Apparemment, il s'est décidé à tout faire pour que jaillisse (enfin) la lumière dans le tristement célèbre dossier du trafic présumé de faux billets de banque.
Introuvable depuis quelques jours, le "diabétique", en vrai "faux lion", saute de son lit d'hôpital, pour poser un acte de guerrier: il démissionne de son poste de député, se contredit à la minute près, trébuche, avant de se livrer, "pour de bon", aux pandores.
Fini donc les faux bonds, Bougha signe son "véritable" billet retour à la Caserne même sans convocation.
Et pour terminer en beauté son "mardi gras", il verse de chaudes larmes. En attendant de sortir les redoutables armes judiciaires pour dompter ses "ennemis". Sans modération.
Grâce à l'ingéniosité de ses 30 avocats, avec comme capitaine un certain Me El Hadj Diouf. Ce n'est pas pour le buzz. Bougha s'est définitivement réveillé. C'est une question de vie ou de mort... politique.
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