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Donnant suite à la publication du rapport de la Cour des comptes sur la situation des finances publiques de 2019 au 31 mars 2024, le gouvernement va incessamment faire face à la presse, ce jeudi 13 février au Building administratif Mamadou Dia. Mais cette fois, ce rendez-vous avec les journalistes ne sera pas animé par le Chef du gouvernement, Ousmane Sonko.
Après une sortie sur le même sujet qui avait suscité un grand tollé en septembre dernier, le Premier ministre a préféré "envoyer au charbon" cinq membres de son équipe gouvernementale, dont le ministre des Finances, Cheikh Diba, alors directeur de la planification budgétaire. La responsabilité de ce dernier dans le carnage financier découvert par la Cour des comptes est pointée par certains.
M. Diba ne sera pas seul dans cet exercice d'explication des résultats du rapport. Il sera aux côtés du porte-parole du gouvernement, Moustapha Sarré, du ministre de l'Économie, Abdourahmane Sarr, du garde des Sceaux, Ousmane Diagne, et du secrétaire général du gouvernement, Ahmadou Al Aminou Lo.
13 Commentaires
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il y a 1 semaine (18:01 PM)Sonko on lui fait lire son DPG
Sonko ne maitre pas le géopolitique
Finalement le Sénégal est maudit
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il y a 1 semaine (17:02 PM)Senegal
il y a 1 semaine (16:47 PM)Reply_author
il y a 1 semaine (17:02 PM)Moussa
il y a 1 semaine (16:48 PM)Samba Abidjan
il y a 1 semaine (16:53 PM)Il est suggéré que chacun fasse des sacrifices : réduire leur salaire de moitié, supprimer les dotations de carburant et les primes. Les fonds communs, les caisses noires devraient être éliminés, tout comme les salaires exorbitants des directeurs généraux et les primes de 60 000 pour les hauts fonctionnaires. Cependant, aucun politicien ne semble prêt à serrer la ceinture. Ce sont toujours les citoyens ordinaires qui continuent de souffrir, tandis que les privilèges des élites restent intacts.
La France, confrontée à un endettement exponentiel, fait face à des enquêtes et auditions pour comprendre la situation. Pourtant, au Sénégal, nous restons dans l’émotion et les débats politiques, chacun se disant que son leader détient la vérité. Les problèmes sont réels, mais l'action semble inexistante.
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il y a 1 semaine (17:01 PM)Reply_author
il y a 1 semaine (17:04 PM)Reply_author
il y a 1 semaine (18:29 PM)Reply_author
il y a 1 semaine (18:29 PM)Arona Gaye
il y a 1 semaine (18:37 PM)Sans fautes
Salim
il y a 1 semaine (20:38 PM)Bon il faut souffrir
Mais la perte du pouvoir commence dès le premier jour de l'accession au pouvoir: c'est INÉLUCTABLE
Salim
il y a 1 semaine (20:38 PM)Bon il faut souffrir
Mais la perte du pouvoir commence dès le premier jour de l'accession au pouvoir: c'est INÉLUCTABLE
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