Des virologues ont découvert une protéine qualifiée de "talon d'Achille" du virus Ebola. Elle pourrait offrir une protection totale contre l'infection, selon leurs travaux publiés dans la revue américaine "mBio" de l'American Society of Microbiology.
Une étude effectuée sur des souris a permis d'identifier une sorte de "verrou moléculaire" empêchant le virus de pénétrer à l'intérieur des cellules, ont précisé ces chercheurs. Selon eux, le virus ne peut infecter l'organisme sans s'attacher à cette protéine appelée Niemann-Pick C1 (NPC1), qui se trouve à l'intérieur des cellules immunitaires. Sans elle, Ebola ne peut se répliquer.
Une étude effectuée sur des souris a permis d'identifier une sorte de "verrou moléculaire" empêchant le virus de pénétrer à l'intérieur des cellules, ont précisé ces chercheurs. Selon eux, le virus ne peut infecter l'organisme sans s'attacher à cette protéine appelée Niemann-Pick C1 (NPC1), qui se trouve à l'intérieur des cellules immunitaires. Sans elle, Ebola ne peut se répliquer.
"Notre étude révèle NPC1 comme étant un talon d'Achille du virus Ebola pour l'infection des hôtes", a indiqué Kartik Chandran, l'un de ses auteurs. "Idéalement, de futures études sur des humains à partir du résultat des travaux sur les souris aboutiront au développement d'antiviraux capables de cibler efficacement la protéine NPC1", a-t-il souligné. Cela permettrait d'empêcher l'infection par Ebola, "mais aussi par d'autres filovirus comme Marburg qui sont très pathogènes et ont également besoin de NPC1 pour se multiplier".
Les souris modifiées génétiquement pour bloquer la fabrication de la protéine NPC1 ont été "complètement résistantes" à Ebola tandis que les autres ont toutes été infectées, a-t-il poursuivi.
L'étude sur les animaux visait à confirmer que la protéine jouait bien un rôle-clé dans l'infection par le virus Ebola.
Les souris modifiées génétiquement pour bloquer la fabrication de la protéine NPC1 ont été "complètement résistantes" à Ebola tandis que les autres ont toutes été infectées, a-t-il poursuivi.
L'étude sur les animaux visait à confirmer que la protéine jouait bien un rôle-clé dans l'infection par le virus Ebola.
2 Commentaires
Anonyme
En Mai, 2015 (13:33 PM)Anonyme
En Mai, 2015 (16:49 PM)AVAIT-IL LE L'ANTI-VIRUS BIEN AVANT ?
DONC REVEILLEZ VOUS ET DITE VOUS BIEN QUE LE VIRUS DU SIDA EN TANT QUE TEL AUSSI A ETE L'OEUVRE DES AMERICAINS IL N'EXISYE PAS ,
REGARDER SUR YOUTUBE '' LES 10 PLUS GROS MANSONGES SUR LE SIDA ''
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