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Ancien ministre porte-parole de la présidence de la République du Sénégal, Dr Yoro Dia a lui aussi adressé un message de félicitation à l'endroit de la coalition Pastef les patriotes, vainqueur des législatives anticipées. Le Politologue va tout de même "continuer à travailler dès demain sur l'alternative", annonce-t-il sur sa page X
20 Commentaires
Abdoulaye
En Novembre, 2024 (11:31 AM)Reply_author
En Novembre, 2024 (11:54 AM)Jay
En Novembre, 2024 (12:03 PM)Reply_author
En Novembre, 2024 (13:08 PM)Reply_author
En Novembre, 2024 (13:27 PM)Ou sont les grandes gueules qui insultaient et faisaient le tour des télés pour raconter des bêtises.
Ouvrez la bouche.
Subitement ils sont devenus gentils et souriants
Putain D'ego !
En Novembre, 2024 (14:34 PM)- Yoro dia
. Mamadou ibra Kane
. Madiambal
. Cheikh yerim
C’est une prière, pour la salubrité de nos esprits
Djibson
En Novembre, 2024 (12:04 PM)Le Sénégalais et le "religieux ", thiey !
Sénégal, le pays où des imposteurs se donnent de l’importance !
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En Novembre, 2024 (13:32 PM)Lorsqu’ils en auront terminé de recueillir les éminentes opinions de votre chauffeur, je demande à ce que le gardien de mon quartier soit également interviewé pour livrer ses appréciations sur les résultats des législatives ! Ah wey
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En Novembre, 2024 (12:48 PM)Taf
En Novembre, 2024 (11:45 AM)n oubliez pas qu on a une opposition riche de milliards volés elle est aussi manipulatrice et elle a encore des sympathies dans l administration
soyez prudents
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En Novembre, 2024 (11:55 AM)Adversaires ...sen tv,babacar fall yerim,noire au-dessus,yoro en oubliant le peuple mûr et qui est en avance sur les politiciens...basta
Un étudiant de 1ere année de sciences politiques sait qu'ûe large abstention profite toujours au pouvoir en place, qui a les moyens pour mobiliser et déplacer ses militants.
A quand de vraies élections législatives ?
Il faut changer complètement la classe politique, avec nos meilleurs femmes et hommes qui sont toujours hors du champ politique sénégalais.
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En Novembre, 2024 (12:21 PM)Dious
En Novembre, 2024 (12:14 PM)Ano
En Novembre, 2024 (12:24 PM)Bouba
En Novembre, 2024 (12:57 PM)Ton projet funeste de déstabilisation et de diabolisation du PASTEF ne prospéra jamais avec tes tocards de l'APR
Tu es un imbécile de la 1ere et de la dernière catégorie. C'est fini maintenant koussi wahati ndiombai niou niaf sa ndaye si kassobi
1963 : 90℅
1968 : 93℅
1973 : 96,9℅
1978 : 62,2 %
1983 : 56,2 %
1988 : 57,9℅
1993 : 41℅
1998 : 39,3℅
2001 : 67,4℅
2007 : 34,74℅
2012 : 36,67℅
2017 : 53,66℅
2022 : 46,60℅
Rappel des contextes d'organisation des élections législatives au Sénégal
Les élections législatives ont été couplées aux différentes élections présidentielles de 1963 à 1988
De 1963 à 1978, elles ont été organisées sous le régime du parti unique
À partir de 1978, les élections législatives ont été organisées sous le régime du multipartisme limité à 4 courants idéologiques et à partir de 1983, sous le régime du multipartisme intégral
Non couplées avec les présidentielles, elles ont été dans la même année que celles-ci en 1993, en 2001, en 2007 et en 2012.
Les élections législatives organisées lors du premier mandat de nos différents Présidents de la République s'étaient tenues :
* en 1963 pour Léopold Sédar Senghor,
* en 1983 pour Abdou Diouf,
* en 2001 pour Abdoulaye Wade,
* en 2012 pour Macky Sall
Ama
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En Novembre, 2024 (13:38 PM)Babacar
En Novembre, 2024 (13:34 PM)Quel sujet sur l'ethnicisme vas tu nous pondre sur ton prochain post?
Depuis les élections du 17 novembre, un débat récurrent envahit les médias et les réseaux sociaux : celui du taux d’abstention. Certains tentent de minimiser la victoire du pouvoir en place en insistant sur cette donnée. Pourtant, une analyse rigoureuse des faits nous montre que ce raisonnement est simpliste et trompeur. Clarifions.
1. Une élection est un sondage grandeur nature
Lorsqu’une élection est organisée dans des conditions justes et transparentes, elle offre à chaque citoyen inscrit la possibilité de s’exprimer. La participation ou non à ce scrutin relève d’un choix personnel. Contrairement aux sondages, qui s’appuient sur un échantillon de quelques milliers de personnes avec une marge d’erreur définie, une élection mobilise des millions d’électeurs. Ce processus produit un résultat d’une précision incomparable, car il repose sur une collecte massive de données directes.
Dire que l’abstention invalide une victoire revient à nier que ceux qui ont voté représentent, à ce moment précis, la voix active du peuple. Le fait est simple : l’élection était ouverte à tous. Ceux qui ont choisi de voter ont façonné l’issue.
2. Les résultats d’une élection sont toujours légitimes
Une élection n’est pas seulement un acte de comptage. C’est un processus démocratique dans lequel la légitimité repose sur trois piliers fondamentaux :
1. La transparence et l’équité du scrutin.
2. La liberté pour chaque citoyen de participer.
3. Le respect des règles établies.
Ainsi, une victoire, même avec un taux d’abstention élevé, reste valide et légitime dès lors que ces principes sont respectés. Insister uniquement sur l’abstention sans analyser ses causes détourne l’attention du message central : la décision des votants.
3. Pourquoi certains ne votent pas ?
Au lieu de remettre en question les résultats, posons la vraie question : pourquoi certains citoyens ne se déplacent-ils pas pour voter ? Les raisons peuvent être multiples :
• Manque d’intérêt pour l’offre politique.
• Absence de confiance dans le système.
• Contraintes personnelles ou obstacles logistiques.
Comprendre ces dynamiques est essentiel pour améliorer la participation future, mais cela n’invalide en rien les résultats obtenus lors du scrutin.
4. Une photographie démocratique : respectons le choix des votants
En fin de compte, une élection est une photographie de l’engagement citoyen à un instant donné. Ceux qui se sont exprimés par leur vote ont fait entendre leur voix. Leur choix doit être respecté, et les résultats doivent être analysés pour ce qu’ils sont : l’expression d’une partie active de la population.
Le débat sur l’abstention, bien qu’important pour le futur, ne peut être utilisé comme un argument pour délégitimer un processus démocratique ouvert à tous.
Plutôt que de remettre en question la validité des résultats à cause du taux d’abstention, concentrons-nous sur l’analyse des comportements électoraux et sur les moyens de renforcer l’engagement citoyen. Une démocratie se construit dans le respect des choix exprimés, pas dans les débats stériles qui ignorent la réalité du processus électoral.
Degno tayyi waye ... laissez les gens travailler et tout faire pour faire avancer ce pays dans l'honnêteté et la transparence... c'est seulement cela qui intéresse les sénégalais maintenant ... wayé ratatati rek soubba ak ngonn ... mayy lenn gnou niekh waye ahh !
Le peuple a faim, le peuple a soif
Jambaar
En Novembre, 2024 (13:22 PM)Participer à la Discussion