La Journée mondiale de la maladie d’Alzheimer est célébrée le 21 septembre. D’après les estimations, le Sénégal dénombre près de 800 000 personnes, réparties selon les âges, à être atteintes de la «maladie de l’oubli».
Le ‘’pays de la Teranga’’ ne dispose pas d’assez de spécialistes qui prennent en charge Alzheimer. C’est ce qu’affirme le psychiatre et neurologue El Hadj Makhtar Ba sur les ondes de la RFM.
«Il y a certes des unités de gériatrie, des psychiatres, des neurologues, mais il y en a pas assez», se désole le secrétaire général de l’Association nationale maladie d’Alzheimer. Il affirme que ce ne sont pas seulement ces spécialistes qui interviennent dans cette maladie. Il en cite aussi d’autres tels que l’orthophoniste. Le neurologue estime qu’il est nécessaire de renforcer le personnel.
Le plaidoyer de cette édition est donc de demander aux autorités de mettre en place des centres dédiés et d’accompagner les familles. Avec ces centres, le neurologue explique que les spécialistes vont pouvoir travailler en synergie afin de soulager les familles des malades.
Pour la petite histoire, c’est en 1906 qu’Aloïs Alzheimer découvre la maladie qui porte son nom. Cette affection entraîne une disparition progressive des neurones dans les régions du cerveau qui gèrent certaines capacités, comme la mémoire, le langage, le raisonnement ou encore l’attention. Les cellules perdent leurs fonctions, puis meurent. En disparaissant, les neurones ne peuvent plus programmer efficacement un certain nombre d’actions : les pertes de mémoire, les troubles du comportement et d'autres symptômes apparaissent alors. Certaines facultés sont altérées et réduisent peu à peu l’autonomie de la personne.
Mais si la maladie d’Alzheimer apparaît plus souvent chez les personnes âgées, elle n’est pas pour autant une conséquence normale du vieillissement.
Le ‘’pays de la Teranga’’ ne dispose pas d’assez de spécialistes qui prennent en charge Alzheimer. C’est ce qu’affirme le psychiatre et neurologue El Hadj Makhtar Ba sur les ondes de la RFM.
«Il y a certes des unités de gériatrie, des psychiatres, des neurologues, mais il y en a pas assez», se désole le secrétaire général de l’Association nationale maladie d’Alzheimer. Il affirme que ce ne sont pas seulement ces spécialistes qui interviennent dans cette maladie. Il en cite aussi d’autres tels que l’orthophoniste. Le neurologue estime qu’il est nécessaire de renforcer le personnel.
Le plaidoyer de cette édition est donc de demander aux autorités de mettre en place des centres dédiés et d’accompagner les familles. Avec ces centres, le neurologue explique que les spécialistes vont pouvoir travailler en synergie afin de soulager les familles des malades.
Pour la petite histoire, c’est en 1906 qu’Aloïs Alzheimer découvre la maladie qui porte son nom. Cette affection entraîne une disparition progressive des neurones dans les régions du cerveau qui gèrent certaines capacités, comme la mémoire, le langage, le raisonnement ou encore l’attention. Les cellules perdent leurs fonctions, puis meurent. En disparaissant, les neurones ne peuvent plus programmer efficacement un certain nombre d’actions : les pertes de mémoire, les troubles du comportement et d'autres symptômes apparaissent alors. Certaines facultés sont altérées et réduisent peu à peu l’autonomie de la personne.
Mais si la maladie d’Alzheimer apparaît plus souvent chez les personnes âgées, elle n’est pas pour autant une conséquence normale du vieillissement.
4 Commentaires
Anonyme
En Septembre, 2022 (14:34 PM)Inhumains ces gouvernants !!!@!
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