Ils encourent une radiation des rangs de la police nationale pour leur implication dans l’affaire du trafic de drogue qui secoue la police nationale. Alors que l’enquête de la Direction de l’Inspection des Services de la Sécurité est sur toutes les lèvres, il est à craindre que le président de la République ou le ministre de l’Intérieur ordonne la mise sur pied d’une commission d’enquête pour prendre des sanctions contre les policiers incriminés et les radier éventuellement.
Dans sa livraison du jour, le quotidien Le Soleil de relayer les propos du porte-parole de la police nationale, le commissaire Alioune Ndiaye qui revient sur les tâches de la Direction de l’Inspection des Services de la Sécurité (Diss), lesquelles consistent à enquêter sur la véracité des allégations de trafic de drogue et à identifier les personnes impliquées.
Alioune Ndiaye d’expliquer toutefois, que « les sanctions administratives contre les commissaires de police relèvent de la compétence du seul chef de l’Etat, alors qu’à l’encontre des autres agents de police de bas échelon, c’est le ministre de l’Intérieur qui est compétent ».
Et tout cela, poursuit-il, se fera sur proposition de la commission d’enquête, composée de cinq membres dont un président, un secrétaire, un rapporteur et deux membres, qui va mener son investigation, en auditionnant toutes les personnes citées dans l’affaire. Pour leur défense, celles-ci peuvent être assistées soit par un avocat ou par un officier de police, si elles le désirent, écrit le journal.
Pour rappel, le commissaire Cheikhna Cheikh Sadibou Keïta, ex-directeur de l’Office Central pour la Répression des Trafics Illicites des Stupéfiants (Ocrtis), a, dans un rapport, porté des accusations contre l’actuel directeur général de la police nationale et ancien patron de l’OCRTIS pendant 10 ans, Abdoulaye Niang, «un trafiquant de drogue», selon lui.
27 Commentaires
John
En Juillet, 2013 (10:03 AM)Dofaal
En Juin, 2024 (09:31 AM)Jhjkjk
En Juillet, 2013 (10:06 AM)Cng
En Juillet, 2013 (10:10 AM)Ok
En Juillet, 2013 (10:19 AM)L'Initiative égyptienne pour les droits personnels (EIPR) "alerte sur la gravité des violences confessionnelles" survenues dans divers gouvernorats du pays depuis le 30 juin, date des grandes manifestations qui ont abouti au renversement par l'armée de M. Morsi, est-il indiqué dans un communiqué.
L'ONG fait notamment état de la mort de quatre coptes les 4 et 5 juillet dans le governorat de Louxor (Haute-Egypte), dans des actes de vengeance après le décès d'un musulman, imputé à un chrétien.
La police n'a pris aucune mesure pour protéger cette population, alors que plusieurs maisons ont été encerclées, pillées et incendiées, ajoute-t-elle.
La minorité chrétienne d'Egypte représente 6 à 10% de la population du pays, estimée à 84 millions d'habitants.
Selon l'ONG, qui cite d'autres cas de violences récentes et de saccages d'églises, elle est accusée par des partisans du président déchu Morsi d'avoir ?uvré à son renversement.
"Les coptes paient le prix des discours enflammés contre eux de dirigeants islamistes et de partisans de l'ancien président, qui les accusent d'avoir conspiré en faveur d'une intervention de l'armée pour renverser (Mohamed) Morsi", déclare Ichak Ibrahim, un responsable d'EIPR, cité dans le texte.
M. Ibrahim juge en outre "troublante" l'incapacité de l'appareil sécuritaire (. . . ) à protéger les citoyens et leurs biens, qui sont pris pour cible sur des bases confessionnelles".
Les autorités "de transition doivent prendre des initiatives rapides pour protéger les Egyptiens et mettre un terme à la campagne" actuelle, souligne l'ONG, qui demande aussi l'ouverture d'enquêtes sur ces récentes violences à caractère confessionnel.
L'arrivée d'un islamiste à la tête de l'Egypte mi-2012 avait aggravé le sentiment d'insécurité et de marginalisation des Coptes.
Les relations entre le patriarcat copte et le pouvoir islamiste ont connu des tensions durant l'année de présidence de M. Morsi.
En avril, le patriarche Tawadros II avait accusé M. Morsi de "négligence", à la suite d'affrontements devant la cathédrale Saint-Marc du Caire, qui avaient fait deux morts et 89 blessés.
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Goor Fitt
En Juillet, 2013 (10:33 AM)Le président ne peut pas faire autrement que le sévir le plus lourdement possible pour corriger ces injustices
On enferme pour des durées indéterminées les petits délinquants qui n'avaient pas d'autres ressources de survie pour avoir fumer ou vendu du yamba alors que les gros bonnets qui ont tous les avantages font le pire
Deug Deug
En Juillet, 2013 (10:35 AM)Dgse
En Juillet, 2013 (10:38 AM)Mesure
En Juillet, 2013 (10:39 AM)X
En Juillet, 2013 (10:44 AM)Ma Ko Wax
En Juillet, 2013 (10:57 AM)Papi
En Juillet, 2013 (11:04 AM)Gherty
En Juillet, 2013 (11:04 AM)Kyle
En Juillet, 2013 (11:11 AM)Dof Bi
En Juillet, 2013 (11:16 AM)Dave
En Juillet, 2013 (11:21 AM)Zeus
En Juillet, 2013 (11:40 AM)Sanor
En Juillet, 2013 (11:42 AM)Niit
En Juillet, 2013 (11:43 AM)Il
En Juillet, 2013 (11:48 AM)Donc longues longues enqutes en vue..mais en attendant mis à l'écart de tous els concernés accusés comme accusateur.
Austin
En Juillet, 2013 (11:49 AM)Ngagne
En Juillet, 2013 (12:44 PM)Radikkal
En Juillet, 2013 (12:44 PM)2- restaurer la peine de mort pour les trafiquants de drogue, les violeurs, les voleurs de bétails etc...
3-expulser tous les Nigérians vivant au Sénégal sans aucune activité licite connue
Pour Ng
En Juillet, 2013 (15:09 PM)De grace stop " ethnisising "ce probleme.
Enfin Le Vrai Changement
En Juillet, 2013 (15:59 PM)Jean
En Juillet, 2013 (17:16 PM)Deug
En Juillet, 2013 (18:43 PM)Do
En Juillet, 2013 (19:08 PM)Participer à la Discussion