurisée destinée à la pratique du sport. "Il a réussi à sortir de la cour et il avait des draps qu'il a attachés ensemble avant de les balancer par dessus un mur, ce qui lui a permis de l'escalader et de s'échapper", a expliqué le représentant de l'administration pénitentiaire.
"Il semblerait qu'il ait eu également un oreiller (attaché) autour de la taille, ce qui lui a permis de franchir sans encombre des barbelés", a-t-il encore dit. Stephen Jamieson comparaîtra mercredi pour évasion devant un tribunal de Goulburn.
Le détenu s'est échappé après avoir découpé une barrière en métal à l'arrière d'une cour en principe sécurisée destinée à la pratique du sport. "Il a réussi à sortir de la cour et il avait des draps qu'il a attachés ensemble avant de les balancer par dessus un mur, ce qui lui a permis de l'escalader et de s'échapper", a expliqué le représentant de l'administration pénitentiaire.
"Il semblerait qu'il ait eu également un oreiller (attaché) autour de la taille, ce qui lui a permis de franchir sans encombre des barbelés", a-t-il encore dit. Stephen Jamieson comparaîtra mercredi pour évasion devant un tribunal de Goulburn.
3 Commentaires
Anonyme
En Août, 2015 (11:16 AM)Anonyme
En Août, 2015 (11:18 AM)Anonyme
En Août, 2015 (11:49 AM)Participer à la Discussion