La journaliste de la BBC, qui a révélé le scandale Petro-Tim ne déférera pas à la convocation du procureur de la République, Serigne Bassirou Guèye. "Mayeni Jones, n'est ni inculpée, ni accusée et son pays, le Nigéria, ne l'extraderait jamais, même si le Sénégal en formulait la demande", rapporte Source A, qui a contacté la BBC.
"Si Papa Massata Diack, qui est inculpé en France depuis très longtemps, n'est pas encore extradé par Dakar, Abuja ne tordra guère le bras à sa citoyenne pour la contraindre à venir répondre à la justice sénégalaise", confie-t-on du côté de la BBC. En clair, le Nigéria n'accédera jamais à une demande d'extradition de Dakar dans cette affaire.
35 Commentaires
Yeet
En Juin, 2019 (09:28 AM)Sall
En Juin, 2019 (10:04 AM)Nianthio
En Juin, 2019 (10:06 AM)Ndeyssaan 95% des sénégalais sont incapables de commenter un document pour en déceler des failles.
C'est au Sénégal qu'un ancien coxeur de surcroit agresseur a tenu en haleine le pays avec ces vidéos mensongères et ces 95% en ont cru.
Rarement tu n'entendra des sénégalais intervenir dans des débats d'idées comme les émissions telles que "Appels sur l'actualité" sur RFI mais non c'est des émissions de délires telles "waa sa khalat",...... Nous sommes trecen retard et aucune discipline dans nos propos.
Deugeu
En Juin, 2019 (10:08 AM)Dommage que vous Sénégalais ne comprenez rien de toute cette géopolitique international.
les anglais en veulent au Sénégal, suivez mon regard et les avertis verront.
Lebaolbaol Tigui
En Juin, 2019 (10:17 AM)Soigneur De Fous
En Juin, 2019 (10:50 AM)Niani Bagnna
En Juin, 2019 (10:59 AM)QUI SONT LES ACTIONNAIRES DE LA SETER, SOCIÉTÉ DE GESTION DU TER? POURQUOI UN GROUPE DE PERSONNES DEVRAIT T'IL TIRER DES PROFITS D'UN INVESTISSEMENT RÉALISÉ PAR l'ENSEMBLE DES SÉNÉGALAIS SANS RIEN INVESTIR?
Dialogue National
En Juin, 2019 (12:35 PM)Senegalus
En Juin, 2019 (12:43 PM)VOUS PARLEZ D'EXTRADITION COMME SI MAYENI A TET DEJA INCULPEE ET CONDAMNEE PAR LA L'INJUSTICE SENEGALAISE
QUI ACTUELLEMENT A HONTE DE SON PIETRE EXISTENCE
CROIRE QUE CETTE JOURNALISTE REPONDRA A CETTE MASCARADE ORGANISEE PAR LE PROCUREUR DES TRAITRES EST UNE PURE MASTURBATION INTELLECTUELLE
Nbnb
En Juin, 2019 (13:17 PM)bbc mais mon problème c'est les responsables du Ministère de la
communication l'ambassade du Sénégal au Nigéria avant de donner le visa
à cette gouine de journaliste est--ce-- que le consul a chercher a savoir ce cette sale fille
venait faire au Sénégal dans quel cadre ? Cette fille arrive au Sénégal avec une petite
Caméra faire une enquête pendant un an au Sénégal sans être inquiétée aucun responsable
du Ministère de la Communication ne s'est pas rendu compte il y a problème ça veut dire qu'il y a
un laissé aller total au niveau des services de l'Etat et portant ils ont les moyens pour faire bien leurs missions
des voitures à leurs disposition carburant rien ne manque prenez la baisse de la location la location est devenue
très chère en ce moment au Sénégal de ce côté aussi aucun suivi pourtant ils ont les moyens pour faire leurs
mission mais rien c'est le résultat de la négligence cette gouine débarque au Sénégal en voulant
déstabiliser notre pays sans pour autant aucune autorité b'est au courant de rien si chacun
faisant bien son travail cette affaire ne serait pas aujourd'hui là avec l'aide des quatre
maudits traîtres abdou m'baye, ousmane sonko, mamadou lamine diallo, thierno alassane sall mais peine
perdue d'avance pour eux
Nit
En Juin, 2019 (13:59 PM)Le ex-président soudanais Omar Al-Bachir a été déféré au parquet
Destitué par l’armée le 11 avril sous la pression de la rue, l’ancien chef de l’Etat est notamment accusé de « possession de devises étrangères et de corruption ».
Xalasse
En Juin, 2019 (15:38 PM)Non ! Et que mettrait Monsieur le Procureur comme objet de sa convocation ! Les sénégalais visés par le Procureur doivent se constituer une solide équipe d'Avocats, y compris des Avocats britanniques et américains (y compris des journalistes spécialisés dans les contrats pétroliers)!
Ils faut qu'ils aillent à la DIC avec au moins un AVOCAT : ne faîtes surtout pas comme Clédor l'autre jour ! Ne donnez pas des ORIGINAUX à la DIC !
Ndiaye
En Juin, 2019 (16:02 PM)Cette journaliste qui est de nationalité nigérianne n a pas besoin de visa pour le Sénégal car étant ressortissante d un pays membre de la CEDEAO. Si tu ne le sais pas inutile d intervenir dans ce forum car meme les enfants savent que dans l espace CEDEAO c est la libre circulation des personnes et des biens. Tu dois etre limité intellectuellement.
JOURNALISTE DE PACOTILLE: ELLE N'A QU'À RETOURNER FAIRE LA PRESSE PEOPLE À LAGOS
Comprenez une chose c'est Timis ou un autre , un senegalais ne peut s'occuper d'exploration de gisements de petrole ou de gaz.
L'africain passe tout son temps sur la religion, les autres qui ont la technologie viendront toujours nous aider a l'exploiter moyennant ses conditions de paiements.
Pourquoi nos marabouts qui peuvent faire echouer un president americain n'ont peuvent-ils pas explorer et exploter les gisements avec leurs wirds??? rires
Senegalus
En Juin, 2019 (16:59 PM)ICI AU SENEGAL DANS CE PAYS DE MERDE DE TROU DE CUL AVEC UNE INJUSTICE MANIFESTE DE LA JUSTICE QUI OSONS LE DIRE A TELLEMENT HONTE QU'ELLE FAIT APPEL A DETOURNEUR DE RAPPORTS I G E
SOYONS UN PEU SERIEUX LES GARS
NOTRE SOIT-DISANT JUSTICE N'A DE LECON A DONNER A QUICONQUE CAR AYANT RATE SA VOCATION NOTAMENT JUGER JUSTE ET VRAI
PAYS DE MERDE TOTALEMENT SEULS LES IMBECILES ACCORDENT DU CREDIT AU HESITATIONS ET BEGAYEMENT DU PROCUREUR DE ALIOU PETROGAZ SALL
PAYS DE MERDE
Ndeyssane
En Juin, 2019 (17:00 PM)Si MR SALL estime qu 'il est diffamé dans ce reportage , je crois savoir que le meilleur avocat du senegal (MAITRE DIOUF) doit savoir que document à l'appui , il peut demander un droit de reponse que la bbcne peut pas lui refuser .
Donc tout ce tintamare est destiné au pauvre sengalais qui ne comprend rien
On t 'accuse d'avoir volé , spolié le peuple senegalais avec des documents comme preuve soit disant faux, presente les bons documents et repond point par point à l'enquete de la bbc
Je crois que aliou sall a marabouté son frere , et je ssuis serieux, Macky ne peut pas ignorer que ce gamin est une plaie dans sa famille :avide , revanchard ,bete
vous voyez , il y a quelques temps on disait qu'entre lui et la premiere dame , ce n'est pas le grand amour , personne n'a entendu marieme depuis ces revelations , car elle a vait dit à macky de se mefier de celui la :
Au senegal , de peur qu'on vous dise de privilegier sa famille (femme et enfants), on accepte parfois n'importe quoi de sa famille d'origine , il faut assumer
Macky a eté abusé par son frere et il le sait mais refuse d'tre le dindon de cette farce;
qUAND J ENTENDS CETTE BAUDRUCHE ,parler de depense pour nourrir sa famille S IL DEMISSIONE de ses fonctions etatiques , il se moque de qui?
Cela fait 3 ans que Des sénégalais pure souche ont tiré la sonnette d'alarme sur tous ces scandales à plusieurs milliards (Pétrole, TER, Coud, Prodac, impôts et domaines, building administratif etc) mais Macky, ses zouaves et ses juges corrompus narguent le peuple et refusent d’ouvrir des enquêtes.
Et voilà la héroïne Mayéni sortie de néant qui vient remuer la “ mairde” jusqu’à ce qu’elle monte en haut et éclabousse toute la mafia Faye-Sale.
Et maintenant ce zigoto et rigolo “Proki-rére” veut convoquer cette brave Dame qui n’a franchement pas que ça à foutre.
Bien fait pour vos gu*ules et la prochaine fois, répondez aux questions et aux interpellations du peuple car sinon on fera encore appel à Mayéni et elle viendra encore remuer la “mairde” qui éclaboussera encore sur la mafia de Don Macky and family !!!!
Doulrek
En Juin, 2019 (07:10 AM)Yero Diallo
En Juin, 2019 (12:12 PM)Omar
En Juin, 2019 (19:09 PM)On dit que l’Afrique dispose de très importantes réserves de pétrole et de gaz. Certains avancent même que les nouveaux champs gaziers mis à jour récemment vont repositionner le continent sur la carte de la fourniture énergétique mondiale. C’est excessif, tempère Jean-Pierre Favennec. Le président de l’Association pour le développement de l’énergie en Afrique s’est confié à Géopolis.
Une plateforme de production pétrolière et gazière à Amenam, dans le Delta du Niger au Nigeria. Le pays a été classé premier producteur africain de pétrole en 2017 devant l'Angola. Avec 1,6 million de barils par jour.
Une plateforme de production pétrolière et gazière à Amenam, dans le Delta du Niger au Nigeria. Le pays a été classé premier producteur africain de pétrole en 2017 devant l'Angola. Avec 1,6 million de barils par jour. (Photo AFP/Pius Utomi Ekpei)
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Martin Mateso
Rédaction AfriqueFrance Télévisions
Mis à jour le 23/02/2018 | 15:40
publié le 22/02/2018 | 17:21
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De l’Algérie au Mozambique en passant par le Nigeria, l’Angola, le Sénégal et la Mauritanie, les réserves de pétrole et de gaz naturel sont importantes, reconnaît Jean-Pierre Favennec, consultant et spécialiste des questions pétrolières et énergétiques. Mais pour lui, le poids de l’Afrique reste relativement limité sur le plan mondial.
«L’Afrique pèse seulement 10% des réserves mondiales de pétrole et environ 7 à 8% des réserves de gaz dans le monde. Il est vrai que récemment on a fait pas mal de découvertes de pétrole et de gaz, mais l’Afrique n’est pas un nouveau Moyen-Orient», tempère-t-il.
Une production pétrolière stationnaire
Selon certains économistes, la production de pétrole africain a déjà atteint son apogée. Soit près de 8,5 millions de barils par jour. Ils prévoient même une légère baisse qui pourrait intervenir à l’horizon 2035.
«Le pétrole en Afrique concerne essentiellement l’Algérie et la Libye au Nord, et l’Egypte pour une moindre mesure. Quant à l’Afrique subsaharienne, les deux gros producteurs de pétrole, c’est d’une part le Nigeria et d’autre part l’Angola. La production de pétrole du Nigeria et de l’Angola s’élève à deux millions de barils par jour pour chaque pays. Soit au total, environ 4% de la production mondiale», explique Jean-Pierre Favennec à Géopolis Afrique.
Quant aux autres pays producteurs africains, il note que leurs productions restent limitées.
«La production du Ghana est montée récemment à 300.000 barils par jour. Et vous avez traditionnellement des pays comme le Gabon, le Congo Brazzaville et la Guinée Equatoriale qui produisent entre 200.000 et 300.000 barils par jour. Ce sont des productions pétrolières qui existent depuis longtemps, qui se maintiennent et qui devraient rester au même niveau à mon avis.»
Des enjeux importants autour du gaz naturel liquéfié
En 2015, Jean-Pierre Favennec avait été impressionné par les découvertes de gaz naturel dans le canal du Mozambique. Il estimait à l’époque que le Mozambique et la Tanzanie allaient, à eux seuls, peser l’équivalent du Qatar en termes de gaz naturel liquéfié. Il a depuis revu ses estimations à la baisse.
«Actuellement, le Qatar produit à peu près 80 millions de tonnes de gaz naturel liquéfié par an. Le Nigeria doit être entre 20 et 25 millions de tonnes. Les projets qui sont envisagés, que ce soit au Mozambique, au Sénégal ou en Mauritanie, sont de l’ordre de 5 millions de tonnes au maximum. Donc on n’est pas sur les mêmes ordres de grandeur. Maintenant, il est clair que pour ces pays, ce sont des enjeux importants», précise-t-il.
Sur le continent, quatre principaux projets de liquéfaction de gaz naturel sont en activité, notamment au Nigeria, en Algérie, en Angola et en Guinée Equatoriale. Des unités qui vont se multiplier avec les découvertes récentes de champs gaziers un peu partout.
Le Gaz naturel va-il changer la donne et prendre la relève du pétrole africain dans les prochaines années? Jean-Pierre Favennec pense qu'il faut rester prudent.
«Actuellement, il y a surproduction de gaz dans le monde. Le prix du gaz est relativement bas. Autant les exportations de pétrole ont apporté beaucoup de richesses, autant l’exportation du gaz ne rapporte pas la même quantité d’argent. Le rapport de richesses que peut amener le gaz n’est pas le même. Tout simplement parce que le pétrole est liquide est se transporte facilement à un coup très bas. Alors que le transport du gaz coûte excessivement cher.»
Le gaz naturel pour l'électrification de l'Afrique
Mais si le gaz naturel ne fera pas de miracles à court terme, explique Jean-Pierre Favennec, il peut constituer un atout incontestable qui pourrait changer la donne dans le secteur-clé de l’électrification de l’Afrique.
«Le gaz est un produit idéal pour produire l’électricité. C’est moins cher et moins polluant que le charbon et le pétrole. A partir des réserves soit du Mozambique, soit de la Tanzanie, du Sénégal ou de la Mauritanie. Ou tout simplement de pays comme le Nigeria ou le Ghana, qui a commencé à produire pas mal de gaz, on peut faire beaucoup d’électricité qui pourrait être utilisée pour l’ensemble du continent.»
De quoi rassurer ceux qui s’inquiètent du déficit criant en énergie électrique qui paralyse l’activité économique dans de nombreux pays subsahariens.
Nono Ndeh
En Juin, 2019 (15:50 PM)Africa
En Juin, 2019 (00:01 AM)Participer à la Discussion