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Justice

L’an 1 de l’arrestation d‘Habré : Quel sort pour le président Tchadien ?

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L’an 1 de l’arrestation d‘Habré : Quel sort pour le président Tchadien ?
Aujourd’hui 2 juillet 2014, il fera exactement un an jour pour jour qu’Hissène Habré, l’ancien président tchadien réfugié au Sénégal, a été inculpé dans le cadre de son procès. Il avait été alors placé sous mandat de dépôt pour «crimes contre l’humanité, crimes de tortures et crimes de guerre et placé en détention provisoire».

Selon la Raddho qui a tenu à marquer l’évènement, ««depuis lors, environ 2700 victimes se sont constituées parties civiles au Tchad et au Sénégal. Elle souligne en outre qu’«un an après l’inculpation de Monsieur Hissène Habré, quatre(4) commissions rogatoires internationales sont effectuées sans que le Procureur boucle son enquête. Le Tchad hésite toujours à remettre aux Chambres africaines extraordinaires deux co-inculpés de Habré détenus au Tchad».


Selon Mouhamadou Mbodj qui s’exprimait dans le journal  Populaire «le jugement d’Hissène Habré constitue un précédent d’une importance cruciale pour l’Afrique. Il est appelé à édifier sur le fait que les crimes et abus commis, dans l’exercice du pouvoir, ne seront plus couverts par l’impunité».

Ces droits-de-l’hommistes ne finissent pas sans dire : «Dans le combat qu’elles mènent pour une instruction efficace, exhaustive et respectueuse des droits de toutes les parties et pour la tenue d’un procès juste et équitable, les victimes bénéficient du soutien de la Rencontre africaine pour la défense des Droits de l’homme, l’Association tchadienne pour la promotion des Droits de l’homme, la Ligue sénégalaise des Droits de l’homme et Human Rights Watch.


14 Commentaires

  1. Auteur

    Wakh Te Deeeeeee

    En Juillet, 2014 (10:34 AM)
    pensez a donner plus de moyens a l'administration penitentiaire qui gere tous ces malfrats qui constituent un danger public et que les droits de l'hommiste laissent les agents faire leur travail correctement et conformement aux lois et reglements en vigeurs imaginez un bandit qui n'exite pas a oter la vie a quelqu'il on le met en prison il est loge, nourri, soigne et surveille comme un chef de l'etat un poste televiseur a cote des ventilos partout est ce que cette personne vas se repentir a sa sorti moi je crois que non cela ne fait qu'augmenter le banditisme puisque la prison est devenu un hotel vraiment les autorites doivent y reflechir  :sn: 
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  2. Auteur

    L'art Et La Manière

    En Juillet, 2014 (10:41 AM)
    dans les républiques bananières, seuls les dictateurs et les criminels sont exemptés de jugement.
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    Auteur

    Diang

    En Juillet, 2014 (12:09 PM)
    LA JUSTICE INTERNATIONALE ET LES DROITS DE L HOMMISTES N'ONT ILS RIEN PREVU POUR LES MENTEURS DU SIECLE QUI ONT LIQUIDE SADDAM HUSSEIN TUE KHADDAFFI ET MAINTENU BACHAR AU POUVOIR.SANS COMPTER LE COUP D'ETAT CONTRE MORSI ET LE VOL DES DIZAINES DE MILLIARDS DU DESERT ENTRE LE MALI ET LE NIGER.MALHEUR A NOS PAUVRES INTELLECTUELS QUI SONT A LA SOLDE DE L'OCCIDENT NEO COLONIALISTE ET VOLEUR.

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    Auteur

    Diang

    En Juillet, 2014 (13:04 PM)
    O GENDARMES DU MONDE QU'AVEZ VOUS PREVU POUR LES MENTEURS DU SIECLE QUI ONT LIQUIDE SADDAM TUE KHADDAFI ET MAINTENU BACHAR?DROITS DE L'HOMMISTE POURQUOI PERSONNE NE VOUS ENTEND SUR GUANTANAMO ENCORE MOINS SUR L'ILE DE CHAGO.BON DIEU SOYEZ DIGNES ET ARRETEZ D'ENCOURAGER LE NEO COLONIALISME ET L'INJUSTICE PLANETAIRE
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    Auteur

    Tchadien

    En Juillet, 2014 (13:05 PM)
    Depuis l'indépendance les présidents tchadiens sont:

    NGARTA TOUMBALBAYE

    FLEXIM MALLOUM

    GOUKOUNI OUEDDEÏ

    HISSENE HABRE

    IDRISS DEBY ITNO

    Ces hommes d'état tchadien ont un trait commun, sont tous des grands compatriotes, ils ont fait du Tchad ce qu'il est: l'unité nationale, l'intégrité territoriale sont conservée malgré pendant plus de 50 ans de guerre fratricide et contre les ennemies extérieurs.

    Pour tous les morts tchadiens pendant ces périodes douloureuses la justice doit être rendu en déterminant les responsabilités extérieures et intérieures, il faut pas oublier une partie du Tchad a été occupé et la guerre lui a été imposée par les voisins et par des tiers à l'international.

    que pensez vous du massacre en directe en Afrique du Sud des mineurs par la police sud africain?

    je demande aux associations de la société civile de traduire le PR Sud africain à la justice au moins cette tuerie est vu par tout le monde.

    laisser DEBY tranquille il fait un bon travail de soldat économique au Tchad et libérez Habré et poursuivez directement les auteurs présumés des génocides au Tchad
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    Auteur

    Awa

    En Juillet, 2014 (13:12 PM)
    quel article bidon. hisséne habré s'est réfugié au senegal depius 1990.il faut bien vérifié
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    Auteur

    Enessam

    En Juillet, 2014 (17:00 PM)
    L’ex-Président tchadien avait été attrait, courant Janvier 2000, devant les juridictions sénégalaises par un groupe d’individus et l’association des victimes de crimes et répression politique survenus au Tchad entre Juin 1982 et Décembre 1990. Ces plaignants, tous ressortissants tchadiens avaient déposé une plainte avec constitution de partie civile auprès du juge d’instruction contre X et Hissène HABRÉ pour tortures, peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants dont ils auraient été victimes dans les années ci-avant rappelées, période durant laquelle Mr Hissène HABRÉ exerçât les fonctions de Chef de l’Etat tchadien.



    Habré avait été inculpé, le 03 Février 2000, de complicité de crimes contre l’humanité, d’actes de torture et de barbarie et avait été placé en résidence surveillée. Faisant suite au recours introduit le 18 Février 2000 par ses avocats – Maître Madické NIANG & Consorts – aux fins d’annulation de la procédure pour incompétence des juridictions sénégalaises, défaut de base légale et prescription de l’action publique, la Chambre d’accusation de la Cour d’appel de Dakar rendit, le 04 Juillet 2000, un arrêt déclarant recevable sur la forme la requête d’HABRÉ et annulant au fond le PV d’inculpation et la procédure subséquente pour incompétence du juge saisi.



    Le ballet judiciaire se déplaçât devant la Cour de Cassation. Ainsi, après avoir examen l’ensemble des moyens de cassation à l’appui du pourvoi introduit par Maître Boucounta DIALLO, Avocat des plaignants, la juridiction d’exception estimant ces moyens non fondés et/ou ne pouvant être admis ou accueillis, rendit son verdict par un Arrêt N° 14 du 20 Mars 2001. Ainsi, les trois Sages, avaient purement et simplement rejeté le pourvoi formé par les plaignants contre l’arrêt du 04 Juillet 2000 rendu par la Chambre d’accusation de Dakar.



    Il y eut plein de rebondissements et une bataille judiciaire super médiatisée qui finit par déborder pour occuper l’espace politique mettant sous les projecteurs une question aujourd’hui cruciale pour toutes les démocraties : l’affaire HABRÉ installait un malaise et démontrait – à suffisance – le caractère équivoque, ambivalent des relations entre le pouvoir judiciaire et le pouvoir politique. Egalement et surtout, elle soulevait de nombreux questionnements. Autant, elle mettait en exergue une certaine tiédeur du juge à plier l’Etat au respect de la norme internationale à laquelle il a souscrit ; autant elle mettait en évidence les influences extérieures que nos Etats subissaient à travers les engagements internationaux souscrits.



    En tout état de cause, en 2007, l’Assemblée nationale votât une loi déclarant les tribunaux sénégalais compétents pour juger l’ancien chef d’Etat tchadien Hissène HABRÉ, hôte du Sénégal et vivant à Dakar depuis 1990, date de son éviction du pouvoir par Idriss DÉBY, actuel Président du Tchad.

    Je me garderai bien d’une critique quelconque de cette supposée frilosité du juge percevant cet espace de l’application et de l’applicabilité du droit international comme sensible ; j’observerai la même réserve face à cette forme d’assujettissement de nos gouvernants aux diktats des lobbies et des puissances dites impérialistes.



    Il n’en demeure pas moins que le « Cas HABRÉ » est, LÉGITIMEMENT, à considérer – au même titre – que les nombreux autres cas de crimes supposés commis contre l’humanité perpétrés sur la planète et où l’impunité aura été la règle appliquée et l’« acharnement » judiciaire, l’exception venant confirmer cette règle. La guerre ayant, aujourd’hui, conduit à la destruction progressive de l’Irak porterait à privilégier une telle option : de véritables "criminels" sont, en effet, en liberté (suivez mon regard) de l’autre coté de l’Atlantique. Plus proche de nous, le peuple malien a souffert de la tyrannie de dirigeants qui bénéficient, eux aussi, d’une totale impunité.

    Hélas, il est une évidence que la politique et l'hypocrisie viennent, souvent, déconstruire tous les repères. Aujourd’hui, si des pressions outrancières exercées sur l’Etat du Sénégal par certaines puissances néocolonialistes dans le traitement de cette « affaire HABRÉ » sont avérées, il y’a bien de quoi s’offusquer et s’indigner de l’outrage infligé aux valeurs de civilisation fondatrices de cette nation : une terre d’accueil fière de son ouverture et de sa diversité, mais, devant demeurer SOUVERAINE !



    Dans l’exercice de cette souveraineté, une cause – quelques puissent être ses implications, connexions ou ramifications – ne saurait être tributaire du bon vouloir d’une puissance ou d’un quelconque lobby et entraîner son réexamen à l’infini. Le fut-il même pour donner un semblant de gouvernance vertueuse et/ou pour étayer une subordination excessivement ridicule aux desiderata de prétendus « bailleurs de fonds » donnant plutôt à bail une souveraineté quasiment sous contrôle !

    Comme disait Jean-Marie Le Pen : « Un peuple sans souveraineté est non seulement un peuple privé de liberté, mais un peuple menacé dans son existence».



    Nos Etats devraient pouvoir s’affranchir DÉFINITIVEMENT de ces liens qui les maintiennent comme « otages » des grandes puissances – ces forces maléfiques – et de leurs diktats. Nos dirigeants ont aussi et surtout la responsabilité de rompre avec des siècles de domination, de vassalisation et de pressurisation à outrance ! Autrement nos indépendances resteraient, tristement, des leurres !

    Nous avons l’obligation de méditer la pensée de Jean-Paul II :« Veillez par tous les moyens sur cette souveraineté fondamentale que possède chaque nation en vertu de sa propre culture. Protégez-la comme la prunelle de vos yeux pour l'avenir de la grande famille humaine ».



    Au nom de cette souveraineté et au nom de cette solidarité, nous avons le devoir de protéger nos fils ! En tout état de cause et comme disait l’autre : « La jeunesse africaine ne doit ni baisser les bras, ni se désintéresser du sort des pays africains et des valeureux fils du continent noir ; au contraire, elle doit se mobiliser et faire entendre sa voix, face à l’impérialisme et au néo-colonialisme ! »



    Nous ne pourrions accepter une justice "aveugle" pour Habré, au nom de la « Françafrique » !

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    Auteur

    Chimer

    En Juillet, 2014 (17:19 PM)
    Le ballet judiciaire se déplaçât devant la Cour de Cassation. Ainsi, après avoir examen l’ensemble des moyens de cassation à l’appui du pourvoi introduit par Maître Boucounta DIALLO, Avocat des plaignants, la juridiction d’exception estimant ces moyens non fondés et/ou ne pouvant être admis ou accueillis, rendit son verdict par un Arrêt N° 14 du 20 Mars 2001. Ainsi, les trois Sages, avaient purement et simplement rejeté le pourvoi formé par les plaignants contre l’arrêt du 04 Juillet 2000 rendu par la Chambre d’accusation de Dakar.



    Il y eut plein de rebondissements et une bataille judiciaire super médiatisée qui finit par déborder pour occuper l’espace politique mettant sous les projecteurs une question aujourd’hui cruciale pour toutes les démocraties : l’affaire HABRÉ installait un malaise et démontrait – à suffisance – le caractère équivoque, ambivalent des relations entre le pouvoir judiciaire et le pouvoir politique. Egalement et surtout, elle soulevait de nombreux questionnements. Autant, elle mettait en exergue une certaine tiédeur du juge à plier l’Etat au respect de la norme internationale à laquelle il a souscrit ; autant elle mettait en évidence les influences extérieures que nos Etats subissaient à travers les engagements internationaux souscrits.



    En tout état de cause, en 2007, l’Assemblée nationale votât une loi déclarant les tribunaux sénégalais compétents pour juger l’ancien chef d’Etat tchadien Hissène HABRÉ, hôte du Sénégal et vivant à Dakar depuis 1990, date de son éviction du pouvoir par Idriss DÉBY, actuel Président du Tchad.

    Je me garderai bien d’une critique quelconque de cette supposée frilosité du juge percevant cet espace de l’application et de l’applicabilité du droit international comme sensible ; j’observerai la même réserve face à cette forme d’assujettissement de nos gouvernants aux diktats des lobbies et des puissances dites impérialistes.

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    Auteur

    Enessam Chimer

    En Juillet, 2014 (17:23 PM)
    En tout état de cause, en 2007, l’Assemblée nationale votât une loi déclarant les tribunaux sénégalais compétents pour juger l’ancien chef d’Etat tchadien Hissène HABRÉ, hôte du Sénégal et vivant à Dakar depuis 1990, date de son éviction du pouvoir par Idriss DÉBY, actuel Président du Tchad.

    Je me garderai bien d’une critique quelconque de cette supposée frilosité du juge percevant cet espace de l’application et de l’applicabilité du droit international comme sensible ; j’observerai la même réserve face à cette forme d’assujettissement de nos gouvernants aux diktats des lobbies et des puissances dites impérialistes.

    Il n’en demeure pas moins que le « Cas HABRÉ » est, LÉGITIMEMENT, à considérer – au même titre – que les nombreux autres cas de crimes supposés commis contre l’humanité perpétrés sur la planète et où l’impunité aura été la règle appliquée et l’« acharnement » judiciaire, l’exception venant confirmer cette règle. La guerre ayant, aujourd’hui, conduit à la destruction progressive de l’Irak porterait à privilégier une telle option : de véritables "criminels" sont, en effet, en liberté (suivez mon regard) de l’autre coté de l’Atlantique. Plus proche de nous, le peuple malien a souffert de la tyrannie de dirigeants qui bénéficient, eux aussi, d’une totale impunité.

    Hélas, il est une évidence que la politique et l'hypocrisie viennent, souvent, déconstruire tous les repères. Aujourd’hui, si des pressions outrancières exercées sur l’Etat du Sénégal par certaines puissances néocolonialistes dans le traitement de cette « affaire HABRÉ » sont avérées, il y’a bien de quoi s’offusquer et s’indigner de l’outrage infligé aux valeurs de civilisation fondatrices de cette nation : une terre d’accueil fière de son ouverture et de sa diversité, mais, devant demeurer SOUVERAINE !

    Dans l’exercice de cette souveraineté, une cause – quelques puissent être ses implications, connexions ou ramifications – ne saurait être tributaire du bon vouloir d’une puissance ou d’un quelconque lobby et entraîner son réexamen à l’infini. Le fut-il même pour donner un semblant de gouvernance vertueuse et/ou pour étayer une subordination excessivement ridicule aux desiderata de prétendus « bailleurs de fonds » donnant plutôt à bail une souveraineté quasiment sous contrôle !

    Comme disait Jean-Marie Le Pen : « Un peuple sans souveraineté est non seulement un peuple privé de liberté, mais un peuple menacé dans son existence».

    Nos Etats devraient pouvoir s’affranchir DÉFINITIVEMENT de ces liens qui les maintiennent comme « otages » des grandes puissances – ces forces maléfiques – et de leurs diktats. Nos dirigeants ont aussi et surtout la responsabilité de rompre avec des siècles de domination, de vassalisation et de pressurisation à outrance ! Autrement nos indépendances resteraient, tristement, des leurres !

    Nous avons l’obligation de méditer la pensée de Jean-Paul II :« Veillez par tous les moyens sur cette souveraineté fondamentale que possède chaque nation en vertu de sa propre culture. Protégez-la comme la prunelle de vos yeux pour l'avenir de la grande famille humaine ».

    Au nom de cette souveraineté et au nom de cette solidarité, nous avons le devoir de protéger nos fils ! En tout état de cause et comme disait l’autre : « La jeunesse africaine ne doit ni baisser les bras, ni se désintéresser du sort des pays africains et des valeureux fils du continent noir ; au contraire, elle doit se mobiliser et faire entendre sa voix, face à l’impérialisme et au néo-colonialisme ! »

    Nous ne pourrions accepter une justice "aveugle" pour Habré, au nom de la « Françafrique » !

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    Auteur

    Papi

    En Juillet, 2014 (17:26 PM)
    C'est avec cette arrestation que j'avais su que Mimi Toure ne comprenait pas la politique.C'est elle qui a fait un deal avec Reed Brody et elle a en retour induit Macky Sall dans l'erreur.

    Habre ne doit pas rester en prison un seul jour de plus.Nous qui étions au Chad dans les forces d'interventions et qi avons vu Habre a l'oeuvre savons qu'il n'a pas sa place en prison.

    C'est un combattant de haut rang et un Intellectuel africain de haute facture.Mimi Toure est une petite bourgeoise des villes et ne sait rien et ne comprend rien de l'histoire politique de l'Afrique.La preuve, elle est complètement coupe des réalités socio-politiques,sinon elle n'aurait pas défier Khalifa Sall au moment ou tous les Dakarois saluaient le travail que ce dernier avait abattu.
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    Auteur

    Enessam

    En Juillet, 2014 (17:26 PM)
    Hélas, il est une évidence que la politique et l'hypocrisie viennent, souvent, déconstruire tous les repères. Aujourd’hui, si des pressions outrancières exercées sur l’Etat du Sénégal par certaines puissances néocolonialistes dans le traitement de cette « affaire HABRÉ » sont avérées, il y’a bien de quoi s’offusquer et s’indigner de l’outrage infligé aux valeurs de civilisation fondatrices de cette nation : une terre d’accueil fière de son ouverture et de sa diversité, mais, devant demeurer SOUVERAINE !

    Dans l’exercice de cette souveraineté, une cause – quelques puissent être ses implications, connexions ou ramifications – ne saurait être tributaire du bon vouloir d’une puissance ou d’un quelconque lobby et entraîner son réexamen à l’infini. Le fut-il même pour donner un semblant de gouvernance vertueuse et/ou pour étayer une subordination excessivement ridicule aux desiderata de prétendus « bailleurs de fonds » donnant plutôt à bail une souveraineté quasiment sous contrôle !

    Comme disait Jean-Marie Le Pen : « Un peuple sans souveraineté est non seulement un peuple privé de liberté, mais un peuple menacé dans son existence».

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    Auteur

    Tchadien

    En Juillet, 2014 (17:27 PM)
    Un an après ton arrestation, ceux qui complotaient contre toi, ont été laminés aux élections locales. Ils se nomment : Mimi Touré, Sidiki Kaba et j'en passe. Au Tchad, contrairement à ce qu'affirme le SG de la Raddho, aucune enquête n'a été menée. Il est cependant vrai que Habré a été arrêté avant que les juges ne soient partis au Tchad chercher des plaintes. Voilà pourquoi j'ai Honte pour la justice sénégalaise. Heureusement qu'il y a toujours des Djambars qui sont telles des sentinelles, toujours prêts pour recadrer les choses. Vive Habré !
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    Auteur

    Chimer

    En Juillet, 2014 (17:30 PM)
    Comme disait Jean-Marie Le Pen : « Un peuple sans souveraineté est non seulement un peuple privé de liberté, mais un peuple menacé dans son existence».

    Nos Etats devraient pouvoir s’affranchir DÉFINITIVEMENT de ces liens qui les maintiennent comme « otages » des grandes puissances – ces forces maléfiques – et de leurs diktats. Nos dirigeants ont aussi et surtout la responsabilité de rompre avec des siècles de domination, de vassalisation et de pressurisation à outrance ! Autrement nos indépendances resteraient, tristement, des leurres !

    Nous avons l’obligation de méditer la pensée de Jean-Paul II :« Veillez par tous les moyens sur cette souveraineté fondamentale que possède chaque nation en vertu de sa propre culture. Protégez-la comme la prunelle de vos yeux pour l'avenir de la grande famille humaine ».

    Au nom de cette souveraineté et au nom de cette solidarité, nous avons le devoir de protéger nos fils ! En tout état de cause et comme disait l’autre : « La jeunesse africaine ne doit ni baisser les bras, ni se désintéresser du sort des pays africains et des valeureux fils du continent noir ; au contraire, elle doit se mobiliser et faire entendre sa voix, face à l’impérialisme et au néo-colonialisme ! »

    Nous ne pourrions accepter une justice "aveugle" pour Habré, au nom de la « Françafrique » !

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    Auteur

    Baddaoui

    En Juillet, 2014 (20:28 PM)
    2.700 plaignants ? Mais aucune enquête ? Pourquoi ? Parce que c'est pratiquement impossible. Imaginez qu'un plaignant vous dise : "j'ai été arrêté à Mongo (centre, 500 Km de la capitale) par des militaires dans un 4x4, ils m'ont battu à mort car me soupçonnant d'être un partisan d'une faction militaire opposée au pouvoir Habré. J'ai perdu l'usage d'une oreille et j'en souffre toujours".



    Le Juge Sénégalais demande : est ce que Habré était présent en ce moment ? NON ! répond le plaignant. Est ce que vous connaissez vos malfaiteurs ? Non, mais ce sont des hommes de son ethnie. Cela s'est passé quand ? En 1986, répond le plaignant. C'est à dire il y a 28 ans.



    Dossier classé, car le Juge des Chambres Africaines Extraordinaires malgré la rémunération quotidienne de 350.000 F Cfa durant leur mission ne peut se torturer les méninges dans ces histoires tchadiennes si entrelacées et qui pourraient réserver bien des surprises aux commanditaires qui signent chèque sur chèque afin de trouver un peu de quiétude de savoir Habré en prison au pays de la Téranga.  :sn: 
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